28/10/2010
L'espoir (septembre-octobre 1997)
Napoléon a eu ses 100 jours, moi j’aurai mes 50. Le soir même, nous étions à Limoges. C’est dire que chère et tendre bourrait comme pas possible ! Le lendemain matin, comme on se l’était promis, je téléphone à Nat d’une cabine. Elle semble aller mieux. Me dit qu’il ne faut pas prendre ça au tragique, qu’on se retrouvera dans 5 ans pour la bague au doigt et les beaux bébés. Un peu de soleil dans mon cœur… Ensuite, c’est de nouveau flou dans ma tête. Je sais que le lendemain soir nous avons couché au Formule 1 de Vannes, après avoir pris le petit train...