16/07/2012
HIT-PARADE de SALUT LES COPAINS du 15 JUILLET 1963
J'avais dit que je poursuivrai cette entreprise (qui ne me prend que 2 minutes, les scans étant déjà dans mon PC) si cela intéressait les gens. J'avais fixé une barre symbolique de 50 visites/mois.
• Seulement 14 visites pour celui d'avril 1963, mais il fallait "roder" la chose.
• 54 visites pour celui de mai, objectif atteint.
• Et même 29 visites pour le "non-hit parade" de juin, qui n'était pas paru. J'avais retranscrit les 15 premiers.
Donc, je continue, avec celui de juillet, que j'aurais du vous livrer hier mais que je n'ai pas pu car j'étais "sous haute tension" !!! (là ça va, je suis revenu à mes chiffres normaux).
A mercredi, je vous embrasse :)
11:18 Publié dans Cica-chansons, Hit-parades SLC, Musique | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Merci pour ce post, avec tout ces bon titre de notre jeunesse! :)
Marie.
Écrit par : annonce nounou | 16/07/2012
c'est marrant mais je retrouve mieux les souvenirs et émotions que j'ai connu en retrouvant les hit parades de SLC plutôt que les meilleurs ventes de disques d'été que tu diffuses également sur d'autres années. Ainsi dans le hit SLC de juillet 1963, les chansons comme Pauvre petite fille riche ou même le titre des Gam's "il a le truc" sont trés populaires dans mon esprit et ne sont peut être pas les meilleures ventes de cette époque. J'ai une explication "qui vaut ce qu'elle vaut" pour les années sixties (peut être pas pour les décennies suivantes), c'est que dans les années 60 si je prends mon cas et celui de mes copains ados de l'époque, on n'avait pas l'argent pour acheter les disques et on se contentait d'écouter Salut les copains à la radio, donc les ventes de disque dans ces années ne reflétent peut être pas l'audience réelle des chansons publiées à cette période. Tout ça pour te dire cher Cica que je suis un fervent lecteur et supporteur de ta rubrique " hit parades SLC". Merci et amitiés.
Écrit par : Renaud | 16/07/2012
Ton explication est exactement la mienne. Et c'est d'ailleurs pour cela que j'avais pris le classement SLC comme "ossature" de ma saga des chanteurs. Je pense que SLC représente très fidèlement les chansons que l'on écoutait à la radio, et ce, jusqu'à la disparition de l'émission, en avril 68.
Je suis d'ailleurs un de ceux qui "osent" prétendre qu'un pourcentage de la raison des "évènements" de mai 68 se trouverait dans la disparition de "notre SLC", remplacé par un "Campus" qui devait passer complètement au-dessus de la tête des fidèles de Salut les Copains. Du coup, plus de rendez-vous quotidien à 17h, on pouvait donc se permettre d'aller aux A.G !!
Pour en revenir à ton propos, Si pour la période 1969/2011 la vente de disques est un élément indiscutable, je pense effectivement que la référence au hit SLC de 1962 à avril 1968 est bonne, car un 45 tours EP coûtait 9.90 francs (l'équivalent de 12 euros 2012 !!), et les hypermarchés n'existaient pas pour "casser les prix", comme ça a été le cas avec les singles. On ne pouvait donc pas se les payer. J'oserai même dire que les meilleures ventes de l'époque est "le classement des riches" !!!
Perso, j'achetais mes 45 tours d'occasion, soit aux puces (j'habitais Paris) soit chez des vendeurs de disques d'occasion, soit chez un bouquiniste à St Michel, soit, toujours à St Michel, au sous-sol de Joseph Gibert où je pouvais avoir les disques neufs mais avec un an de retard, pour une remise de 60%.
Bref, quand je reprendrai ma "saga" des interprètes, SLC restera ma référence de 62 à avril 68.
Amitiés.
Écrit par : Cica pour Renaud | 18/07/2012
Je suis totalement de votre avis à tous les 2. Même si j'avais eu un électrophone, jamais je n'aurais eu les moyens de me payer tous les EP qui me faisaient envie. D'ailleurs l'en-tête du hit parade de SLC stipule bien qu'il ne reflète pas les ventes de disques, mais est issu de l'addition des lettres et appels téléphoniques reçus à Europe N°1. A cet égard, il paraît que beaucoup d'artistes, soit eux-mêmes, soit par le truchement de leur producteur, appelaient la station pour faire grimper leur(s) titre(s). Cf les bios de Claude François. Néanmoins, si j'en juge par le nombre de petites merveilles vinyles estampillées 60's que l'on trouve dans les foires et conventions, il y avait quand même à quelque part une adéquation entre le hit parade SLC et les ventes de disques qui étaient loin d'être marginales ... pour l'époque bien sûr. Mais seuls les plus riches il est vrai, pouvaient se payer ce luxe. Les autres, comme nous, se "contentaient" de la radio. Pour ce qui concerne 1963, c'est les Gam's qui me faisaient flasher, suivies par Johnny "les bras en croix" et Sheila "pendant les vacances".
Écrit par : kentucky | 11/12/2014
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