Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/12/2021

2021, l'année qui a épargné les chanteurs !

C'est paradoxal. En cette année où les média nous répètent à l'envi on va tous crever ou presque, jamais on n'avait enregistré si peu de décès de chanteurs ! Alors que plus de la moitié est au moins sexagénaire...

Depuis mon actualisation en juin, je n'ai pas eu à toucher à mes fameuses notes concernant ces décès. Alors que depuis 2010, il ne se passait pas de trimestre sans que je sois - hélas - obligé de la modifier !

Seuls Tonton David et Philippe Chatel nous ont quittés cette année. Si on élargit hors de nos frontières, il y a aussi Patrick Juvet. Mais rien à voir avec les autres années, si meurtrières.

Avant de vous souhaiter une bonne année 2022, je fais le voeu que pour les chanteurs, cette "embellie" continue.

Je vous embrasse.

29/12/2021

2021 : bilan

Année globalement positive.

Dans la colonne ad hoc, je mettrai :

- En premier lieu des réconciliations.
D'abord celle de chérie avec ma cousine germaine, qui, du coup, à 91 ans n'a pas hésité à se taper 1700 km en voiture pour venir nous voir.
Ensuite celle de chérie avec notre voisine d'Alleyras. Ca aussi ça me pesait.

- Des retrouvailles aussi. Comme celle avec mon plus grand ami d'adolescence François. 30 ans que je le cherchais ! Je savais très bien où il travaillait (36 quai des orfèvres, à Paris, commandant de police au RAID), et je le suivais grâce aux ouvrages de son chef, le commissaire Broussard, et d'autres collègues à lui. C'est grâce à une émission de télé sur le RAID - et aussi à un commentateur d'ici - que j'ai pu le retrouver, via M. POMART, à qui je dis un grand merci.

- Des connaissances, comme celle de nos nouveaux voisins, des gens très sympa et très serviables. Ca change de Sanary, une ville de grande solitude. 5 ans et demie sans rien d'autre qu'un rare bonjour, obligatoire en se croisant dans l'escalier....

- Puis l'amour, toujours aussi fort, de mon épouse. Qui arrive encore à me supporter (voir chapitre "santé") et surtout qui se fait toujours un sang d'encre en attendant le résultat d'examens médicaux. 

- L'année a été paisible, sans déménagement / aménagement comme les deux précédentes et nous nous plaisons dans notre cadre de vie.



Dans la colonne "négatif", je mettrai en premier la santé.
La mienne et celle de mes proches.

En ce qui concerne la mienne, c'est loin de s'arranger. Je vois arriver le fauteuil avec angoisse... Heureusement j'ai gardé toute ma tête, mais pour le reste... Déjà, je ne peux plus écrire à la main. Je peux encore taper au clavier, mais c'est le parcours du combattant ! Ecrire une note me prend jusqu'à une semaine...
De plus en plus de mal à faire les gestes de la vie courante: par exemple manger, ma chérie doit me couper ma viande. Pour me coucher je dois "viser juste" car si je me couche trop bas ou trop haut, je sais que je ne pourrai pas me retourner ! Cette nuit par exemple j'ai été incapable de bouger pendant un long moment. Quand à ma démarche, j'ai tout de l'homme de Cro-Magnon !
Celle de mes proches, essentiellement ma cousine de Toulon, victime d'une septicémie d'origine nosocomiale.

- Puis la "situation sanitaire". Non pas à cause des décès dus au virus (le tabac tue autant) mais plutôt cette sale ambiance qui règne depuis deux ans. De ne plus voir de gens sourire à cause de la "muselière" (aussi efficace qu'une fenêtre ouverte pour empêcher de faire entrer les insectes), d'être obligé de se faire injecter un produit dont on ignore ses effets pour avoir le droit de vivre, d'entendre parler de "ça" à longueur de journée à la télé, de devoir moi-même mettre ce foutu masque qui m'étouffe à chaque fois que j'entre quelque part; ça me rappelle l'armée avec la gymnastique des couvre-chefs dehors/dedans !

- la disparition d'êtres chers. Cette année deux cousins (frère et soeur) qui m'avaient suivi toute ma vie. L'une avait été mon témoin de mariage, l'autre le parrain de ma fille.

Et toujours, le même président !

Je vous embrasse.

15:26 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (10)

24/12/2021

Joyeux Noël à mes lecteurs et commentateurs

Et quelques chansons de Noël :

1978

1981

1984

 2002

2005

2011

2018

Passez un joyeux réveillon

Je vous embrasse.

20/12/2021

Les chansons de Noël à travers les années 1946 à 1978

Je republie la note, j'ai rajouté 1971, une que j'aimais beaucoup, en plus !

1946 à 2021

1953

1960 (j'avais adoré !)

1963

1966

1967

1970

1971

1972

1973

1973 (impossible de les départager)

1974

1975

1976

1977

Je n'ai pas oublié Slade en 1973, année décidément fournie !
Bientôt la suite (et fin) 1981 à 1996.

Je vous embrasse.

08/12/2021

Par monts et par vaux

ALTITUDE.JPG

Quézaco ? L'état de mes finances ? Les températures moyennes de Moscou? La coupe en relief de la France ?
Non, rien de tout cela. Simplement l'altitude des endroits où j'ai vécu !
Ca commence par du bas, Paris, pendant 21 ans. Puis une tentative d'échappée en 1972, 4 mois au Mont-Aigoual. Mais les 7 premiers mois étant encore Parisien et le dernier charentais (armée) on tombe sur une altitude bâtarde de 560 m. Nouveau creux en 1974 (Roissy, à partir de février) et envolée vers le Dauphiné en septembre 1975 (musique je pars, de Nicolas Peyrac), altitude 400. Mine de rien, ces 4 ans seront mon top 6 des endroits où je vivrai le plus longtemps !
1980 : je monte encore, d'abord à Embrun (850 m) puis à Châteauroux les Alpes (990 m) qui sera - en altitude je précise ! - le toit de ma vie.
Puis je redescends un peu, 740 m à Mende pendant 11 ans (1987/1997), qui sera mon top 2 côté longévité, et même numéro un CHOISI en éliminant mes 23 (21.5 + 1.5) ans parisiens.
Puis mutation à Vannes en 1997, mutation "obligée" qui me fera descendre à zéro, tant côté altitude que côté moral. 
Ce diagramme aurait dû s'interrompre le 23/2/2003, mais il s'avère que non, et l'été de la canicule me voit partir pour Biarritz, après 4 ans et 10 mois à Séné (56), un top 4 dont je serais bien passé !
Toujours proche de zéro en altitude mais très haut dans le coeur. 4 ans et deux mois à Boucau (64), qui est donc mon top 5 côté durée. Mais le climat du Pays Basque ne me convient pas, et dès janvier 2005 je fais construire une maison dans le Odou (Haut-Doubs) en vue de ma retraite. Auparavant je bosse mes 4 dernières années au pied du Jura, à Lons le Saunier (315 m). 
Finalement je ne profiterai de ma grande maison que 3 ans, de 2010 à 2013.
Après ce sera le sud, 6 mois à Toulon, 5 ans 5 mois à Sanary sur Mer, sur le podium des durées. Second "choisi".
Et enfin ce sera l'Auvergne, où je suis depuis deux ans. Probablement ma dernière demeure, mais je finis en beauté !
Je vous embrasse.