07/11/2011
Les 50 interprètes des années 63 à 74 selon SLC : Michel POLNAREFF - I
1966 / 1972 : la montée
C'est grâce à Michel Polnareff qu'on va voir la puissance du "matraquage" en radio.
Son premier disque, la poupée qui fait non, était sorti en décembre 1965. On n'en avait jamais entendu parler pendant 4 mois quand SLC décida d'en faire son "chouchou". Le dimanche suivant il était classé n°6 ! Mais il n'ira guère plus loin que la 5ème place...
A partir de là, pendant 3 ans,tous ses disques auront des "doublés". C'est à dire que seront classées 2 chansons sur le disque. Doublé "royal" pour le disque sorti en juin, avec deux numéros 1, love me please love me, premier en août et tube de l'été côté français, et l'amour avec toi n°1 en septembre. A noter que les antennes "nationales" avaient interdit de passage ce dernier titre, jugé trop "porno" (sic). Aucun effet sur le hit parade de SLC, Europe 1 ayant des statuts allemands à l'époque.
En octobre, sortie de sous quelle étoile suis-je né/l'oiseau de nuit. Numéro 3 en décembre pour le 1er, numéro 8 pour le second.
Pour l'année 66, Polnareff se pointe à la 10ème place. Bien pour cette année où une "deuxième vague" de chanteurs arrivera, comme Pascal Danel, Antoine, Joe Dassin, Nino Ferrer, Stone, Eric Charden, Michel Delpech, Jacques Dutronc, les Charlots, etc etc.
1967.
En février sort tatatata/le pauvre guitariste. Le premier frôle la première place en mars (Inch'allah d'Adamo étant imbattable) et le second est 12ème en avril.
Idem pour le disque de mai. Ame Caline n'est battue en juillet que par Sheila (Adios amor) tandis que le saule pleureur est 8ème. Saluons le roi des fourmis qui va rester dans l'"antichambre" (n°26 à 50) pendant 5 mois, jusqu'à octobre !
Un peu moins bien pour la galette de novembre : Mes regrets sera 5ème et dame dame seulement 22ème.
Avec 6 titres classés, Polnareff se hisse au 6ème rang des interprètes français pour l'année.
1968.
Cette année va commencer par un triplé !
5ème place pour le bal de Laze en mars, 8ème pour Y a qu'un cheveu en avril, et la 25ème pour encore un mois encore un an. 3 chansons très différentes, qui attestent de la palette de Michel Polnareff.
Le disque de mai va passer sur les ondes un bon moment. 20 semaines de présence dans le hit pour Jour après jour avec seulement une 7ème place en août, où la pipelette sera 23ème.
Un disque sort en décembre, mais ne sera comptabilisé que pour 1969.
Pour 1968 Polnareff garde sa 6ème place des interprètes.
1969.
Pour le disque sorti en décembre, SLC va passer à côté d'une de ses plus belles chansons pourquoi faut-il se dire adieu, ne classant que Ring a ding (6ème fin avril) et j'ai du chagrin Marie (20ème en février).
Là va commencer une impressionnante série de n°1, qui va durer pendant plus de deux ans !
L'été sera fracassant. Après le tube de l'été 66, il va chanter le tube de l'été 69, avec le disque sorti en avril. Aucune contestation possible - pour SLC tout du moins - pour tous les bateaux tous les oiseaux, 2ème en juin, 1er en juillet et août, 3ème en septembre (et même 7ème en octobre). Tout pour ma chérie restera 13 semaines dans le hit, avec une belle 11ème place. Mais il va revenir n°1 dans les années 2000 dans les spots de pub grâce au Crédit Lyonnais !
Johnny se consolera côté ventes de disques avec son que je t'aime.
Fin temporaire des "doublés", mais place au méga-tube qui va sortir en octobre, qui suffira largement pour la promo du disque : Qu'on en juge : • 32 semaines de présence dans le hit, de mi-novembre à fin juin • 23 semaines dans les 10 premiers, de début décembre à fin mai • 17 semaines sur le podium, de mi-décembre à début avril. Et 3 mois classée n°1, la première et dernière - fois dans SLC depuis dadou ron ron en 1963, j'ai nommé dans la maison vide.
Pour l'année, Michel arrivera 4ème des interprètes.
1970.
Pas de doublé pour le disque de mars, mais quand même la première place pour un train ce soir.
Pour l'été, de nouveau un doublé.
En juillet, numéro 1 Polnareff avec Gloria, numéro 3 Polnareff avec Je suis un homme !
Gloria piétinera à la seconde place en août avant de s'imposer en septembre. Tube de l'été là encore.
Je suis un homme, après son joli départ, baissera lentement ensuite, mais sera quand même encore présent en novembre !
Avec seulement trois chansons, si haut placées qu'elles soient, Polnareff rétrograde à la 5ème place pour 1970.
1971.
Sortie en janvier, nos mots d'amour restera jusqu'en mai dans les 5 premiers. Numéro un bien sûr, en avril.
Le disque d'été comme Juliette et Roméo ne sera n°1 qu'une seule semaine, la dernière d'août. Mais cette année-là, pas de tube de l'été, la lutte étant farouche entre Le jour se lève (Esther Galil), Pour un flirt (Michel Delpech) et Fais-moi un signe (Gérard Palaprat).
Côté cinéma, pour moi sans conteste 1971 sera la plus belle année, avec notamment Sacco et Vanzetti, Love Story, Doucement les basses, la folie des grandeurs et ça n'arrive qu'aux autres. Polnareff a fait la musique des deux derniers (un chef-d'oeuvre absolu pour la folie) et a sorti une chanson adpatée de ça n'arrive qu'aux autres. Mais, pour la première fois depuis décembre 68, elle ne décrochera que la troisième place. Fin d'un règne absolu qui aura duré 3 ans.
Polnareff profitera de l'éparpillement des chansons et regagnera sa 4ème place pour l'année, avec seulement 3 chansons classées. 1971 sera d'ailleurs l'année des Michel, avec Fugain, Polnareff, Delpech, Laurent et Sardou, tous présents dans le top 20 des interprètes. Jonasz et Berger n'arriveront que l'année d'après !
(à suivre)
17:38 Publié dans Cica-chansons, Musique | Lien permanent | Commentaires (4)
06/11/2011
pas de note aujourd'hui
si le site se comporte de la même façon:
20 minutes pour poster un commentaire (qui part en triple exemplaire)
10 minutes pour insérer une photo
A demain si rien n'a changé d'ici ce soir
Je vous embrasse
10:19 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (8)
05/11/2011
Tonton, l'ermite du Larmont
La grande majorité des habitants du Haut-Doubs ne le savent, pas, mais au sommet de la commune de Pontarlier, à 1300 m d'altitude, vit un petit bonhomme.
Depuis 1965, il est là dès les premiers "beaux jours" (dans le Haut-Doubs ça veut dire que les routes sont praticables), jusqu'à la première grande chute de neige. En gros, de mars à novembre, 9 mois sur 12 dans une petite cabane qu'il aménagé contre la roche en 1965 (il avait 22 ans) depuis qu'il est en retraite.
Ma rencontre avec lui date de l'été dernier. C'était le 21 août, il faisait 34 degrés ici, 32 à Pontarlier, ma fille et son copain étaient avec nous. La veille nous avions été à Lausanne montrer au copain le métro automatique, qui grimpait en 1/4 heure de 370 à 750 m. Mais on avait crevé de chaud...
Alors je me suis dit, il faut aller en altitude. Le plus près c'était là, à 7 km du centre-ville de Pontarlier. Seulement, les 3,5 derniers km étaient interdits aux voitures pendant l'été, laissant les piétons et les vélos.
On s'est donc arrêtés vers les 1180 m, il "ne" faisait que 29 degrés. Mais les 3,5 km suivants allaient se faire sous un cagnard pas possible.
Arrivés à mi-chemin, je vois une voiture.
Comment ça une voiture ? Il n'y a rien après !!!
Et bien si. D'abord une ferme Suisse. Située en territoire Français, elle est tournée vers la Suisse (électricité, poste, téléphone, travail, etc). Et puis....
Je me mets en travers de la route pour dire au "touriste" que la route était interdite, et je vois côté passager un petit bonhomme qui me dit "quoi, on ne laisse pas passer l'ermite du Larmont ? Vous savez ce que vous risquez ?"
Là, je joue profil bas, et lui demande ce qu'est l'ermite du Larmont. Et il m'explique qu'il vit en haut de la montagne depuis 46 ans dans une cabane. Là je suis admiratif, et, radouci, il me dit "si vous arrivez là-haut, je vous paye le coup !" Avec la température qu'il faisait, ce n'était pas de refus.
Presque sur les genoux, nous arrivons là-bas. Et nous voyons sa cabane.
L'intérieur doit mesurer dans les 6 mètres carrés, un lit superposé datant des années 50 est collé au mur nord, une table est au milieu, et une cheminée - qu'il ne ramone jamais - lui sert de chauffage.
J'avoue qu'on a un certain haut-le coeur en rentrant là-dedans.
Je pensais qu'il vivait là en SDF, comme beaucoup hélas le font dans nos forêts.
Pas du tout : Notre homme est motorisé, et habite un appartement correct 7 km plus bas, à Pontarlier.
Il est retraité du BTP, et touche une confortable pension. Au moindre souci de santé, il descend à Pontarlier où il est connu comme le loup blanc.
Mais, étant veuf, il préfère rester là-haut le plus clair de son temps, jouissant d'un panorama exceptionnel à quelques dizaines de mètres sur les Alpes Bernoises à plus de 100 km :
De l'autre côté, la vue est moins spectaculaire, mais plus vaste, allant des monts du Lyonnais aux Vosges en passant pas les crêtes bourguignonnes. Et bien sûr, la capitale mondiale de l'absinthe juste au-dessous...
On a tout de suite sympathisé, car à son âge, j'avais fait un peu la même chose, quoique nettement plus dangereux : travailler au Mont-Aigoual, d'où l'on embrasse le plus beau panorama de France, en passant par le Mont Blanc, les Alpes de Provence, le Ventoux, la Méditerranée de Marseille jusqu'à Perpignan, les Pyrénées orientales, le Plomb du Cantal et le Puy de Sancy.
Dangereux parce que j'étais à 11 km de la première maison, que j'y restais les jours de neige, et que je devais faire des vacations - seul - de deux semaines, sans pouvoir bien sûr parler à personne.
Pour notre Ermite, c'est très différent : Il ne se passe pas de jour, et même d'heure, sans qu'il ait de la visite. Beaucoup de femmes, d'ailleurs, qui de temps en temps (je n'invente rien) viennent passer une nuit ou deux sur le sommet. L'histoire ne dit pas si elles dorment toutes seules, et de toutes façons "cela ne nous regarde pas".
Et quand les visites se raréfient, quand la température descend de plus en plus en-dessous de zéro (ça peut arriver au mois d'août, c'est du reste arrivé en juillet de cette année, le 15 pour être précis ), notre ermite regagne alors son appartement de Pontarlier, et redevient là-bas Jean-Pierre, M. Tout le monde.
De sa fenêtre, il doit alors regarder sa montagne, fier d'y être le maître des lieux, et d'être sûr d'y rester, bien que la cabane ne soit pas à lui. Un deal avait été passé dans le temps entre lui et la sécurité civile, en échange du "fermement des yeux" des autorités, il surveillait les feux de forêt naissants, recueillait - comme moi à l'Aigoual - les promeneurs pris par la neige et le vent.
Et puis.... se situant à 500 m de la frontière, les douaniers étaient contents que cette "brèche"-là soit habitée. Cela dissuadait les passeurs d'absinthe !!
Depuis 16 ans, il est chez lui, grâce à une prescription de 30 ans.
Pour la petite histoire, voici près de 40 ans
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2010/09/01/premie...
J'avais été en vacances dans le haut-Doubs, et les 15 premiers jours je me faisais suer comme un rat mort. Heureusement j'avais mon solex, et j'ai fait toutes les routes du coin avec, spécialement les montagnes. J'étais monté au Larmont, et j'avais bien repéré une cabane au fond d'un sentier, avec des tables de bar dehors. J'ai alors pensé à des touristes, et j'ai alors continué mon chemin....
Je vous embrasse.
10:50 Publié dans beaux moments, ceux que j'aime, Loisirs | Lien permanent | Commentaires (5)
03/11/2011
JT de France 2 : les Cévenols peuvent crever
Alors que trois départements voient l'eau monter de façon catastrophique, le JT de France 2 n'a consacré à ce sujet que 1 minute 30. Le reste, c'est surtout des histoires de pognon - deux tiers du journal - (le yoyo de la Grèce, un mode d'emploi - très bien fait - pour expliquer au télespectateur comment planquer son argent à l'étranger sans souci pour échapper à l'impôt) des histoires de politique PS contre PS, un sujet people (Noah, juste après le sujet sur l'évasion fiscale, ça fait un peu tache...) etc etc.
On attend sans doute qu'il y ait des morts. Et il y en aura.
Déjà, Alerte Rouge de Météo France, c'est une fois par an, pas plus, et sur un département.
Sur trois, là ça devient quinquennal, comme évènement.
Et les trois dans deux régions différentes (sud-ouest et sud-est), c'est du jamais vu.
Je résume.
L'eau monte de façon incroyable dans ces trois départements.
Ainsi à Ganges (Hérault), qui n'est pas dans une région montagneuse, le niveau de l'eau est monté de 6 mètres depuis hier soir. Un premier pic a été atteint mais c'est sans compter sur la seconde vague de pluies orageuses venue d'Espagne. 40 cm de montée en 15 minutes, pendant que je tape cette note....
http://www.vigicrues.gouv.fr/niveau3.php?idstation=74&...
La grande crue de 1997 - qui avait fait des morts - est sur le point d'être dépassée.
Et c'est ainsi sur trois départements, l'Aveyron, la Lozère, et l'Hérault. Des dizaines de milliers de maisons vont être mangées par les eaux.
On les verra demain, dans les différents journaux télévisés, si hélas des victimes sont à déplorer.
Mais ce soir, c'était le pognon sous toutes ses formes qui était sur le devant de la scène....
Je vous embrasse.
21:53 Publié dans actualité, détripage | Lien permanent | Commentaires (1)
01/11/2011
400 ème note !
Quand je suis arrivé ici, le 23 juillet 2010, je n'en menais pas large.
J'étais issu du site Psychologies, où j'avais d'abord fait un malheur dans les forums (de 2003 à 2005) puis dans les blogs (de 2005 à 2009).
Début 2010, j'ai arrêté de payer pour Psycho. Question de morale. Illico je me suis retrouvé dans un habillage affreux, avec des fonctionnalités que je ne connaissais pas.
Aussi, ai-je abandonné ce blog pour créer d'une part "Cica2010" sur psycho, et d'autre part faire un essai en aveugle ici, sous le nom de Tomber 7 fois se relever 8.
http://tomber7foisserelever8.hautetfort.com/archive/2010/...
Cica 2010 marchait mais la technique était de pire en pire. De plus les querelles de clocher commençaient vraiment à m'énerver. Et que je t'enlève de ma liste de chouchous si tu as dit un mot de travers, je veux bien te remettre mais c'est promis tu te tiens à carreau enfin bref...
Tomber 7 fois, qui se voulait raconter l'histoire de ma vie, a eu un certain succès au début. Puis, lorsque j'ai fini de me raconter, l'audience a chuté.
Cela m'a montré trois choses :
1) Pour qu'un blog marche, il faut avoir des trucs à dire.
2) Si possible, ne pas avoir un style trop scolaire pour les dire.
2) Et aussi, un certain "socle" de lecteurs qui vous connaissent déjà et qui vous suivent.
C'est pareil en politique, voyez Bayrou....
Du coup "Lionel" a cédé la place à Patrick, et Cicatrice a migré sur Hautetfort.
La démarche était toujours la même. Faire un blog au centre duquel se trouverait l'histoire de ma vie (là, 81 notes du 23 juillet au 21 décembre) histoire qui elle-même renfermerait mes notes les plus intimes, celle d'un Amour incroyable de plus de 10 ans - avec des pointillés - raconté en 34 notes du 20 septembre au 4 décembre 2010. Soit - pour l'instant - 8.5 % de mon blog. En diminution constante, évidemment.
400 notes.
Lues en moyenne 244 fois chacune (97.726 pages lues)
44.393 visiteurs, en hausse continue. 50/jour à mes débuts, 85/jour fin 2010, le cap des 100 a été franchi mi-avril, et j'en suis actuellement à plus de 140.
18.405 visiteurs uniques.
Pourquoi un tel succès ?
Le panachage.
Certes une ossature centrale de 34 notes qui parlaient de ma belle histoire, entourée d'un noyau de 47 notes autobiographiques. Mais restent quand même 319 notes !
Un truc que j'avais à l'esprit depuis longtemps, c'était - dès qu'enfin je les aurais tous réunis - de compulser les hit-parades de Salut les Copains afin d'en tirer les 50 interprètes les plus classés, que je "traiterais" tous les dimanches. Ce qui a abouti pour moi à la consécration suprême : un commentaire d'un des chanteurs dont j'ai été fan dans ma jeunesse, en l'occurence Gérard Palaparat.
Dans Psycho, j'avais eu aussi un commentaire de Tatiana de Rosnay en 2006, alors qu'elle n'était pas encore la romancière à succès qu'elle est devenue, et qui m'avait demandé pourquoi je m'étais intitulé "blog de gare" ? Et je lui avais répondu que mon blog est un roman de gare, qui s'avale d'un trait mais dont il ne reste rien ensuite dans la mémoire. Elle m'avait alors répondu que je me sous-estimais...
Bref, je digresse, et en plus de ces 50 notes sur les chanteurs, des notes généralistes. La liste de mes catégories vous en dira pas mal, il y en a pour tous les goûts.
Je me suis amusé à publier mon classement "national" fait par Wikio, et selon lui, 5789 blogs seraient plus lus que le mien. Si c'est vrai, les internautes doivent être 24h/24 devant leur machine !
Bref, cela m'amuse...
Ce qui, à présent, ressort le plus de mon blog ? Son côté "encyclopédie de chansons". Outre mes notes hebdomadaires sur les chanteurs qui sont pas mal lues (le record: près de 700 lectures sur Claude François), na note qui cartonne le plus en ce moment est celle où j'indique l'âge des chanteurs. Postée en mars, elle a été lue plus de deux mille fois ! En ce moment 12 fois par jour...
Cela au départ m'a surpris, car ce n'était pas le but - caché - de ce blog, mais cela doit expliquer mon succès en tant qu'animateur radio dans les années 80 et 90. Pour ce job, il ne suffisait pas d'avoir une belle voix, savoir se servir de toute la "technique (en général 2 platines vinyles, 2 platines cassettes, deux platines CD, trois ou 4 arrivées micro - pour les interwiews - un insert téléphonique - pour faire passer les auditeurs à l'antenne - avec au milieu une table de mixage qui relie tout ça ) mais il fallait connaître son sujet !
Voilà, rendez-vous, si ma cadence se poursuit à ce rythme, à dans 3 mois et demie pour la 500ème note.
Je vous embrasse.
10:47 Publié dans Blog, moi | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : blog