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08/07/2017

Généalogie Bretonne

La canicule est revenue sur la France - et donc l'Auvergne, 35 degrés sous abri dans le village où je gîte, et la maison remonte :(  J'arrive à tenir 23 degrés dans la pièce du bas, mais les 25 sont de nouveau dépassés dans la chambre du premier. Heureusement que les nuits sont fraîches (13 degrés la nuit dernière).  

Du coup, je ne bouge pas. Le boucher et le boulanger passent avec leur camionnette, j'ai des réserves pour pouvoir tenir jusqu'à lundi, où les températures redeviendront plus normales.

Alors je fais de la généalogie. Et hier après-midi, une "correspondance" m'en appris pas mal sur mes racines paternelles.

Déjà, mon nom de famille est breton. Ce nom, je l'ai remonté jusqu'en 1635 ! Pas mal, déjà.

Mais des "ramifications" m'amènent bien plus loin.
Je souris en pensant à mes.... (non Cica, pas d'insultes sur un blog qui est public, ça peut coûtes des procès) donc à mes "chers" collègues de Vannes dans les années 1997/2003 qui me reprochaient (sic) de prendre la place d'un breton ! 
Déjà je me pensais en France, unie et indivisible, mais apparemment j'avais franchi une frontière ! En plus le moins s. (non Cica !) de mes collègues, qui partageait cette opinion, est un breton... de la butte Montmartre ! J'en avais discuté avec lui, il était "breton de coeur". 

Pas moi, qui ai quelques menues raisons de ne pas apprécier cette région, mais qui, quand même, peux me targuer d'aligner 23 générations de bretons dans mon arbre, à partir de l'an de grâce 1320....

Je pense que ceux qui précédaient devaient être aussi nés dans le coin, les communications étant assez rustiques au XIVème siècle.

Je me doute que ça ne vous passionnera pas, mais j'aime bien étayer mes dires sur des preuves, et donc voici mon ascendance :

Arbre breton.JPG

J'ai gommé mon nom de famille avec du "blanco". Ernest-Pierre Marie Cica est mon grand-père paternel.

Cependant, si je peux remonter 23 générations en arrière sur cet arbre breton, je n'ai toujours rien concernant les deuxièmes générations :(

- d'une part je ne sais rien de la mère de mon père, Marceline Julie Bonnet, qui aurait été une aventure de mon grand-père, alors mandarin connu à Marseille (professeur d'épidémiologie - ça m'avait servi en 1981 quand j'avais été hospitalisé pour tuberculose à l'hôpital Houphouet-Boigny) mais ayant reconnu mon père.

- plus grave, je ne sais rien non plus de la seconde génération en-dessous ! J'ai appris par internet l'an passé que ma fille était devenue maman, mais j'ignore quand, le sexe et le prénom de l'enfant. Petit-fils ou petite-fille ?
Qui aurait dans les dix-huit mois... J'espère faire sa connaissance avec son mariage ! 

A demain pour le top35 de juillet, qui au moins, ne vous abandonne pas !

Je vous embrasse.

10:58 Publié dans détripage, moi | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

Passionnant ton commentaire,Patrick! L'anecdote du breton de coeur est révélatrice d'un certain ostracisme sans fondement que l'on peut encore retrouver, de ci,de là. C'est formidable (d'Aznavour au Maestro je ne sais pas si le terme convient...) d'aboutir à des conclusions entraînant vers de nouvelles recherches. Congratulations,Patrick,pour cette belle curiosité. Merci de la mettre en ligne, ou en blog. Cordialement. Cédric

Écrit par : Cédric | 08/07/2017

D'abord merci de m'avoir commenté sur cette note généalogique, la précédente n'ayant guère eu de succès ! Ensuite, je dois te dire que la généalogie avec internet est quelque chose de passionnant : plus on découvre, plus on ouvre d'autres portes !
Je suis passionné depuis mes jeunes années, mais à l'époque il fallait se contenter d'aller dans des mairies pour quémander des extraits de naissance, et on n'avait pas toujours satisfaction. Et de toutes façons on ne remontait pas loin (XIXème siècle au max)
Depuis internet, c'est "formidable" comme tu dis, on met en ligne et hop, on attend qu'un autre arbre coïncide. Les fameuses "correpondances" dont je parle dans ma note. J'en reçois tous les vendredis, et là je suis tombé sur une mine d'or !
Amitiés.

Écrit par : cica pour Cédric | 08/07/2017

Les commentaires sont fermés.