le début de mon bouquin à la manière de Patrick Sébastien

Vous vous souvenez de la première page du bouquin que je suis en train d'écrire ? Non ?  c'est là.

Sébastien - que j'aime bien - a fait fort cette fois avec le carnaval des ambitieux : un gros pavé de 365 pages ! Je me suis dit que j'en avais plus d'une semaine de lecture.
Que nenni !  Je vous retranscris ma première page à sa manière, vous allez comprendre.

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Je sais, je sais. J’ai piqué ça à Labro, sauf que lui non seulement il s’est relevé à chaque fois mais il a fait un rappel.

 

 

J’ai fait 5 chutes dans ma vie.

Vous me direz, ça fait une tous les 15 ans.

Mais si certaines ont été brèves (la première, celle du 15 novembre 70, brève mais dure) d’autres se sont étalées sur plusieurs années, comme la troisième, entre les étés 94 et 2003 – 9 ans quand même – et la dernière, qui a débuté voilà 8 ans, que j’essaie de freiner de toutes mes forces, mais dont je sais que je n’aurai pas le dessus.

 

Mon bouquin se veut un témoignage.

Positif, malgré la fin.

Qui montre que si la santé suit, on peut s’en sortir.

Pour moi par l’amitié (1970/71), l’instinct de survie (1982), la volonté (2003/2007) et l’amour (2013 et suivantes).

Je le répète : si la santé suit.

Mais contre certaines saloperies de maladies notamment celles qu’on appelle « dégénératives » on ne peut que freiner.

Pour celle qui me concerne, François Cavanna, Jean-Pierre Descombes et Catherine Laborde en savaient quelque chose.

 

 

Rassure-toi, lecteur, je n’y ferai que peu allusion dans cet ouvrage qui se veut optimiste.

Si ce n’est pour montrer qu’on peut encore faire pas mal de choses même si on ne peut sortir de chez soi qu’en fauteuil…

 

 

Comment ?

J’ai fait une faute ?

On ne dit pas autoblographie mais autobiographie ?

C’est voulu cher lecteur, ce bouquin va pas mal s’inspirer des 2800 billets que j’ai écrits sur mes deux blogs depuis 2005, où je raconte ma vie.

 

Bon, on y va ?

 

Allez, un petit flash-back de trois quarts de siècle, c’est parti !

 

Qu'en pensez-vous ?

STOP ou encore ?

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Vu que le tarif de l'impression est proportionnel au nombre de pages,  je ne vais pas m'amuser à ce petit jeu. Et je vais devoir le revendre car ma bibliothèque n'est pas extensible. J'attendrai qu'il sorte en poche. De toutes façons, malgré un style très accrocheur qui vous fait dévorer ses ouvrages, j'avoue que depuis les joyeux guérissent toujours  il devient de plus en plus consensuel. Où est sa fougue de putain d'audience ? A présent avec lui, à part Judith Godrèche et Delphine Ernotte, tout le monde il est beau tout le monde il est gentil ! Oui, ils ont bien des petits défauts mais qui n'en a pas ?
Et puis j'ai l'impression qu'il veut faire passer des messages à ceux qu'il déteste. Il tape dur, donne pas mal de détails sur la personne, sauf...son identité ! Il s'en tire par une pirouette :
"ne comptez pas sur moi pour vous dire qui c'est, je ne suis pas une balance".  Certes non, mais le destinataire a reçu le message...

Sacré Patrick, je t'aime bien quand même !