Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14/07/2012

Nouvelle escapade prévue de lundi à mercredi

Notre fille est repartie. Elle est arrivée au bon moment,  celui où l'amie de mon épouse Lucienne a perdu son petit-fils de 18 ans, heurté mortellement - alors qu'il avait 4 g d'alcool dans le sang- par une jeune conductrice de 19 ans qui ne l'avait pas vu (il était habillé en noir).

Mon épouse, qui est une éponge (sauf quand cela me concerne) avait commencé à "faire partie de la famille", avait commencé à entamer un deuil qui n'était pas le sien à l'annonce de cette nouvelle.

Pourtant le village s'était entendu pour que mon épouse ne soit pas au courant avant l'arrivée de notre fille, ce qui a été fait et bien amorti le choc.

A présent, notre fille est partie.
Lucienne aussi, on ignore où.

La prochaine visite de l'orthophoniste est prévue jeudi prochain.

D'ici là ????

Et bien, une nouvelle fois, grâce à mon site magique, j'ai réussi à dégotter deux nuits en Suisse (petit-déj compris) pour 30 euros la nuit (!!)  dans un trois étoiles à 15 km d'Avoriaz. 140 km d'ici dont 100 sur autoroute.
Mais, pas en France, bien sûr ! En Suisse "voisine" comme on dit ici.
Quel hôtelier savoyard oserait proposer son trois étoiles pour la moitié de son prix pour cause de non-remplissage ? On a notre fierté, nous , Monsieur ! Et même si quelques chambres restent inoccupées pour quelques nuits, pas grave, on ne le dit pas, on fait comme la SNCF à savoir qu'on se rattrape sur les derniers arrivants ! Qui seront nombreux dans les semaines qui viennent .

J'aurais dû naître Suisse...

D'accord je ne descendrais peut-être pas des capétiens, mais quand même...

Déjà mes parents voulaient "finir" Suisses, à Yverdon pour y passer leur retraite en ouvrant un petit resto français. A l'époque 1 FS valait 1 FF, et c'était les gens de Pontarlier qui partaient faire leurs courses en masse à Yverdon.

De plus, depuis que je suis sur la Toile, j'ai bien sûr tissé beaucoup de liens avec des internautes (presque tous femmes, à l'exception du regretté Dominique Psyblog qui comme moi avait beaucoup de côtés féminins), et sortaient du lot une dizaine de personnes, dont .... 4 Suissesses ! Dont 3 avec qui je suis encore en relation aujourd'hui ! 

Bref, du moins dans sa partie Romande et en dehors de ses tunnels d'autoroute de 2 m de large, je me sens bien dans ce pays.

Bref, la "coupure" indispensable pour mon épouse, pour l'éloigner temporairement du lotissement, puisque, Lucienne étant ailleurs, elle ne pourra pas lui être utile, comme je l'avais envisagé dans une note récente.

Je vous embrasse

12/07/2012

Généalogie

Voici quelques années, j'avais découvert un lointain cousinage avec Louis XV, et donc Louis XVI, Louis XVIII et Charles X.

Certes il me fallait remonter à une ancêtre commune née vers 1325 pour établir le cousinage. Par ma branche Héraultaise de st Guilhem de Désert.
J'étais cousin des rois au... 32ème degré !

Ma foi, j'étais tout fier et je montrai l'arbre à qui je pouvais !

Cousin de roi, c'est évidemment pas mal mais descendant de roi, c'est encore mieux, me disaient quelques vilains jaloux.

Et bien, après quand même quelques mois de recherches et de vérifications, je peux vous dire, Mesdames et Messieurs (roulement de tambour) que je suis descendant en ligne directe des capétiens !

Sans passer par la case "bourbons"...

Vous ne me croyez sans doute pas une seconde, et pensez que moi aussi j'aurais bien besoin d'entretiens psychiatriques....

Alors, bande de mécréants, voici toute mon ascendance, génération par génération :

• Charles MARTEL (690/741), père de
• Pépin LE BREF (715/768) père de
• CHARLEMAGNE (747/814) père de
• Louis LE PIEUX (778/840), père de
• Charles LE CHAUVE (823/877) père de
• Louis LE BEGUE (846/879) .

A partir de là, on bifurque !

Louis le Bègue, donc, père de
• Charles LE SIMPLE (879/929) père de
• Louis d'OUTREMER (920/954) père de
• Charles DE LORRAINE (953/991) père de
• Emmegarde de BASSE LOTHARINGIE, mère de
• Edwige DE NAMUR, mère de
• Béatrice DE LORRAINE, mère de
• Guillaume DE MACON (1088/1157), père de
• Géraud DE MACON (1125/1184), père de
• Ide DE VIENNE (1162/1224) mère de
• Humbert DE COLIGNY, Seigneur de Coligny et du Revermont !

On revient toujours vers ses racines... Dommage que je n'aie pas su ça alors que j'habitais Lons Le Saunier !!!

Bref, Humbert de Coligny, père de
• Humbert (encore un) DE COLIGNY, père de
• Amédée DE COLIGNY, décédé en 1256, père de
• Etienne DE COLIGNY, né vers 1250, père de
• Jean DE COLIGNY, père de
• Etienne (encore un) DE COLIGNY, décédé en 1331, père de
• Jean DE COLIGNY, décédé en 1397, père de
• Gisèle DE COLIGNY, décédée en 1416, mère de
• Catherine DE THUREY, mère de
• Perrin DESCHAMPS, père de
• Isabelle DESCHAMPS , décédée en 1439, mère de
• Hugues DE CHASSEY, père de
• Marguerite DE CHASSEY, décédée en 1511, mère de
• Jean BARESSOL, décédé en 1548, père de
• Guillaume BARESSOL, père de
• Marguerite BARESSOL, mère de
• Marguerite POUTHIER, née à MAICHE (Haut-Doubs) vers 1570, mère de
• Jeanne VESSAUX, née à Maiche en 1590, mère de
• Pierre BOUHELIER, échevin de Cernay l'Eglise, 1619/1679, père de
• Claude François BOUHELIER (1637/1700), père de
• Jeanne-Antoine BOUHELIER (1656/1742), mère de
• Jean-Jacques BAILLY, né en 1686, père de
• Jacques-André BAILLY, né en 1724, père de
• Marie-Joseph BAILLY, née en 1760, mère de
• François-Joseph DELAGRANGE, (1790/1839) père de
• Marie DELAGRANGE, née en 1824,

La grand-mère de ma grand-mère !

Je sais, en bon statisticien, je me doute que la moitié, sinon les trois quarts des français de souche sont comme moi, et descendent en ligne directe de Charles Martel.

Mais moi, je peux détailler chaque échelon !!!

Je vous embrasse.

22:40 Publié dans moi, Science | Lien permanent | Commentaires (9)

le climat se détend...

Troisième jour à trois.

Serait-ce l'"effet orthophoniste" (cette semaine c'était un jeudi) ou l' "effet fille à la maison", ou bien les deux, mais le climat est à la détente.

Et du coup je peux souffler un peu...

Mais que se passera-t'il demain après 16h27, après que nous ayons accompagné notre fille à la gare ?

Sachant aussi que son amie Lucienne ne pourra pas l'aider cette fois, et que c'est même mon épouse qui devra l'aider car notre voisine et amie vient de perdre son petit-fils de 18 ans, fauché par une voiture dimanche matin à la sortie d'une fête de village...

Oui, il lui faudra aider Lucienne, car à Ouhans - et surtout dans le lotissement - on se serre les coudes. Quand l'un(e) est à terre, c'est l'autre qui réconforte. Et ainsi de suite.

Lucienne a tenu mon épouse à bout de bras pendant des jours et des jours, à présent c'est à elle de le faire. J'y veillerai.

Sinon, bonne nouvelle, mon épouse a accepté les entretiens infirmiers psy, RDV est fixé le lundi 30.

Mes finances vont mieux, digérant peu à peu les caprices de la voiture (près de 400 euros entre le freinage et la révision), je ne suis plus dans le rouge écarlate mais dans le rouge orangé.
Et du coup, si une autre occasion de nous évader se profile, nous saurons l'exploiter. La liste des hôtels en promo sort demain...

Voilà les (bonnes) nouvelles. En plus côté température on respire, on est dans les moyennes d'avril, et la nuit ça fait du bien.

Je vous embrasse.

16:45 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (2)

11/07/2012

La cohabitation devient impossible...

C'est le constat que je fais, et je pense que si rien ne change, notre couple va droit dans le mur.

Voici un exemple typique :

Scène "normale", à savoir mon épouse qui essaie de se casser quelque chose en portant des charges très lourdes.

Moi (c'était avant-hier matin) : "Mais attends-moi avant de porter ça, tu cherches vraiment la m...  ! Tu n'es pas si pressée que ça !"
Mon épouse  : " De toutes façons, c'est moi qui dois m'occuper de tout ici, toi tu ne sais rien foutre à part être devant ton ordinateur..."

Notre fille est arrivée avant-hier soir.

Même scène ce matin, mon épouse qui monte des cartons monstrueux de la cave.

Ma fille (qui a passé la moitié de sa nuit devant son PC...) : "Mais attends-moi avant de porter ça, tu cherches vraiment la m...  ! Tu n'es pas si pressée que ça !"
Mon épouse : " Pardon mon petit Bébé, je te jure que je ne recommencerai plus..."


La question que je me pose est double, et brutale :

1) Pour mon bien, ne faut-il pas envisager une séparation ?
et surtout
2) Pour son bien, ne faut-il pas envisager une séparation ?

Temporaire, longue, ou.... définitive ???
Surtout de mon côté...?

Je vous embrasse.

11:31 Publié dans détresse | Lien permanent | Commentaires (10)

09/07/2012

Samedi, soirée avec Dick Rivers

Enfin, "devant" Dick Rivers, car lui, ce n'est pas comme Gérard Palaprat, je ne le connais pas personnellement.

C'était à Nuits St Georges, à 140 km de chez moi, j'avais entendu dire que le grand Dick, qui se faisait de plus en plus rare sur les scènes, passait dans le secteur.
Entre Tours voici un mois, puis Bénodet dans un mois, Florange (57) en novembre, Clamart (92) en avril 2013 et Lille en mai 2013, la région Dijonnaise était une occasion à saisir, notre Dick faisant donc en moyenne un tour de chant tous les deux mois !

En plus, le prix des places (18 euros) est incitatif, le problème étant que ça se passait... en plein air !!!

Depuis le début de la semaine je scrutais tous les modèles météo, sachant bien que si de la pluie torrentielle était prévue durant le concert, celui-ci serait annulé.
Dimanche dernier, je pensais que ce serait le cas. Tous les modèles donnaient Nuits St Georges sous la pluie.
Puis au fil des jours ça s'est affiné. Et dans le bon sens.

Quand, avant-hier, je suis parti d'ici, la dernière prévision donnait quelques ondées préorageuses l'après-midi et même le soir, tandis que le "gros" du truc passerait de 2h à 5 h du matin.

Direction l'hôtel au sud de Dijon, muni de mon mini-PC. Grâce auquel j'ai pu voir que la prévision était confirmée. je voyais des pipis de chat arriver sur nous, mais le "gros truc" était encore en Touraine.

A 18h nous étions garés devant la porte, laquelle ne devait s'ouvrir qu'à 20h, une demie-heure avant le début du spectacle.
A 19h, voyant que la queue devenait de plus en plus dense, nous nous y joignons.
Quelques gouttes tombent, les "pipis de chat" dont je parlais tout à l'heure.
Mais beaucoup sont prêts à plier bagage, ayant entendu "à la télé" qu'il allait pleuvoir ce soir.
Alors je commence à rassurer mon monde, faisant état de ma profession. Les gens semblent alors rassurés.
Effectivement, les gouttes cessent peu après. Et moi je fais le Kékou...

A 19h50, la porte s'ouvre, et les "fauves" (moyenne d'âge 70 ans) sont lâchés.
Nous aurions pu nous mettre au premier rang, mais l'expérience que je commence à avoir des spectacles en général et en plein air en particulier m'a fait opter pour le 5ème rang.

19h35, arrive la première partie. Un groupe de Rythm n Blues (ne pas confondre avec le R and B des Djeunns dont je n'ai jamais saisi de quoi il s'agissait !) assez doué, malgré un problème "à la technique", le mec aux manettes ne semblant visiblement pas trop s'en servir. Son saturé, bonjour les oreilles...

J'avoue que les 3 ou 4 premiers morceaux m'ont enchanté. C'était du bon Rythm and Blues, des années 61/67, bien interprété.

Mais au bout de 40 minutes je commençais - avec une partie grandissante du public - à me lasser.

Ils feront 1h10 d'horloge !!! Et ce ne sera, après un entr'acte interminable, qu'à 22h15 que Dick eentrera sur scène.

Et là, se produira ce que je redoutais.

On critique les jeunes et leur sans-gêne, je pense que ma génération et même celle du dessus n'a rien à leur envier !

Dès que Dick entonne son premier morceau, tout le premier rang se précipite au bas de la scène !
Si bien que le second rang, ne voyant plus rien, fait de même, jusq'au 4ème par effet de domino.

Nous, au 5ème, entre deux têtes dégarnies de papys septuagénaires de grande taille (décidément, les "grands" feront chier leur monde du début à la fin....) on arrivait à apercevoir le grand (pas en taille, il est plus petit que moi) Dick.

Mais ces papys ont horreur de la pluie, et tout d'un coup une bonne saucée fait fuir une grande partie du public, chercher leurs parapluies. Alors là, si l'averse avait duré, je pense qu'il était inutile de rester.
Parce qu'on arrive à voir entre les crânes des vieux de grande taille, mais face à une armée de pépins, inutile d'insister.

Bien sûr, mes voisins immédiats se gaussaient de mes prévisions, moi qui savais que c'était juste un petit hors d'oeuvre mais qu'il est des hors d'oeuvre qui vous font un repas...

Là ce ne fut pas le cas, 5 mn après il ne tombait plus rien, les parapluies se rangèrent.

Dick Rivers, comme tous les "anciens" (de Johnny à Palaprat en passant par Sardou) ont la fâcheuse habitude de vouloir se faire plaisir au lieu de faire plaisir à leur public.
C'est à dire de chanter presque exclusivement des chansons - pour la plupart inconnues - de leur dernier album que de celles connues de leur auditoire.
Nous étions tous là espérant écouter Twist à St Tropez, Va t'en va t'en, j'en suis fou, tout se passe dans les yeux. Plus que "la balade de l'échographié"... (mais si, ça existe)
Mais non. Sur 15 chansons, moi qui connais mon Rivers par coeur, au moins 5 étaient pour moi des nouveautés.

Mais quand même trois morceaux de bravoure.

D'abord son tube de 63, tu n'es plus là.

Tous les oiseaux des jours d´été s´en vont
Ils vont courir d´autres joies
Mais moi ici, je tourne en rond
Tu n´es plus là
Hier encore, tu m´embrassais
Tu riais, serrée contre moi
Tu n´es plus là

Sans toi tout m´est égal, j´ai si mal
Tu n´es plus là
Je voudrais dormir, je voudrais mourir
Tu n´es plus là
Mais je t´aime encore
Je le crie si fort
Que le silence a peur
Je m´accroche à des riens
Tes yeux et tes mains
A l´espoir qui meurt

Peut-être un jour, je serai fort
J´oublierai tes lèvres et tes bras
Mais ce soir, je suis faible encore
Tu n´es plus là

Sans toi tout m´est égal, j´ai si mal
Tu n´es plus là
Je voudrais dormir, je voudrais mourir
Tu n´es plus là
Et les yeux fermés, insensé
Je lutte avec ma peur
T´arracher de moi ou courir vers toi
Je ne sais plus
Ton ombre me suit le jour et la nuit
Tu n´es plus là...

Et là, ce que je craignais arrive. La pluie. Mais pas dehors, dans mes yeux...
Toujours pas guéri 15 ans après mon vieux, c'est quand même grave...

D'autant qu'ensuite il reprend une autre chanson du même style, faire un pont, cette fois c'est les deux yeux qui coulent.
Alors j'ai l'idée, pour mieux masquer la chose, de filmer avec mon Nikon Coolpix 14 mégapixels.

Ca donne ça, et l'on peut très bien voir le crâne du vieux papy devant :
(cliquez sur le lien)

dick rivers.wmv

Enfin, il rappelle qu'en 1968, alors qu'il commençait à être en perte de vitesse, il avait enregistré sur un album une adaptation de Neil Diamond que personne ne connaissait. Ni la chanson (viens tout connaître) ni Neil Diamond.
Et par la grâce d'un film de 1994, la chanson est devenue mondialement connue, interprétée par un groupe obscur, Urge Overkill. Vous connaissez ? Moi non plus !
Mais quand on écoute la chanson, créée en France par Dick Rivers voici...44 ans, là ça fait tilt !


A 23h45, le concert est fini, nous repartons tous, heureux d'avoir pu entendre l'idole de notre enfance, j'oserai dire de toute une vie, de Baby John qui me rappelle ma première colo à 11 ans jusqu'à Amoureux de vous, sorti à l'aube de ce siècle.


Ce ne sera qu'à 1h30 du matin que nous fermerons la lumière dans notre hôtel Dijonnais, tandis que, dehors, elle a tendance a s'allumer. Ce sera un des plus beaux orages que j'aurais eu l'occasion de voir.

A 3 heures près, je me dis qu'on a eu chaud !

Je vous embrasse.

08/07/2012

Tour de France 2012 : Woeckler "out", que sera notre "lot de consolation" cette année ?

Depuis 1998, le Tour de France fait moins rêver.
1998, année où l'on a su que si l'on voulait figurer dans la Grande Boucle, il fallait obligatoirement passer par la case" pharmacie".
Contador, dopé.
Armstrong, dopé.
Sans parler des autres....

Pour moi, et pour beaucoup, le Tour se résume à une visite de notre Pays, sous des angles inédits, et accessoirement de vibrer pour un champion tricolore.

Depuis le retrait de Jalabert, je n'ai plus la foi.

Et, avec ma parano légendaire, j'en viens à penser que depuis, tous les ans, on nous laisse un "lot de consolation"...

Voici trois ans, j'avais été très déçu de ne voir aucun Français succèder au grand "Jaja", que j'avais été soutenir sur la route de sa victoire, qui passait à 300 m de chez moi !

En 2010, "on" décida donc qu'il fallait faire gagner quelque chose aux Frenchies.
Ce fut sur le maillot du meilleur grimpeur que cela se joua.
Et on assista alors à un duel de titans entre Christophe Moreau et Anthony Charteau.
Moreau finira à 33 minutes de Schleck, Charteau à 1h23...

Pour ceux de ma génération, qui savaient qu'un maillot blanc à pois rouges au final signifiait obligatoirement une place dans les 10, voire les 5 premiers, voilà qui peut laisser penser à une course faussée...

Alors on a mis le grand braquet pour 2011.
L'occasion se présentera le 10 juillet, après une "étape-hécatombe" où le peloton sera éliminé par une chute dans le Cantal. A l'arrivée, nouvelle catastrophe avec une voiture suiveuse qui provoque la chute de deux favoris pour l'arrivée, finalement Thomas Voeckler se retrouve, à l'insu de son plein gré, avec le maillot jaune.

Le travail sera de le lui faire porter le plus longtemps possible, sans toute fois qu'il bouscule la Hiérarchie aux Champs Elysées.

Voeckler s'arrachera pour garder le maillot après les Pyrénées.

Dans les Alpes il va résister une étape, puis deux, notamment l'étape-Reine qui mène au Galibier.
Il y gardera 15 secondes d'avance...

Mais il le perdra le lendemain à l'Alpe d'Huez, étape gagnée par... un jeune français, Pierre Rolland.

Le "chrono" final ne laissera même pas un podium au pauvre Voeckler, "on a assez joué", et pour ma part, je pense que le dévolu des organisateurs va se porter cette années sur Pierre Rolland.

On parie ???

Je vous embrasse.

05/07/2012

Horrible révélation cet après-midi

Cet après-midi, rendez-vous chez la psy pour mon épouse. Rendez-vous pris depuis 5 semaines, depuis sa sortie du CHU. Elle était "suivie" jusqu'en mai dernier par une psy "de ville", à qui elle servait de variable d'ajustement pour ses rendez-vous. Jamais le même jour de la semaine, jamais la même heure, et surtout 10 minutes de "consultation". Enfin si l'on peut appeler ça comme ça...
10 minutes de papotage, le plus souvent au sujet de mon boulot, ou alors des horaires des trains...

J'avais essayé de la faire suivre par le second psy "de ville", M. A.... mais celui-ci m'a quasiment envoyé balader, me demandant pourquoi c'était moi qui étais à l'initiative de ce rendez-vous ! Comme si à chaque fois que j'appelais le SAMU pour mon épouse (je dois en être à 50 ou 60 fois) ils me disaient que c'était elle qui devait appeler !

Bref, ne me restaient que les 3 autres psys, toutes les trois basées à l'hôpital.

Quand j'ai pris rendez-vous, j'avais bien demandé si les consultations se faisaient à l'hôpital, il m'a été répondu que non, que c'était au centre médico-psychologique.

J'ai regardé à quoi correspondait le numéro de téléphone, c'était l'hôpital psychiatrique. J'ai pensé que c'était ça, tout en trouvant la chose bizarre, mais en cette période où l'hôpital public doit être "rentable" (j'espère que là aussi le changement ça va être maintenant !) ma foi, pourquoi pas ?

C'est donc là-bas que je me rends tout à l'heure.

Je voyais bien (et les voisins aussi) que mon épouse avait un caractère de chien (encore plus que d'habitude c'est tout dire) depuis le retour d'Autriche, et j'ai très vite compris pourquoi.

Dès que nous sommes entrés elle a été prise de panique.

"Non, non, pas toi, pas là-dedans, ne fais pas comme eux.."

Je suis resté bouche bée devant cette phrase, j'ai failli faire demi-tour, mais quand même, muni de ma feuille de rendez-vous, je suis entré dans l'établissement.
Où on m'a dit que non, c'était au centre médico psychologique.

Je suis comme vous, je savais par exemple que je devais payer mes impôts, mais j'ignorais toujours si c'était à la perception, au centre des impôts, au service des contributions ou au Trésor public...
Là, itou.

Devant l'état de mon épouse qui ne s'arrangait pas, j'ai commencé à m'énerver.

Alors ils m'ont expliqué que c'était une annexe de l'hôpital. Où nous nous sommes rendus illico.

Après une bonne demie-heure d'attente, la psy nous a reçus.

Très bonne psy, car en même pas 20 minutes elle a réussi à faire "cracher" deux choses à mon épouse, deux choses que j'ignorais totalement.

1) Quand elle avait 2/3 ans, on l'avait "enfermée dans des cages en bois" à l'hôpital. Sans doute la réponse de la médecine d'alors à l'épilepsie. J'allais dire "dans la France profonde". Non.... à 300m du jardin du Luxembourg à Paris, dans une maternité qui aujourd'hui porte le nom d'une convention annuelle, mon frère y est passé et j'ai failli le suivre.

2) Plus tard, juste après ses 18 ans, ses parents avaient voulu la faire interner...
Et c'était sa petite soeur, sa chère petite soeur qu'elle a toujours appelée affectueusement "tit bout" qui conduisait la voiture...

Je savais qu'elle avait absolument voulu se faire émanciper à 19 ans, à présent j'ai compris.

D'un coup, ça m'est rentré dedans comme un coup de poing.
Je savais sa famille capable de beaucoup de saloperies, mais alors ça...
J'ignorais en plus que même la soeur cadette était au courant. Mon épouse aussi, j'imagine, mais le choc ressenti en entrant dans l'enceinte de l'hôpital psychiatrique a tout fait resurgir.

Bravo Mme la psy, mais.... tout ça pour rien !

Car elle nous a annoncé qu'elle-même ne pouvait plus faire de consultations externes (j'ai compris "pour les cas "légers" comme la dépression... ), sauf le premier contact, et que ce boulot était confié à des infirmiers.

J'ai réalisé cet après-midi que:

1) L'hôpital public est malade en France. Très malade.

2) Ma belle-famille est à vomir. Pas un scoop mais là on arrive aux tréfonds du sordide. Je comprends pourquoi mon épouse a "boudé" hier à la télé l'étape du Tour qui passait chez elle.

3) Elle avait vraiment beaucoup de choses à "sortir", et que le fait d'être aphasique devait pour elle encore plus terrible.

4) Que finalement, à bien y réfléchir, en dehors de nos amis/voisins nous sommes vraiment tout seuls. Les coups de fil des uns et des autres, ça donne bonne conscience mais ce n'est finalement que du "virtuel"...
Et qu'elle ne peut compter que sur moi. Et donc qu'avoir voulu me fiche en l'air le 5 juin dernier est finalement un luxe que je dois éviter car je ne peux plus me permettre.

Je vous embrasse.

P.S. Pour Janine : tu ne consultes plus ???

21:00 Publié dans détripage | Lien permanent | Commentaires (7)

03/07/2012

Suis-je vraiment de gauche ?

Je m'interroge de jour en jour en constatant mes réactions sur tel ou tel sujet.

Certes, je suis profondément contre les inégalités, et je suis pour que l'échelle des salaires ne dépasse pas 1 à 20 dans la même entreprise, avec un minimum décent.

Mais.... je suis pour que les indemnités chômage ne dépassent pas, elles non plus, un maximum décent.

Certes, je trouve qu'il est nécessaire de payer des impôts, à mesure non pas proportionnelle mais exponentielle de ses revenus, d'où qu'ils proviennent. Avec un garde-fou bien évidemment .

Mais.... J'estime qu'il ne faut pas toucher à ce que l'on a réussi à acquérir du fruit de son travail.

Certes, je trouve que la sécurité sociale est une bonne chose, ainsi que la CMU et le RSA. Je suis pour ce qu'on appelle "l'assistanat".

Mais... Je pense qu'il faut néanmoins mériter tout cela, et justifier de quelques années de cotisations aux régimes de l'assurance-chômage et maladie pour en bénéficier. Cela, pour moi, ne doit pas être automatique.

Certes, j'estime que les gens dans la rue ont le droit de s'habiller comme ils le veulent, et qu'une femme voilée n'est pas choquante si c'est son choix.

Mais... si c'est vraiment son choix.

Certes, j'estime normal que toutes les religions puissent avoir leurs lieux de culte dans notre République.

Mais.... je déplore que la réciproque ne soit pas vraie.

Certes, je déplore également que - comme disait feu Le Général - la politique du Pays se fasse "à la corbeille", que si les gens ont voté pour quelqu'un, ce  n'est pas pour qu'une puissance supérieure, quelle quelle soit, décide à sa place et donc à la nôtre.

Certes, dans les endroits où c'est possible (dans les villes par exemple), je trouve qu'on devrait encourager la politique des transports en commun, quitte à faire payer très cher les places de stationnement.

Mais... Je voudrais aussi me sentir en sécurité à toute heure du jour et de la nuit dans ces mêmes transports en commun.

Certes, dans le même ordre d'idées, je pense que le vélo est préférable à la voiture.

Mais.... à condition que le dit vélo ne devienne pas (et ça je le constate de jour en jour) un danger pour le piéton.

Certes, je pense que c'est un scandale et une abomination que des écoliers ne puissent pas, faute de moyens, manger à la cantine à l'école de la République.

Mais.... en revanche, je prône un même repas pour tous, avec supplément pour les "exceptions". Comme au resto, où es considéré en supplément ce qui n'est pas dans le menu !

Certes, je trouve que ne pas construire des logements sociaux sur sa commune est un scandale et doit être beaucoup plus sévèrement sanctionné.

Mais... Il faudrait aussi que ces logements sociaux soient respectés par leurs occupants.

Certes je considère comme un véritable crime les femmes battues par leur compagnon ou mari.

Mais... je pense également que les femmes - et encore plus les petites filles - martyrisées dans leur chair au nom de certains rites l'est encore plus.

Enfin je trouve qu'il est profondément injuste de se voir refuser une promotion méritée parce qu'on est femme, ou d'une couleur différente, ou les deux.

Mais, je trouve également injuste de se voir attribuer la même promotion PARCE QUE l'on est femme, ou d'une couleur différente, ou les deux.

Alors, je suis quoi ???

Français moyen, je crois ....

Je vous embrasse.

19:33 Publié dans détripage | Lien permanent | Commentaires (4)

02/07/2012

L'Autriche, le pays où l'on arnaque les touristes

D'abord je voudrais une fois de plus tordre le cou à une idée reçue concernant mon blog, même si elle se vérifiait voici effectivement quelques années : je n'écrirais qu'en fonction des commentaires.

Depuis mon retour:
• ma longue note sur notre périple : roue de bicyclette en guise de commentaires
• ma note sur celles les plus lues en juin : La même roue.
• ma note sur les tubes de l'été 1972 : idem.
Juste avant :
• ma note de lundi dernier qui indique la formule magique qui permet de savoir si le prix du carburant à la pompe que vous payez est bien celui que voud devriez payer. Note pourtant utile, zéro commentaire.
• ma note sur la fête de la musique : idem. Bon, ça parle de Nathalie, ça peut expliquer la chose !

Tout cela pour vous dire que cette période est terminée. Que j'écris d'abord pour me faire plaisir, et aussi pour faire plaisir aux éventuels lecteurs. Qui sont en nombre, même s'ils sont silencieux.

S'il est vrai que - de plus en plus rarement  - je me sers de mon blog pour y hurler ma détresse (comme ce maudit 5 juin, qui a failli voir deux bloggueurs célèbres disparaître en même temps) à présent, ma règle est simple : J'écris, comme je le ferais sur un journal intime (tenu avant d'avoir Internet de 1999 à 2003), si ça plaît aux gens, tant mieux, si ça ne leur plaît pas, tant pis.
Je n'ai rien à vendre, je n'ai pas de notoriété à me faire, je n'ai plus tellement de besoin de reconnaissance (sauf en cas de crise), je suis libre.
Libre aussi de virer de mon blog les notes sans intêrêt, afin de l' "aérer"....

Voilà la mise au point que je voulais faire.

 

Sinon, l'Autriche, pays à arnaques...

Je n'ai pas l'intention de faire de mon cas une généralité, mais voici quand même ce qui nous est arrivé pendant ces 48 heures là-bas.

1) Pour emprunter les autoroutes, il faut payer une vignette. 8 euros pour 10 jours, c'est donné, je vous l'accorde. D'autant qu'une forte amende vous attend si vous ne la payez pas.
Le problème c'est que, pour trouver ladite vignette, c'est mission impossible ! J'ai dû faire TOUTES les stations-service de la ville frontière de Feldkirch pour en trouver une....
Le touriste pressé, surtout s'il ne fait que traverser l'Autriche, il se dit "bon, y en a pas y en pas, j'y vais quand même". Et il se fait aligner...

2) Pour passer du Voralberg au Tyrol, vous avez le choix entre le tunnel de 14 km à péage ou la montée par le col.
Quand vous arrivez au pied du col, si vous n'avez jamais pris la route, on vous dirige illico vers le tunnel ! J'ai dû stopper à la bifurcation coincé entre les deux routes, et attendre que le trafic se libère !
Sinon, j'étais lancé et impossible de faire demi-tour...
Pour faire 25 km, nous mettrons plus d'une heure ! Avec des circulations alternées à tout bout de champ, mises là... on ne sait pas pourquoi ! (enfin, moi si, je commence à avoir une petite idée).

3) Il est des villages traversés qui méritent une halte. Tel St Anton. Mais pas de places de stationnement à l'air libre. Je reconnais que la présence de voitures gâcherait le paysage (mais les fourgons et autres voitures de fonction, en foule,  n'ont pas l'air concernés). Les parkings souterrains sont donc obligatoires. Pourquoi, comme dans la plupart des parkings souterrains hexagonaux dans les sites touristiques, ne pas déclarer "gratuite" la première demie-heure ? Si l'endroit vous plaît - comme ce fut le cas pour moi à St paul de Vence - on reste plus longtemps et on paie le supplément.
Là, d'entrée, tarif "journée", à 3.50 euro !!! Comme à Riquewir en Alsace où il suffit d'aller se garer quelques 500m plus loin pour ne rien raquer.

4) Les supermarchés. J'en ai essayé 4 différents, à 3 endroits éloignés l'un de l'autre. SYSTEMATIQUEMENT les promotions sont passées à l'as. Même si vous avez écrit dessus en grosses lettres "HALF-PRICE" (c'est la nouvelle langue Autrichienne !) . Là quand vous montrerez la chose à la caissière, elle rectifiera tout en parlant de vous à la cantonade, en termes qui ne doivent pas être très flatteurs. Sinon, la plupart des prix affichés  ne correspondent pas à leur code-barre.

5 ) Innsbruck. Déjà, se garer.
Quand vous avez la chance de trouver une place, ça se situe comme ça :

DSCN7812a.jpg

Vous voyez les bandes bleues, vous vous dites "c'est zone bleue". Vous faites quand même quelques dizaines de mètres pour voir s'il n'y aurait pas un horodateur, mais non.
En fait, si ! Car des tickets sont bien apposés sur les pare-brises ! Alors il faut essayer de demander à l'autochtone, si celui ci baragouine l'anglais, ce qu'il en est. Et là il vous indiquera un parcmètre, sans doute le seul et unique à 500 m à la ronde !

5) Donc vous laissez votre bagnole moyennant quand même 2 euros (à l'heure de midi !) et vous essayez les transports en commun.
Je sais, j'aurais dû aller à l'office du Tourisme, essayer (avec effort) de trouver quelqu'un qui baragouine votre langue et demander si la tarification horaire qui s'applique désormais à l'ensemble des réseaux continentaux (France, Belgique, Allemagne, Suisse, Luxembourg, Espagne, Portugal, Italie - le pionnier en la matière, dès 1970) s'applique également à Innsbruck.
Comme il s'appliquait.... en 2007 (!) où j'ai pu faire sans souci une boucle dans la ville avec deux trams différents.
Nous prenons donc le tram 3 vers le centre-ville, où vu la chaleur nous ne flânons pas, et revenons par un autre tram, le ticket étant oblitéré depuis 40 minutes.
Vous passez votre ticket dans le composteur, qui fait un "ding" réconfortant (chez nous, ça fait REUHHH quand ça ne marche pas) et vous vous asseyez.

Vient un con-trôleur. Qui arbore un parfait sourire quand il voit nos tickets. Miracle, il baragouine un peu l'anglais. Il me dit qu'on est en infraction car on a utilisé deux fois le même ticket. Je lui dis qu'on n'a pas dépassé l'heure de temps, il me répond que cela n'a rien à voir, qu'1 ticket = 1 course.
Un couple de personnes âgées (15 ans de plus que nous) ont vu que nous avions composté, que nous ne cherchions pas à frauder, et se sont mis à le lui expliquer.
Mais le mec tenait des proies, il n'allait pas s'en déssaisir !!!
Voyant que le couple âgé prenait fait et cause pour nous, il nous a fait descendre.

"Papiere..."
Ce doux mot doit évoquer pas mal de choses aux quinquas et au-delà...
"Non", répond mon épouse, en me retirant des mains la carte d'identité que connement j'étais en train de lui donner. Ouf, merci à elle.
Là il rugit : "No papiere, alors Police".
Puis il me dit que "normalement l'amende est à 110 euros par personne (!!!) mais qu'il veut bien la faire descendre à 55...!!"
Là, je lui dis tout net :"call the Police".
Je veux bien me faire pigeonner, mais qu'au moins il y ait des traces....
Furax il prend sa tablette et hurle des trucs.
Et puis, au bout de 2 minutes, il nous tend les tickets. Visiblement il s'était fait rembarrer par une police qui, contrairement à lui, n'était pas corrompue.

6) Pas question de rester dans cette ville. Et même, dans ce pays d'arnaqueurs. L'autoroute toute proche indique BRENNER 31 . L'Italie ....
Car c'est comme chez nous les panneaux autoroutiers sont en bleu ! Histoire peut-être de tromper les Italiens, Suisses et Allemands ????

On y fonce, et quelques 20 minutes plus tard, à 1330 m d'altitude, nous y sommes.
On sort, et .... on voit une cabine de péage !!!
12 euros. Donc pour certaines autoroutes autrichiennes il faut raquer deux fois....D'abord la vignette et le péage (MAUT) proprement dit !

Après une petite heure passée en territoire italien, nous redescendons par la Nationale. Une heure et demie pour faire 40 km sur une route qu'aucune commune française ne voudrait pour faire passer ses tracteurs !
Quoique... chez nous c'est aussi vrai : les nationales longeant les autoroutes, même si elles sont très roulantes, sont bourrées de rond-points tous les 500m, qui le plus souvent, débouchent sur... l'herbe ! Comme Pau-Bayonne, par exemple.

7) le soir nous décidons de visiter les cascades de Stuibenfall. Juste à côté de chez nous.
Mais, alors que nous nous garons sur l'herbe, un panneau TICKETS est posé à côté d'un parcmètre.
Même topo, comme aux Cascades du Hérisson (Jura), c'est 3.50 euro la place de stationnement.

Là je dis "stop" et nous montons dans notre village haut perché.

8) Le lendemain, départ. Je me souvenais des tunnels et du passage du col de l'Arlberg, aussi décidé-je de passer par la route touristique de la Silvretta.
Après 35 km de route alpine, que voit-on au détour d'un chemin ?

Si.... une barrière de péage !
14 euros !!!
Le type nous tend une brochure :

Image (71).jpg


Cette fois la coupe est pleine, pas question de déjeuner dans un des restos du col, je n'ai qu'une hâte, de quitter ce pays à arnaques !!

Bien entendu, pas la moindre table de pique-nique sur le bord de la route, il faudra attendre une aire de repos sur l'autoroute pour en trouver une.

Et encore, je me demanderai un temps, traumatisé, s'il ne faut pas payer pour manger sur cette table !


Bien entendu nous reviendrons là-bas. Mais en touristes "avertis".  En nous renseignant le plus possible dans les offices de Tourisme, ou sur Internet - quand c'est possible, par exemple aucun plan n'est disponible sur le site des transports publics d'Innsbruck.

L'Autriche est un très beau pays à visiter, mais alors quelle bande de voleurs !!!

Je vous embrasse.

15:00 Publié dans arnaques | Lien permanent | Commentaires (12)

01/07/2012

Les notes que vous avez les plus lues en juin

Ce mois-ci (comme le mois dernier), je ne publierai pas de classement.

Une triste actualité a fait que certaines notes ont été enlevées, et d'autres (surtout une) ont littéralement explosé. Mais il est de ces "succès" dont on préfèrerait se passer...

Je peux vous dire quand même que l'âge des chanteurs remporte toujours un franc succès, loin, très loin devant.

Idem pour I love your attitude, toujours bien placé.

Lettre à ma fille est juste au pied du podium pour le total des lectures (238) de mai et juin. Une belle surprise.

Côté musique, vous avez aimé les tubes de l'année 1969.

Enfin, côté "rose", Vers les étoiles - 8 est toujours dans les 25 premiers, confortant sa place de seconde note la plus lue de tout mon blog.

Je vous embrasse.

17:21 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)