08/03/2020
alors, ce coronavirus ?
Qui fait trembler la planète, info ou intox ?
En tout état de cause, je me rappelle avoir écrit cette note voilà 8 ans.
Je vous embrasse vous salue !
16:47 Publié dans non politiquement correct | Lien permanent | Commentaires (36)
07/02/2020
la guerre des sexes
Je vous livre un texte, paru dans "Marianne", qui reflète bien ce que sont en train de devenir les relations entre les hommes et les femmes. Ce texte, du jeune Quamel est un peu exagéré mais si peu...
On ne se rend pas toujours compte à quel point le sexisme et le patriarcat sont présents partout et se cachent parfois sous des apparences de "galanterie", voire de "savoir-vivre".
Heureusement on peut compter sur des personnalités clairvoyantes pour nous en faire prendre conscience. Ainsi Vanessa Descouraux, journaliste à France Inter a dénoncé sur Twitter un cas évident de Mansplaining de rue :
Un gars inconnu : "attention laissez pas votre batterie sur votre vélo, il ya bcp de vols". Alors Jean-Wilfried merci car jusqu'à ta divine intervention je n'avais jamais entendu parler de vols de vélos à Paris. Jamais. Et occupe-toi de ta life.
On voit bien ici à quel point, outre le fait qu'il se croit permis de s'adresser à une jeune femme sans son autorisation, l'homme profite de sa situation de dominant pour l'humilier en la prenant pour une non-initiée, voire une "provinciale" pour asséner une leçon avec la supériorité du "mâle cis hétéro".
Ajoutons à cela le vouvoiement, typique de la condescendance du bourgeois blanc, et l'injonction de faire ce que l'homme dit à travers l'impératif et vous obtenez le parfait condensé du patriarcat décomplexé. Et qui sait si en cas de réponse plus amène de cette femme, l'homme n'en aurait pas profité pour la violer du regard, voire plus tard fantasmer sur elle sans son consentement ? La journaliste a bien fait de réagir de la sorte.
Inversement, le courage de cette femme, qui n'hésite pas à fustiger cette ignoble agression machiste sur Twitter tout en libérant sa parole, est exemplaire. En outre, on sait pertinemment que même lorsqu'ils n'en laissent rien paraître, les messieurs ne pensent qu'à une chose. Derrière un faux gentilhomme de trottoir, il y a toujours un vrai "mâle hot rue".
Cette façon odieuse qu'ont les hommes à s'adresser sans vergogne à des femmes inconnues pour leur expliquer la vie n'est hélas pas rare, et il convient Mesdames de ne pas se laisser berner par ces prétendues marques de politesse et de générosité et de se méfier comme de la syphilis du "Nice Guy Syndrome", car un gars sympa, ça n'existe pas !
Voici quelques conseils pour vous éviter toute désillusion :
- si un homme vous dit bonjour, c'est qu'il cherche à vous "silencier".
- s'il vous dit qu'il vous aime, c'est pour vous réduire au rang d'objet.
- s'il vous demande en mariage, c'est pour contrôler vos dépenses et
- s'il veut un enfant c'est évidemment pour alourdir votre charge mentale !
Mais pour se libérer totalement de cette emprise sexiste qui contamine tous les rapports sociaux, il convient de ne surtout pas s'arrêter aux situations actuelles et de réinterpréter l'Histoire avec davantage d'objectivité, car celles-ci ne sont qu'une répétition de celles-là, un "remec" en quelque sorte.
Avec le recul, comment ne pas voir un acte misogyne dans l'ordonnance du général De Gaulle donnant le droit de vote aux femmes, ou dans la loi autorisant la contraception proposée par un homme, Lucien Neuwirth ?
Hélas, à l'époque, des féministes moins vigilantes et plus collabites n'ont pas réagi comme il eût phallus !
Enfin, il convient de ne jamais oublier le paternalisme abject dont a fait preuve en mars 2018 le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame à Trèbes, imposant à une femme de prendre sa place d'otage sans même lui demander son avis...
J'avoue que j'ai hésité avant de reproduire le dernier paragraphe, mais je pense que publier un texte tronqué risque de le dénaturer. Il faut prendre le tout ou ne rien prendre.
Pour ma part j'apprécie ce genre d'humour cynique style Bedos (père et fils) ou Desproges avant qu'il ne se prenne le melon...
Je vous mets le lien de son blog, qui n'a qu'un défaut, c'est celui de laisser voir son compteur. Une erreur de jeunesse qui m'a duré une bonne demi-douzaine d'années ! Sans doute a-t'il, comme c'était mon cas, un grand besoin de reconnaissance ? Et de voir 6 chiffres comme nombre de pages vues le rassure ?
Bonne lecture en attendant
Je vous embrasse.
14:32 Publié dans actualité, non politiquement correct | Lien permanent | Commentaires (16)
09/10/2017
WIKIMERDIA
Je parle de Wikipédia, cette soi-disant "encyclopédie" réalisée par les internautes.
En ce moment ils font la manche, et vous réclament à cor et à cri quelques euros pour que le site perdure.
J'aurais été tenté de le faire, bien que sachant que cette "encyclopédie" comporte des erreurs;
On me dira : on peut corriger les erreurs et les soumettre...
Que nenni !
Un exemple, tout frais. Sur Gérard Palaprat.
Sa vie privée, pour eux, ne se résume qu'à une seule chose :
C'est un peu court ! Pour moi la "vie privée des gens c'est autre chose qu'une condamnation (surtout si elle n'est pas méritée, comme c'est le cas - moi aussi je peux parler de la "vie privée" de Gérard). C'est comme si on comparait celle de Delon à la seule affaire Markovic !
Depuis presque deux semaines, je rectifie ce passage en le supprimant, indiquant mes raisons. Ils ont mes coordonnées, peuvent me contacter, mais non ! Le lendemain, le paragraphe est remis...
Alors deux questions se posent :
1) qui est derrière tout ça, de ne retenir que le négatif d'un homme qui fut bon et généreux, au point de ne pas tenir compte de mes rectifications ?
2) Les internautes peuvent-ils vraiment apporter quelque chose dans cette soi-disant "encyclopédie" ? Pour moi la réponse est non.
S'ils veulent des sous, ils n'ont qu'ont qu'à en demander à ceux qui tiennent à ce que la mémoire de Gérard Palaprat soit salie !
Je vous embrasse.
15:28 Publié dans non politiquement correct, Ras-le bol | Lien permanent | Commentaires (31)
24/08/2016
ma victoire contre deux médicaments
Cet été j'ai réussi à gagner la bataille contre deux médicaments.
1) TEMESTA
Voilà ce que j'écrivais voilà 5 ans, sur ce même blog :
Je ne vous ai jamais "tenu au courant" car à partir de cette note de décembre 2011, ma vie a été ainsi faite que je n'ai jamais pu vraiment tenir ce cap.
On en est donc à deux comprimés jaunes à cette date. Effectivement, je vais commencer à baisser, mais vraiment, la vie que me fera mener mon ex-épouse ne me facilitera pas la tâche !
Je passerai sur les détails (que vous pouvez lire live sur mon blog - je n'ai pas enlevé les notes) mais toujours est-il qu'à l'orée du printemps je suis revenu aux fameux deux comprimés.
Là, conjonction avec le "virtuel" (un de mes amis s'est suicidé devant son PC), et le "réel", à l'été je passe à 3 comprimés. Car cet été sera bien agité pour moi. Déjà le 14 août à l'issue d'une énième scène de ménage me vient une hémorragie nasale costaud, durant laquelle non seulement mon ex n'appellera aucun secours (c'est une voisine, présente sur les lieux, qui le fera) mais elle me reprochera, alors que je me vide de mon sang, de.... salir son carrelage !
Pire : alors qu'après la fin de l'hémorragie l'hôpital de Pontarlier me jettera dans la rue (un conseil, je vous en prie, évitez A TOUT PRIX cet établissement !) ma chère ex refusera de venir me chercher en voiture. Alors qu'elle m'avait enlevé ma carte bleue et mon portable !!! Je réussirai néanmoins à m'en sortir, Dieu veillait sur moi.
Comme si cela n'avait pas encore été assez, le lendemain, elle.... fait sa valise et part de la maison.
C'EST FINI, FI-NI, me lancera-t'elle devant les voisins médusés qui assistaient au spectacle. JE FOUS L'CAMP !!
C'est vrai que depuis pas mal d'années elle me reprochait de f... sa vie en l'air, de m'éloigner de notre fille et de vivre dans un "trou".
Quand, une quinzaine de mois plus tard j'exaucerai enfin son voeu, en quittant tout muni d'une valisette et d'un sac à dos, non seulement elle ne sera pas satisfaite mais dès lors commencera à empoisonner ma vie.
Aux dernière nouvelles ça continue !
Mais bon, revenons-en au témesta. Le 16 août, épuisé, j'entre à l'hôpital d'Ornans (pas question de Pontarlier) qui me maintient à 3 comprimés jaunes. Sur le rapport envoyé à mon médecin traitant, je verrai la cause de mon hospitalisation : "burn-out à domicile"....
A partir de là je vais rester dans ma cave aménagée, n'osant plus affronter ma "terreur domestique". Ma cave reliée à Internet. Où, tout comme 9 ans auparavant, je vais parler à des personnes qui me comprennent. Et qui m'aident. Qui me disent, tout comme mon médecin traitant, M. Jardin, "de partir pendant qu'il en est temps".
2013 sera l'année décisive. Plus les mois vont passer, plus je serai espionné par mon ex, qui, un soir de novembre, viendra dans ma cave me demander (à 23h) "la recette de la choucroute" !!!
Après une semaine d'hôpital, où j'aurai le loisir de réfléchir, je quitte ma maison, avec comme je l'ai dit une valisette et un sac à dos.
Et toujours mes trois comprimés jaunes.
Cap sur Toulon, ma ville-fétiche, où je commence à me refaire une santé. Et je repasse à deux comprimés et demie.
Mais très vite, je vais recevoir l'assaut de SMS, d'appels répondeur, et même de calomnies sur mon blog, le 22 février, d'un gendre qui jusq'à présent ne m'avait jamais calculé....
Qui me dit que "belle-maman", qui pourtant désirait ardemment que je la quitte, partir du "trou" où elle était et rejoindre notre fille, alors que (peut-être brutalement) j'avais accédé à ses désirs, n'était plus que larmes et cris...????
Et qui évidemment m'insulte copieusement : "tant de lâcheté dans un si petit homme"..
Il me semble, à moi, que la lâcheté aurait été de rester !
C'est toujours sur mon blog, du reste, je n'ai pas enlevé ces saloperies.
Bref, toujours trois comprimés, alors que Madame, en mai, se décide à demander le divorce. On a dû lui dire qu'au final c'était rentable...
Mon avocat, après la première conciliation à Besançon en septembre, me dira n'avoir jamais vu autant de haine dans un cas similaire...
Puis, au cours de l'hiver 2014/2015, les choses se tassent, et j'arrive à retrouver mes deux comprimés.
Nouvelle conciliation à Toulon en avril 2015, qui se passe très mal, de nouveau trois comprimés :(
A partir de mai 2015, même si je suis contraint à verser une "prestation de secours" à mon ex ( qui a déjà empoché 110.000 euros de la vente de notre maison et qui touche 1050 euros de l'état) je deviens de plus en plus serein, et passe à deux comprimés et demie à l'été.
Puis reviens à ma "dose 2011", deux comprimés à la Noël.
Au mois de février un et demie.
Mais le 24 mars, la mort de mon cousin germain qui était un peu mon grand frère me fait rester à deux.
Redescente avec un et demie fin mai.
Et depuis début août, me voilà à un seul . Certaines "nouvelles" apprises depuis auraient pu m'inciter à ré-augmenter mais j'ai tenu bon. Considérant que moi, au moins, je peux me regarder dans une glace...
2) KENACORT RETARD
Piqûre de très faible dose de cortisone destinée à calmer mon allergie au pollen de graminées. Je la prends depuis 41 ans, prescrite à l'époque... par un allergologue !
Depuis une vingtaine d'années, les jeunes médecins, ayant d'un côté la phobie de la cortisone sous toutes ses formes, et de l'autre certains avantages par les labos à prescrire de médocs qui certes font effet mais aussi qui abrutissent (Théralène, Singular, Aérius) sont très rétifs à me prescrire cette piqûre.
Ma pauvre maman en prenait jusqu'à 4 chaque été mais elle n'est pas morte de cela !
Bref, à chaque changement de lieu d'habitation, il m'est de plus en plus difficile de trouver un toubib de moins de 60 ans qui prescrive cela. Les deux dernières années, aidé par le climat maritime de Toulon, j'ai pu m'en sortir avec une seule piqûre.
Mais cet hiver le diagnostic est tombé : je suis diabétique. Et donc la cortisone c'est fini.
Alors, à partir du mois d'avril, j'ai lutté contre cette allergie, qui cette année était encore plus méchante. Mes yeux ont piqué de plus en plus, puis larmoyé, la rhinite est venue, un début de toux, mais je tenais, je tenais.
Et puis la météo m'a aidé.
Pas ma boîte, mais le temps qu'il a fait. Grosse sécheresse qui a grillé sur pied ces saloperies de graminées, et là, je peux dire que j'ai passé le cap.
L'an prochain, mon diabète sera "stabilisé", et je connais un vieux toubib près du Garlaban qui pourra à nouveau me prescrire la piqûre magique !
Je vous embrasse.
15:17 Publié dans détripage, moi, non politiquement correct | Lien permanent | Commentaires (11)
23/03/2015
Les mystères de la ligne Marseille-Toulon
La première fois que j'ai parcouru cette ligne, c'était voilà.... 55 ans, en 1960. La loco vapeur avait certes du mal à s'ébranler mais une fois lancée, rien ne pouvait l'arrêter. Le temps de trajet était de 40 mn, soit une moyenne de 101 km/h. Pas mal pour une ligne (presque) de montagne à cette époque.
Puis vint l'électrification en 1967. Là les temps tombèrent pour certains rapides (comme "le ligure") à 37 mn soit 109 km/h.
Puis vint le TGV en 1981. Et en décembre dernier, on ajouta une voie sur la section Marseille-Aubagne.
A l'heure actuelle, les TGV et trains les plus rapides mettent.... 42 minutes au mieux pour faire le trajet, sur une voie renouvelée, sans passage à niveau (ils étaient encore nombreux en 1960) et des systèmes d'annonce dernier-cri !!!
Pourquoi ??
Pourquoi ce recul ?
Première réponse qui vient à l'esprit, l'économie d'énergie. 5 minutes pourraient donc permettre d'économiser pas mal sur 67km ?
Faux, car sur ce tronçon, les trains font de nombreuses accélérations et décélérations, gourmandes en énergie. Alors quoi ?
Décortiquons les vitesses limites autorisées sur cette ligne:
- 30 puis 60 km/h sur les 2 km de la sortie de la gare St Charles
- 125 km/h ensuite jusqu'à La Pomme.
- 135 km/h de La Pomme à Aubagne.
- 125 km/h de Aubagne à Bandol
- 160 km/h de Bandol à La Seyne (j'habite sur ce tronçon, à 20m de la ligne, effectivement les trains foncent, parfois au-delà des 160, et pour cette raison la gare de Sanary est connue pour son nombre de suicides).
- 140 km/h de la Seyne à l'avant-gare de Toulon.
Les trains pourraient donc abattre le trajet en 32 minutes, temps d'accélération et décélération compris.
Mais il n'en est rien, on l'a vu.
Je repose la question : pourquoi ?
Pour le savoir, il suffit de prendre un de ces trains.
Si effectivement la vitesse est proche de la limite autorisée de La Seyne à Aubagne, force est de constater que c'est loin d'être le cas aux deux bouts de la ligne.
Souvent, pas plus de 60 km/h jusqu'à la Seyne, au lieu des 140 autorisés. Perte de temps : au moins 3 minutes.
Mais presque tout le temps, c'est aussi du 60 sur les 16 km d'Aubagne à Blancarde !
Perte de temps au moins 7 minutes.
Et cela sans travaux ni problèmes de signalisation...
J'ai demandé plusieurs fois la raison de ce ralentissement à des contrôleurs, qui m'ont soit souri en haussant les épaules, soit répondu "on ne peut pas le dire"...
Dire quoi ? Je ne le saurai pas... A moins que la vie du rail y consacre un sujet ?
J'ai bien ma petite idée, mais plutôt que de me voir attribuer des qualificatifs oiseux, surtout en cette période, je préfère m'abstenir.
Mais franchement, du haut de mes 64 printemps (là je peux le dire aujourd'hui lol) je regrette le temps où les Pacific ou Mountain fendaient l'air sans que quoi ou qui que ce soit ne puissent arrêter leur puissant élan !
Vieux con ?
Peut-être, va savoir !
Je vous embrasse.
04:20 Publié dans non politiquement correct | Lien permanent | Commentaires (16)
07/01/2015
L'HORREUR
La liberté d'expression est morte aujourd'hui, 7 janvier 2015, qui sera désormais le 11 septembre 2001 français.
Le prétexte a été une caricature de clérical voilà quelques années, Charlie-Hebdo s'attendait à un attentat mais jamais ils n'auraient pu penser à une telle tuerie.
Cabu, Tignous, Wolinski, les dessinateurs qui m'ont accompagné toute ma vie ont été fauchés par la barbarie. Charb, Bernard Maris, et 5 (pour l'instant) autres personnes également.
Leur crime ? Un dessin satirique....
Bien sûr "on" nous dira qu'il ne faut pas faire d'amalgame entre une communauté et cette horde d'assassins.
Peut-être. Mais en ce qui me concerne, je pense simplement que tous ceux qui au fond de leur coeur approuvent cet assassinat méritent, eux aussi la mort.
Cicatrice.
16:37 Publié dans actualité, détripage, non politiquement correct | Lien permanent | Commentaires (2)
01/01/2014
En chantant......
14:04 Publié dans détripage, Marie, non politiquement correct | Lien permanent | Commentaires (2)
12/02/2013
le feuilleton "mariage pour tous" enfin terminé
On en parle depuis novembre dernier, le Petit Journal de Yann Barthès, qu'on a connu mieux inspiré, en a parlé pendant 3 semaines d'affilée (et ce n'est sûrement pas fini) , bref, peut-être qu'on va arrêter de cacher avec cette "poudre aux yeux" le bilan d'un François Hollande qui m'a énormément déçu.
A croire que le mariage homo était le pivot de ce qu'il promettait, notamment lors du débat télévisé...
Moi président de la République, je n'aurai pas la prétention de nommer les directeurs des chaînes de télévision publique, je laisserai ça à des instances indépendantes....
Ah bon ??
C'est pour ça qu'il a nommé Olivier Schrameck, directeur de cabinet de Lionel Jospin, président du CSA ??
Moi président de la République, je constituerai un gouvernement qui sera paritaire autant de femmes que d'hommes.
Oui, si on compte les ministres délégués aux choux farcis ! Mais dans l'ordre protocolaire, les hommes occupent les places 1, 2, 3, 5, 8, 10, 12, 16, 18 et 20. La première femme pointe à la 4ème place et les autres n'ont droit ensuite qu'aux numéros 6, 7, 9, 11, 13, 14, 15 et 19...
Moi président de la République, les ministres ne pourront pas cimuler leur fonction avec un mandat local, parce que je considère qu'ils devraient se consacrer pleinement à leur tâche.
Demander à Jean-Marc Ayrault, premier ministre et maire de la 6ème ville de France !
Sans parler du maintien de la retraite à la Sarkozy (mon épouse partira bien à 61 ans et deux mois, bien qu'elle ait commencé à 16 ans....) , du cadeau fait aux banques avec la non-séparation entre établissements de dépôt et banques casino, promise pourtant aux français...
Quand au joujou du maire de Nantes, un aéroport qui ne s'impose pas vraiment dans une région qui est à moins de 2 heures de Paris en TGV, celui-ci n'a pas vraiment l'air de lâcher le morceau !
Et l'abandon de notre industrie, n'en parlons pas non plus...
Comme le disait Coluche, la loi anti-tabac est une réussite, même les haut-fourneaux ne fument plus !
Je suis de gauche depuis l'âge de 17 ans, j'ai évidemment voté Hollande aux deux tours, mais je suis vraiment écoeuré que nos députés aient passé autant de temps à discuter d'un sujet sociétal (le mariage entre homos) alors que le social, lui, n'a pas, pour l'instant, eu droit a autant d'égards.
J'espère qu'à présent, on pourra enfin aborder d'autres sujets !
Je vous embrasse.
17:50 Publié dans actualité, non politiquement correct, Ras-le bol | Lien permanent | Commentaires (2)
29/10/2012
Les feignasses aux 16 semaines de congés...
Non, non, je ne vais pas ici parler des enseignants, qui effectivement ont ce régime.
A mon avis, pour faire ce métier O combien difficile, surtout dans les "quartiers" du même nom, et pour un salaire qui n'est pas des plus mirobolants (moins qu'un ouvrier qualifié dans la plupart des cas...), ces "coupures" sont nécessaires.
Non, je veux parler d'une autre catégorie, des gens dont tout le monde a entendu parler, des personnes qui touchent environ 10 à 50 fois le salaire d'un prof pour accomplir une profession qui finalement les met en lumière, et qui parfois "s'amusent" en accomplissant leur métier. C'est du moins ce qu'ils prétendent pour la plupart quand ils écrivent leurs mémoires.
Car, oui, ils écrivent leurs mémoires !!
Tout à l'heure, je suis monté ventre à terre dans ma salle à manger pour voir les infos de France 3. L'ouragan Sandy me préoccupe énormément, d'une part pour les pauvres gens qui vont en être victimes, et aussi parce que c'est la première fois qu'un ouragan de cette intensité frappe la côte est des Etats-Unis. Les deux côtés de l'Atlantique sont touchés par deux phénomènes opposés mais encore jamais vus de mémoire d'homme à cette époque de l'année.
Effectivement, les images nous provenant de là-bas sont déjà alarmantes.
Mais je ne reconnais pas la présentatrice habituelle. Congé de maladie ?
A 19h50, je zappe sur Canal pour regarder les Guignols. Le générique arrive, PPD apparaît. Mais il me semble avoir déjà entendu cela... Et, muni d'une loupe, en m'approchant du téléviseur, je peux lire en tout petit en haut à droite :
BEST OF.
Ces deux mots en disent long. Ils signifient "réchauffé pour cause de vacances"...
Et bien évidemment quand je zappe sur France 2, je vois le remplaçant du remplaçant, déjà là l'été dernier, qui officie. Les reporters sont apparemment (sauf Maryse Burgot, qui en direct de New-York, a décidé de faire son taf jusqu'au bout) des stagiaires qui butent sur tous les mots, y compris sur des sujets très sensibles.
Bref, ces feignasses dont je veux parler, et qui parfois nous donnent des leçons, ce sont les "vedettes" de la télé.
Je ne cite pas de nom, ils sont TOUS à mettre dans le même panier !
Les remplaçants ont des beaux jours devant eux, qui officient en été (deux mois, parfois même dès le 20 juin) , à la Toussaint, à Noël, pendant les vacances de février des Parisiens, et les vacances de Pâques. 16 semaines de congé pour ces messieurs-dames les Stars, on se demande vraiment pourquoi....
Je vous embrasse.
20:48 Publié dans non politiquement correct, Ras-le bol | Lien permanent | Commentaires (8)
22/10/2012
Vieux motard que j'aimais...
Il est 13h55, dans une rue de Besançon près de la gare.
Nous nous apprêtons à consulter l'ophtalmo pour mon épouse.
Il nous reste qu'à traverser la rue, pour cela nous faisons un détour et empruntons le passage piéton.
Bien que nous ayons la priorité, je regarde quand même à gauche. Rien à l'horizon.
Nous nous engageons. Quand je vois surgir une moto, qui freine brutalement. Et là je l'entends :
"Vous ne devriez pas vous amuser à faire ça, n'oubliez pas que je suis un deux-roues..."
J'allais lui demander à quelle vitesse il allait (pour moi, largement 80 à 100 km/h) quand je le vois nous contourner, et me dire d'une manière très Sarkozyenne :
"Casse-toi connard..."
Pour les gens (il a lui-même employé le qualificatif) de son espèce, de plus en pus nombreux, traverser la rue sur un passage protégé est donc "très dangereux"...
Mais rouler à deux-roues à plus de 80 en pleine ville, ça ne l'est pas.
Signé : les anti-cons casqués en colère ;-))
Je vous embrasse.
18:51 Publié dans non politiquement correct | Lien permanent | Commentaires (5)