Carnet de notes : CAT STEVENS

15.5 : BIEN

	SLC
1967	5	MATTHEW AND SON	15
1967	NC	I’ M GONNA GET ME A GUN	15
1967	NC	A BAD NIGHT	16
1967	NC	KITTY	16
1967	NC	THE FIRST CUT IS THE DEEPEST	17
1968	NC	LOVELY CITY	17
1968	NC	HERE COMES MY WIFE	16
1970	1	LADY D’ARBANVILLE	16
1970	2	WILD WORLD	15
1970	11	RUBYLOVE	12
1971	2	SAD LISA	17
1971	4	MORNING HAS BROKEN	16
1974	21	OH VERY YOUNG	14

Aussitôt demandé, aussi fait ! J'ai été surpris du résultat. Pour l'instant Cat Stevens est en 2ème position, derrière les Animals... Il faut dire que, Cat ne passant que très peu sur les ondes "nostalgiques", je n'ai pas entendu ces chansons depuis leur époque, à l'exception de "lady d'Arbanville" et "wild world", et du coup, chaque chanson me fait resurgir ce que je vivais à cette époque.
"Matthew and son", de belles vacances de Pâques à Toulon chez mon oncle Lucien, au pied de la montagne. Je me baladais toute la journée, à pied le plus souvent, mais aussi en bus. L'arrêt se trouvait à cinquante mètres, devant une toute petite maison. J'ignorais alors que, près d'un demi-siècle plus tard, j'y habiterais ! Reparti de zéro, ayant tout laissé 5 jours auparavant : mon si beau village, mon beau chalet, mon confort,  j'y entamais une nouvelle vie. Qui dure toujours, 11 ans après.
"A Bad night" un mois de septembre joyeux avec Jean-Yves. Beaucoup de balades, mais en vélo !
"lovely city" c'est mai 68, les barricades, les balades à pied et en stop avec mon inséparable François, surnommé "Fanfan" par ses collègues du R.A.I.D. où il sera de toutes les interventions.
"Lady d'Arbanville" c'est mon premier amour, qui n'aura duré que 3 mois. Mais la rupture fut dure, et il est tout à fait vrai que "first cut is the deepest".
"sad lisa", mon année de fac, qui se passera le plus souvent à jouer aux cartes, au bowling - atteint via une toute nouvelle ligne de métro, appelée le R.E.R. - à refaire le monde au bar de l'Odéon, avec deux autres étudiants et trois étudiantes. Année blanche mais prévue comme ça, en attendant les choses sérieuses.

A demain pour le top 15 des papas, dont beaucoup ne sont plus là.

Je vous embrasse;