26/05/2013
HIT-PARADE de SALUT LES COPAINS du 15 JUIN 1964
En ce mois de juin 1964, Johnny est toujours le plus classé, avec 7 chansons. Mais seulement une dans le top 10...
Sa fiancée Sylvie arrive seconde, avec 5 chansons.
La troisième place est prise par la jeune France Gall, qui commence à faire parler d'elle, avec 4 chansons en compagnie d'Eddy Mitchell.
En 5ème on trouve Françoise Hardy et Hugues Aufray avec 3 chansons.
8 èmes et deux chansons pour Richard Anthony, Frank Alamo, Monty, Michèle Torr, Pétula Clark et Sheila.
14 èmes avec une seule chansons pour les Surfs, mais aussi pour Dick Rivers (30ème place) qui traverse une mini-traversée du désert, accompagné de Claude François. Michel Laurent est aussi dans ce cas, ainsi que Billy Bridge. Le Madison a vécu... Idem Jacky Moulière, Danyel Gérard, Jocelyne, et Jean-Jacques Debout
Les petits nouveaux Marianne Mille et Thierry Vincent ont également une chanson classée, comme le groupe Les Lionceaux et ....les Chaussettes noires sans Eddy ! 45ème place pour "la nuit est belle".
Non, j'ai bien compté, deux chanteurs à la 5ème place et je suis passé ensuite à la 8ème. Manque un !
Et oui, la "création-maison" Chouchou a aussi trois chansons classées ! Ce Chouchou va durer seulement quelques mois, durant lesquels le hit-parade sera un peu faussé...
Côté étrangers, les Beatles ne dominent plus comme au mois précédent : deux chansons seulement.
Un seul titre pour tous les autres, dont leurs rivaux les "Rollingstones" qui n'arrivent qu'en 5ème place.
Présents aussi Elvis, Ray Charles, Chuck Bery, "little' Stevie Wonder et Louis Armstrong.
Voilà, à dimanche prochain, pour juillet 1964.
Je vous embrasse.
11:50 Publié dans Cica-chansons, Hit-parades SLC, Musique | Lien permanent | Commentaires (4)
25/05/2013
A mes nouveaux lecteurs
Je m'adresse à ceux qui sont tombés récemment parmi mes écritures, peut-être via une recherche Google ou tout simplement par l'intermédiaire d'une liste de blogs amis.
Ce blog est en quelque sorte un être vivant, non figé dans le temps.
Depuis la création de ce blog, à l'été 2010, beaucoup de choses dans ma vie ont changé.
A commencer... par ma vie professionnelle !
Et oui, à cette époque je travaillais encore....
Ma vie a donc changé, d'abord en bien, puis en moins bien puis en mieux puis en nettement moins bien et soudainement en nettement mieux. Mes commentateurs Thierry et Cristophe savent pourquoi lol ;-)
Silence radio, vous deux, hein ;-) !!! Hélas mon blog n'est pas lu que par des lecteurs désirés :(
Je voudrais donc dire à mes nouveaux lecteurs que si certaines notes sont encore d'actualité, d'autres en revanche sont tout à fait obsolètes
Exemple typique : celle de janvier 2011 où j'annonçais la mort imminente de mon chat Bob !
Celui-ci se porte très bien....
Ces notes obsolètes ont d'ailleurs été écrites pour la plupart au début de mon blog, en 2010 et 2011.
Mais quelques-unes plus récemment.
Je vais dores et déjà m'atteler à une tâche, c'est de signaler ces notes en les classant dans la catégorie "notes obsolètes". Ainsi mes nouveaux lecteurs éviteront, à la lecture de mon blog, un tournis qui peut-être les éloignerait de mes écrits.
Autre chose encore, pour ceux arrivés sur mon blog suite à une recherche "Hit-Parades SLC", j'ai la joie de leur annoncer qu'à partir de demain, mes hit-parades ne paraîtront plus mensuellement, mais de façon hebdomadaire, tous les dimanches.
Voilà, je vous souhaite une bonne fin de week-end, et je vous embrasse.
18:15 Publié dans Blog, moi | Lien permanent | Commentaires (6)
22/05/2013
mon père (suite)
Voilà 5 mois j'avais fait une note à son sujet, évoquant Daniel Guichard et me disant que moi aussi j'étais passé à côté de lui sans le regarder...
Mais je viens de faire une découverte : En fait j'ai eu deux pères.
Noooon !!! Pas de sombre histoire de papa caché dans ma famille, je suis bien le fils bilogique de mon père ! Il n'est qu'à comparer nos photos au même âge.
Mais je peux distinguer le père d'avant 1967, complice, sobre, indulgent, bien dans sa peau, et celui d'après où il est devenu renfermé, injuste, jaloux, s'adonnant à la boisson et aussi.... casse-cou !
Je vois dans notre aventure sur les pentes Mont-Aigoual en 1970 (vêtus en costume de ville dans le blizzard !!! ), dans la traversée du Mont-Blanc chevauchant nos solex en 71, dans notre mini-tour d'Europe en 72 sur les mêmes engins, certes la fierté d'avoir accompli ces exploits avec son fils, qu'il redécouvrait, mais aussi une sorte de défi désespéré. Il avait je crois, sans exagérer, perdu le gôut de vivre.
A cette époque, mon père était déjà "cassé", et devait le rester jusqu'à la fin de ses jours, en 2006.
C'est long, 39 ans dans cet état...
La "cassure" s'est donc produite en 1967. Année où je le voyais pleurer devant des chansons, sans chercher vraiment à savoir ce qu'elles contenaient. J'avais moi-même mes soucis, dont le fait de ne me pas me faire virer du lycée rupin (Louis Le Grand pour ne pas le nommer) que je devais aux bontés de la "carte scolaire".
Une femme, bien sûr.
Une "maîtresse" après tant d'autres, mon père ayant toujours été très porté sur le sexe opposé.
Mais cette fois c'était différent.
Jamais, au cours de cet été 67, je ne l'avais vu aussi heureux. Il m'avait mis dans la confidence, et rarement je l'ai vu aussi épanoui que ce mois de juillet où nous étions en vacances tous les deux près de Brest.
Il m'avait même montré ses lettres d'amour ! Il avait écrit des poèmes, de très beaux poèmes, qu'il avait envoyés à un "concours floral" local, où il avait rencontré un certain succès.
Elle s'appelait Annick, vivait à Cherbourg et avait....28 ans.
Les lettres d'amour ne mentent pas, y compris celles de rupture.
Annick, donc.
Mon père m'avait confié qu'il passerait le mois d'août avec elle, et que sans aucun doute cela se passerait de la même façon que dans la chanson d'Aznavour sortie un an plus tôt.
Moi ce mois d'août 67, je le passerai dans un Brest pluvieux et froid, sans mon ami Bernard qui avait commencé à travailler, et mon vélo ne servait pas très souvent....
Septembre en revanche rattrapa le reste, puisque passé en majorité à Lorient, là où j'avais - et où j'ai toujours - tous mes repères.
Je ne le saurai que bien plus tard, mon père après son mois "magique", après un mois d'amour avec la femme qu'il aimait, était écartelé.
D'un côté, une femme (ma mère) avec qui il était en couple depuis 35 ans. Et qui était une épouse admirable. De l'autre la femme qu'il pensait sincèrement être de sa vie. A cet âge-là 55 ans, on est très difficile en amour, et si on s'engageait c'était du sérieux.
Et il voulait s'engager...
Mon père voyait parfaitement les obstacles qu'il lui faudrait franchir pour pouvoir vivre pleinement son histoire.
D'abord, cette foutue distance. Paris-Cherbourg, 328 km. Là encore il n'avait pas trop à se plaindre. 3 heures et demie de train ce n'était pas la mort, quand on songe à ceux qui sont séparés par le double, et même pire, par la mer... Là oui, cela aurait été franchement atroce.
Puis, moi. Ce que j'en pensais au fond de moi.
Là je le rassurai : "Papa, vis ta vie avec la femme que tu aimes, ça me fera plus plaisir de te voir heureux avec elle que de vous voir vous déchirer continuellement avec maman.."
Ce que me dira ma fille 34 ans plus tard...
Puis, plus important, la différence d'âge. Je le dis haut et fort, après être passé par là et avoir suivi nombre de couples dans ce cas, plus de 10 ans d'écart c'est voué à l'échec.
Ca peut durer 5 ans, allez peut-être même 10, mais ensuite, pour l'homme c'est de moins en moins viable et pour la femme de moins en moins vivable.
Je sens déjà les plumes acérées qui ne vont pas m'empêcher de me piquer sur ce sujet "non politiquement correct", mais je le sais maintenant, la nature a ses lois...
Enfin, écartelé entre, d'un côté une femme (ma mère) avec qui il ne s'entendait plus depuis longtemps, et en couple avec elle depuis 35 ans. Et qui était une épouse admirable.
De l'autre la femme qu'il pensait sincèrement être de sa vie.
Si ma mère avait été une sombre mégère, lui rendant la vie pourrie, le maltraitant, le niant, allant même jusqu'à souhaiter sa mort par moments, alors là pour lui le choix aurait été plus facile.
Evident même !
Mais ce n'était pas le cas. Mon père était un homme de devoir et avait des scupules. Il savait ce que ne manqueraient pas de dire ses proches s'il y avait divorce, et ça il ne pourrait pas le supporter.
Alors il est resté.
Obérant d'un trait tout le reste de sa vie.
Et il est alors devenu le père que je décrivais tout à l'heure : renfermé, injuste, jaloux, s'adonnant à la boisson et surtout désespéré.
Jamais il ne s'en remettra, de ce choix dont il m'a si longtemps parlé pendant nos vacances Lozériennes, en 1970 et 1971.
C'est pour moi une leçon....
Je vous embrasse.
18:17 Publié dans détripage | Lien permanent | Commentaires (5)
16/05/2013
Mes coups de blues
Il est loin le temps de la maniaco, mais encore, de temps à autre, je ressens des "plongées", des baisses de moral dont certaines (6 juin 2012) peuvent encore aller très très loin...
Par "chance" (si j'ose dire) je peux les prévoir. Car ces coups de blues datent...
de mon enfance !
Il faut d'abord un terrain propice. Le plus souvent, de la mélancolie. Je pense par exemple à des choses merveilleuses que j'ai vécues en sachant que je ne pourrai pas les revivre avant bien longtemps....
Quand j'étais en culottes courtes, si j'avais eu le bonheur de passer de superbes vacances, jusqu'à la Toussaint j'étais dans mon rêve... Ainsi mes vacances à Marseille en 1960.
Puis, dans ce terrain, un déclencheur.
Avant-hier, puis hier, ça a été chère et tendre qui recommençait, après une trève relative, à me mettre la pression, et ce dès le saut du lit.
Quand on se fait traiter de "bon à rien, tu jamais su faire quoi que ce soit de tes dix doigts" juste avant de goûter au café du matin, la journée est mal partie.
Dans le meilleur des cas, je suis énervé, et dans le cadre où je me situe, là je plonge.
Pour poursuivre le parallèle, quanq j'étais mélancolique et qu'un prof me punissait, plongée aussi...
Alors j'essaie bien sûr de m'en sortir. D'en parler à des gens que j'aime (il en reste encore, chère et tendre n'a pas encore fait le vide total..) lesquels bien sûr me réconfortent du mieux qu'ils peuvent.
Toujours dans l'analogie précédente, ma mère, qui elle me comprenait, qui savait que le souvenir ces vacances merveilleuses à Marseille ne pouvait pas s'oublier comme ça du jour au lendemain (du reste ne pouvait s'"oublier" tout court, 53 ans après j'en parle encore).
Alors ça va mieux, mais je ne suis pas guéri. Juste "stabilisé" et je sais alors que je suis encore sur le fil et que je peux rechuter.
C'est le cas quand les gens que j'aime et qui m'on réconforté commencent à changer de ton, et essayent de m'expliquer que quand même, quelque part, je suis un peu responsable de cette situation. Ce qui est vrai. Bien sûr qu'ils ne savent pas que "le terrain" est encore fragile, que je suis juste au bord de trou dont ils m'ont sorti et qu'il m'attend sournoisement.
Et là je replonge, et plus profondément encore.
Car là je me sens alors en tenaille, entre ceux qui sont la cause de mon coup de calgon (en l'occurence chère et tendre) et ceux qui essaient de m'aider et dont les seuls propos - je sais que ce n'est pas le cas - que je retienne, c'est "quand même tu l'as plus ou moins cherché ) .
Injuste de ma part de penser ça, mais quand on est dans la peine, on ne voit que le négatif.
Revenant dans mon histoire parallèle, c'est quand ma mère, après m'avoir bien comprise, finissait par dire "mais tu sais mon Poulet, tu ne fais pas beaucoup d'efforts en classe non plus..."
Dans les deux cas, je me sens lâché, abandonné...
Je ne sais plus quoi faire, voire où aller. Je n'ai plus gôut à rien, paradoxalement je voudrais plonger dans mes draps et ne m'y réveiller que dans 5 mois, voire plus du tout, mais impossible de fermer l'oeil.
Alors il n'y a qu'à attendre que ça passe. Car dans ces moments--là si de nouveaux mots de réconfort me sont prodigués, certes ils me font du bien, mais je sais que j'en ai encore pour un bon bout de temps à m'en remettre.
Si tout se passe "bien" après, ce qui n'est pas dit.
Je vous embrasse
12:26 Publié dans détresse, détripage, psy | Lien permanent | Commentaires (4)
15/05/2013
HIT-PARADE de SALUT LES COPAINS du 15 MAI 1964
The show must go on, comme on dit au spectacle, et bien que je n'aie pas du tout en ce moment
l'esprit à ça, je vais vous commenter ce hit-parade.
Le King, c'est toujours Johnny, avec 8 chansons !
Puis en seconde position Sylvie Vartan avec 5 chansons dont une en anglais Love has lais his hand on me.
Médaille de bronze Frank Alamo et Richard Anthony avec 4 chansons
En 5e place avec trois chansons Françoise Hardy - dont une en anglais "catch a falling star" , Eddy Mitchell, et France Gall.
Claude François est seulement 7ème avec 2 chansons, tout comme Monty et le groupe du moment les Lionceaux.
Danyel Gérard et Hugues Aufray accentuent leur chute, avec une seule chanson classée, tout comme Billy Bridge Lucky Blondo et Jean-Jacques Debout. Dick Rivers aussi, entre deux disques, n'a également qu'une seule chanson classée de même que Michèle Torr, Michel Laurent et les Surfs . Comme Sheila mais qui a l'époque est la victime d'une sale rumeur : elle serait en fait un homme !
Et les étoiles filantes, les Kelton et Jacky Moulière.
Enfin parlons du seul nouveau venu : Thierry Vincent, avec "je ne peux l'acheter".
Coté étranger, comme pour se rattraper SLC place les Beatles aux trois premières places !! Plus la 10ème. Et apparaît à la 11ème, les Rollingstones (sic) avec Carol. Qui se douterait que ce groupe allait faire une carrière de 60 ans ???
Je vous embrasse
20:05 Publié dans Hit-parades SLC | Lien permanent | Commentaires (4)
14/05/2013
C'est ta faute !
Le 872ème "c'est ta faute" depuis le début de l'année.
Enfin, je n'ai pas compté mais ça ne doit pas en être loin.
Ainsi par exemple, le "c'est ta faute" d'aujourd'hui concerne une chambre que nous avons mis à louer à la nuitée, et dont l'annonce a été notée ***** par les superviseurs du site (Airbnb) .
Et bien "c'est de ma faute" si les clients ne viennent pas !!!
Suivi de l'inévitable "de toutes façons tu fous rien", expression que Madame lance pour n'importe quel sujet quand elle est en boule contre moi...
A signaler encore :
• "c'est ma faute" si le temps est pourri. Généralement suivi de "sale bled" *
* A noter que "sale bled" est l'expression toujours employée par elle sur tous les endroit où nous avons posé nos valises, une fois qu'elle a réussi à se fâcher avec tous les voisins !
• "C'est ma faute" si le chauffage marche mal, je n'arrête pas de le "tigonner" (le régler en patois cauchois)
• "C'est ma faute" si le téléphone ne marche pas, et pas celle d'Orange. Panne qui devrait pourtant la ravir puisque chez moi couplée à celle d'Internet !
• "C'est ma faute" si la télé déconne (alors que, dans presque tous les cas c'est de la sienne à elle, s'étant trompée de touche sur la télécommande laquelle il est vrai nécessite un Bac +3 pour s'en servir)
• "C'est ma faute" quand on a une panne de voiture. "y avait qu'à" en changer, comme elle me le demande depuis deux ans. Là, progrès, parce qu'il faut un temps (1996) où elle ne prenait pas la peine de me le demander, et c'est ainsi qu'un jour je l'ai vu arborer les clés d'une Nissan Micra en lui demandant où était passée la Clio dont j'étais très content !!
J'arrête là la liste, très longue.
Mais je pense qu'un mec un tant soi peu dépressif, à force d'entendre ça tout au long de sa journée, finirait par se tirer une balle ou se jeter dans le Source de la Loue, curiosité mondiale ***** à 1500 m de ma maison.
Mais je ne le suis plus, dépressif, et cette note, je ne la classe pas dans la catégorie "détresse", mais dans "ras-le-bol".
Ses récriminations finissent par, de plus en plus, m'entrer par une oreille et ressortir par l'autre. Après je me les lave en écoutant de belles chansons.
Le problème de CT (Chère et Tendre) est qu'elle est en train de scier la branche sur laquelle elle est assise....
Je vous embrasse.
11:24 Publié dans moi, Ras-le bol | Lien permanent | Commentaires (7)
13/05/2013
déclarer ses revenus en ligne, c'est facile.... (lol)
J'ai essayé pour vous la "télédéclaration".
Je vais sur le site "impôts.gouv.fr", jusque là pas de souci.
On m'annonce :
ACCES A VOTRE TELEDECLARATION.
Je clique.
Aye ! Là ça se complique...
1) Accéder avec vos indentifiants.
• Numéro fiscal : Saisissez votre numéro fiscal à 13 chiffres figurant en haut de la première page de votre dernière déclaration de revenus.
Bon, faut donc avoir la dernière déclaration de revenus ! Mais comme j'avais télédéclaré l'année passée, bonjour pour trouver le numéro en question...
• Numéro de télédéclarant : Saisissez votre numéro de télédéclarant à 7 chiffres figurant en haut de la première page de votre dernière déclaration de revenus.
On ne s'en sort pas !!!
• Revenu fiscal de référence : Saisissez le montant figurant sur votre dernier avis d'impôts sur le revenu.
Je pense qu'ils veulent parler d' "avis d'imposition"...
Chance ! Là je l'ai... Mais sans les deux autres je ne peux rien faire.
On m'offre quand même une "session de rattrapage" !
2) Accéder avec votre mot de passe.
• Numéro fiscal : Saisissez votre numéro fiscal à 13 chiffres
PFFFFFF !!!!!
• Mot de passe : Saisissez votre mot de passe.
Houlala ! des mots de passe, j'en ai plein !!! Marrant quand même avec la technologie du XXIème siècle, on en soit toujours aux fameux "mots de passe" qui fleurent bon le Mousquetaire au Service du Roy voilà quatre siècles..
Donc, je récapitule :
Il faut avoir sa dernière déclaration papier. Donc ne pas avoir télédéclaré avant.
Il faut avoir son dernier avis d'imposition.
Et éventuellement un mot de passe "spécial impôts".
Bon, j'attendrai la feuille à remplir, et comme ils ont déjà marqué tout ce que j'avais perçu, je signe, un timbre, et zou...
Avec un peu de chance, je pourrai peut-être Télédéclarer l'année prochaine ?
Je vous embrasse.
12:15 Publié dans les délires de Cica | Lien permanent | Commentaires (5)
12/05/2013
44 !
Non ce n'est pas ma pointure....
Ni le nombre de semaines ou de mois depuis que j'ai commencé quelque chose, ou fini.
C'est tout simplement la taille du pantalon que j'ai mis ce matin.
Bien sûr d'aucuns à la taille mannequin pourront se gausser devant ce chiffre qu'ils ne manqueront pas de trouver "mignon". Et ils auront raison !
Mais cette taille-là, ça fait un bail que je ne l'ai pas eue. Je dirai, à vu de nez, 2004, soit neuf ans quand même.
J'ai perdu 5 kilos et demie en trois semaines ! Et sans faire aucun régime !!!
Si mon toubib de Lons le Saunier voyait ça, lui qui était fixé sur l'aiguille de son pèse-personne qui ne me faisait aucun cadeau...
Et comme je pense que la tendance sera encore à la baisse, et cela jusqu'à la chute des premières feuilles, le 42 est très envisageable pour les beaux jours ;-)
Je vous embrasse
16:18 Publié dans météo | Lien permanent | Commentaires (6)
08/05/2013
Le permis à points vu par Philippe Bouvard dans les années 70..
Balzac doit se retourner dans sa tombe chaque fois qu'on parle du "permis de conduire peau de chagrin..."!
Cette idée d'allouer à chaque citoyen un crédit d'imprudences ou si l'on préfère, de lui permettre de tirer des chèques jusqu'à épuisement d'un dépôt de délits et de turpidtudes est assez monstrueuse pour peu qu'on y réfléchisse le temps d'un feu rouge.
Le ticket blanc pourrait donner droit à deux piétons, le bleu à quatre carambolages, le vert à six tête-à queue et le violet à cinq sens interdits ! Et pourquoi pas, pendant qu'on y est, une bourse d'échanges : mon ticket d'homicide involontaire contre vos trois bons pour un dépassement en haut d'une côte ?
Moi je veux bien ! Mais alors il faut aller plus loin encore et étendre le système en délivrant de véritables carnets de conduite. A sa naissance, chaque Français pourrait commetttre (au choix ou globalement) un viol, deux hold-up, douze adultères, un outrage à magistrat, une prise d'otages et vingt-trois pieds de nez à la maréchaussée. Avec la faculté, pour les malfaiteurs chevronnés, de racheter leurs tickets inutilisés aux honnêtes gens.
Peut-être la vertu rapporterait-elle enfin autre chose que des regrets ou des boutons...
Philippe Bouvard, in en pièces détachées (Presses de la cité 1977)
20 ans avant le fameux permis à points, ce bilet de Bouvard garde encore tout son sel. En dehors de quelques remarques qui "datent" (comme assimiler l'adultère à un hold-up...) le reste est juste, et l'on comprend la bronca qui a suivi l'instauration (par la gauche) du dit pemis en 1992 !
Je vous embrasse.
10:43 Publié dans les délires de Cica | Lien permanent | Commentaires (8)
06/05/2013
Anniversaire
Il y a un an était élu François Hollande.
Je ne veux pas parler ici de politique, d'autres le font mieux que moi, mais des combinaisons que cela peut donner..
Donc en 2012 Nicolas (le perdant) François (le gagnant)
En 2007 notre homme aurait été une femme : Ségolène Nicolas.
En 2002, Jean-Marie Jacques (j'aurais préféré Jacques Lionel)
En 1995, Lionel Jacques
En 1988, Jacques François (rien à voir avec le comédien)
En 1981 Valéry François
En 1974 François Valéry.
Nom de scène qu'a pris immédiatement un jeune artiste, Jean-Louis Mougeot (rien à voir avec le Papy de Coluche) et qui a cartonné dès le début, avec des titres comme Une chanson d'amour, le prince d'amour, qu'est-ce qu'on a dansé sur cette chanson...
Des chansons d'amour, légères donc au début mais qui peu à peu sont devenues plus "consistantes".
Comme la loi d'amour (1978) Elle danse Marie elle danse (1983), aimons-nous vivants (1989).
Son dernier 45 tours est pour moi la plus belle de ses chansons, chanson d'amour, chanson d'espoir...
Changer de vie.
Hélas pas connue mais je vais réparer cette lacune :
Ecoutez-là, elle en vaut la peine !
Je vous embrasse.
14:44 Publié dans Cica-chansons, les délires de Cica, Marie | Lien permanent | Commentaires (6)