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11/02/2011

Sportif sans trop le vouloir...

Voilà ce que c'est de construire une maison sur trois niveaux. Certes, on y a de la place, et chaque pièce est située de telle manière que personne ne gêne personne.

Par exemple les cuisines à l'américaine....
Ah quel bonheur ! Sentir la cuisson d'un chou-fleur, entendre le bruit du lave-vaisselle tandis qu'on est en train d'essayer de regarder la télé, j'ai donné entre 1995 et 2010, mais j'ai juré qu'on ne m'y reprendrait pas.

Idem la pièce où est installé mon ordi, et ma chaîne hifi. Elle a toujours été à côté d'une chambre à coucher ou de la salle à manger. Si bien que ma musique, poussée à un certain niveau, pouvait s'entendre dans les environs immédiats.
Il n'y a que dans un appartement, occupé de septembre 1997 à novembre 1998, que dans ce que ma douce épouse appelle "la pièce à bordel", je n'ai jamais déballé aucun carton. Je n'y ai jamais écouté de musique, mon occupation principale étant le lit, où en dehors des jours de boulot et des jours de visite, je le squattais jusqu'à 11h30, puis de 13h15 à 16h/16h30, et à partir de 20h30. Pas forcément pour dormir, pas mal aussi pour lire, mon lit était une sorte de refuge.

Dans ma nouvelle maison du Odou, les chambres sont au premier, avec un WC-salle de bains.
Au rez-de chaussée se trouve salon, salle à manger, seconde salle de bain, WC séparé (deux WC c'est peut-être un peu snob, mais je vous garantis que personne ne gêne l'autre) , une autre chambre (qui sert de chambre d'amis, qui ont ainsi tous leurs aises) et enfin la cuisine.
Au sous-sol le garage, une buanderie où peuvent ronfler tranquillement la machine à laver et le sèche-linge, la cave à vin, un couloir dans lequel j'entrepose pas mal d'affaires, dont des piles et des ampoules (retenez bien les ampoules, vous verrez que ce n'est pas innocent...) et enfin ma pièce à bordel où se trouve l'ordi (où je peux surfer sans me faire surprendre) et la chaîne Hifi (que je peux faire gueuler sans gêner les autres).

 

Mais, il y a des choses auxquelles je n'avais pas pensé.

Par exemple, hier soir, après avoir éteint l'ordi, je monte me coucher.
Et là, je constate que l'ampoule de ma lampe de chevet est naze.

Je descends alors au sous-sol pour en chercher une autre, et après m'être regrimpé mes deux étages, je m'aperçois qu'elle est à baïonnette alors qu'il en faut une à vis !

Je descends alors au sous-sol pour en chercher une autre, et après m'être regrimpé mes deux étages, je m'aperçois (j'ai fait un copier-coller, ça va plus vite lol) qu'elle est HS. Censée pourtant être dans les "qui marchent".

Je descends alors au sous-sol mais cette fois j'en prends une bonne dizaine, et je finis par en trouver une qui marche.

Et je redescends une nouvelle fois pour ranger celles sont je n'ai pas eu besoin.

Comptez : ça fait 10 étages de montés ! Et pas des petits étages, les plafonds sont à 2m50 !

Un "exploit" que j'aurais refusé d'accomplir si on me l'avait présenté sous une autre forme. C'est à dire, par exemple, de grimper au 10ème étage d'un immeuble sans ascenseur...

Merci à ma maison qui me (nous) permet de faire dus sport !

Je vous embrasse.

03/02/2011

Le dessus du buffet

Mes jeunes années ont été accompagnées par le buffet qui trônait dans l'unique pièce où nous habitions, mes parents et moi.

Vu du sol, où je commençais ma vie à quatre pattes, ce buffet me semblait une muraille. Impression renforcée par l'exiguïté de la pièce, en plus basse de plafond.

Puis un beau jour, j'ai réussi à me tenir debout.

Et voilà ce que je voyais de ce fameux buffet :

DSCN7244.JPG

Mais le temps jouait pour moi.
De jour en jour je poussais, et bientôt j'arrivai à voir que la muraille avait un toit.

Et même que certaines choses s'y trouvaient disposées.

Mais je pense être vraiment devenu un "grand garçon" quand, sans monter sur une chaise ou me hisser sur la pointe des pieds, quand donc j'ai pu, comme l'ont toujours fait mes parents, survoler du regard le dessus de ce buffet.

DSCN7246.JPG

Ce buffet revient de loin.

Acheté en 1951, il a d'abord déménagé en 1961 - juste au bout du couloir de l'immeuble.

Puis en 1972, grand voyage de Paris au Vigan, près de Montpellier.

Puis en 1977, entre deux appartements du même Vigan.

Puis en 1982, idem.

Là il va battre un record, rester 15 ans dans le même endroit. Mais rebelote en 1997 après que mes parents (85 ans) se soient fait mettre à la porte par un propriétaire (M. NADAL) qui voulait vendre sa maison par parcelles.

En 2004, nouveau grand voyage entre Le Vigan et Bayonne. Le buffet serait désormais chez moi.

Puis en 2007 entre Bayonne et Lons le Saunier.

Enfin en 2010 entre Lons et Ouhans, où il a l'air de vraiment se plaire :

DSCN7120.JPG

J'espère que le record de 15 ans sera battu !!

Je vous embrasse.

 

16/09/2010

pourquoi j'aime tant la Lozère....

Parce que je suis Lozérien !!!

Je viens juste de le découvrir grâce à la généalogie.

Prenons mes racines paternelles, qui sont d'un côté Marseille, et de l'autre côté les Côtes d'Armor

 

Image (8).jpg

 

Puis mes racines maternelles, qui sont l'Hérault et le Haut-Doubs

 

Image (9).jpg

 

Rejoignons ces 4 endroits de manière à former un quadrilatère

 

Image (10).jpg

 

Le centre de ce quadrilatère montre bien que je suis Lozérien, de Villefort très exactement :

 

Image (11).jpg

 

Tain, ça serait bien si on pouvait déterminer ses racines comme ça...

Les "vrais" généalogistes feraient la tronche...

Essayez de votre côté, ça peut donner des résultats amusants.
Pas comme avec mon épouse ! Ses grands-parents paternels sont du 76, ses grands-parents maternels sont du 76 aussi, le polygone n'est inclus que dans le 76, et le centre du polygone est dans le 76 aussi !
Il me faut une carte au 1/25.000ème pour trouver l'endroit exact :)

Sinon, je l'ai fait pour quelqu'un de cher : entre la Haute-Marne et l'Ariège, ça tombe quasiment au même endroit !!

Je vous embrasse