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31/01/2020

Oh Médocs !!

Avec 23 comprimés quotidiens, je pense que j'ai battu mon record des années 90 ! Sauf que là il n'y a aucun antidépresseur. Mon meilleur antidépresseur est mon épouse Marie grâce à qui je coule des jours heureux...

Mais il n'y a pas hélas que le mental ! Le physique compte aussi. Voilà donc la liste de ce que je prends :

- entre 4 h et 7 h : deux antidouleurs puissants à base d'opium suite à une hernie discale que je me suis faite voilà trois semaines.

- 9 h : un autre antidouleur qui agit cette fois directement sur le nerf coincé. 
          un médoc anti - hypertension (efficace car plus d'hémorragies depuis 5 ans)
          Trois pour (enfin contre !) le Parkinson
          un contre le diabète.

- vers midi : deux antidouleurs opiacés

- 14 h : Un antidiabétique
            un anti parkinson

- 18 h : deux antidouleurs opiacés
            un qui agit sur le nerf coincé

- 20 h 30 : deux relaxants
                deux somnifères
                deux anti-allergiques (tabac, poussière, poils de chat)
                un antidiabétique
                un antidouleur qui agit sur le nerf coincé.

- vers 23 h une heure du matin : deux antidouleurs opiacés.

Et je ne parle pas de la pommade contre un psoriasis qui varie en fonction du stress !

Mais je me dois de préciser que tous ne sont pas "à vie".  Sur ces 23, dix sont liés à ma hernie discale. Un comble pour un collectionneur de 45 tours !
Et mon record de 1994/1998 (14 médocs) tiendra toujours quand j'aurai fini ce traitement.

Et quand je lis Hug, Michel et quelques autres, je me réjouis de n'être plus dépressif et surtout de ne pas - pour l'instant - avoir échappé à cette saloperie de cancer...

Je vous embrasse.

01/09/2019

mon "Parkinson-mètre"

Ou la bonne occasion de mesurer mon Parkinson.
C'est sur le chemin du retour, entre l'Auvergne et Sanary, que je peux mieux le faire.

C'était hier.
Départ de Pont d'Alleyras par 6 km de montée en virages serrés. Dès le départ je suis dans l'ambiance.
Mais ce genre de route me convient parfaitement, ayant souvent vécu en montagne. Même si la route est devenue sous-dimensionnée (enfin, que les bagnoles sont devenues des masodontes ! Les Renault 4 ou autres 2CV mesurent 1,48 m de large, la moindre Dacia
1,90 m...)
Puis je suis sur le plateau, ça tourne moins mais ça monte toujours. Je me trouve à 1100 m d'altitude, et je vais rester à ce niveau durant près de 50 bornes.

Tout va bien jusque-là. Heureusement...

Km 21. Costaros. Là je vais prendre une nationale que je connais bien, la 88.  Une route que j'ai prise très souvent entre 1987 et 1995, celle qui relie Mende au Puy et aussi à Clermont-Ferrand. Je vais la longer sur 13 km.

Km 34. Embranchement. Entre la route qu'affectionne chérie - que je vais prendre - et ma préférée, la "Régordane", route large et peu fréquentée qui c'est vrai tournicote pas mal et qui peut être inconfortable pour un passager.

Je continue, tout droit, entre 1200 et 1350 m d'altitude. Entrée en Ardèche, département qui me verra faire le tiers de mon parcours.
Je passe devant la célèbre Auberge Rouge immortalisée dans un film de Fernandel.

Km 53. Col de la Chavade, 1268m, limite de partage des eaux océan-Méditerranée, et aussi limite de partage des chauffeurs, entre les "normaux" et les "dingos". Là fini de rire car commence "la descente de la mort", à savoir 700 m de dénivelé sur 9 km avec des épingles à cheveux tout le long. Oui je sais, j'ai déjà écrit plus haut que ce genre de route ne me déplaisait pas.
Sauf que là, c'est la nationale à 3 voies, le seul chemin qui permet aux camions de relier Marseille (et au-delà vers Toulon et Nice) à Clermont-Ferrand (et le centre de la France). Dix mille véhicules par jour y passent ! Je n'oublie pas qu'en juin 2012 j'y ai laissé tout mon système de freinage...

Km 63, Mayres, véritable bas de la descente.
Ma main commence à trembloter sur le levier de vitesse, mais je tiens toujours.

Là commence "la route des villages". A savoir que sur 22 km, les deux tiers seront en agglomération. Avec feux rouges, rond-points, priorités et ralentisseurs. La joie !
A la fin de ces villages, place aux longs tunnels non éclairés du secteur d'Aubenas ! Avec les lunettes de soleil, le pied quand on passe de la lumière aux ténèbres...

Km 93, Aubenas. 
Je tremble toujours, mais je peux continuer.
D'autant que la route devient plus cool. Je me refais une santé sur les 50 km qui m'amènent jusque dans la vallée du Rhône. 

Km 145, Pierrelatte. Je ne tremble presque plus. Dehors 36 degrés à l'ombre. Ombre que je cherche pour garer la voiture, car notre minou est dedans ! On trouve la place finalement assez vite, et le resto pas trop loin. Les 36 degrés me tombent alors dessus, et je sais alors que je ne conduirai pas beaucoup plus loin...

Repas vite expédié, direction l'autoroute à 28 km de là, Orange-Nord.

Mais je n'y parviendrai pas. Du côté de Mornas, tremblotant comme une feuille et voyant tourner le paysage, je m'arrête sur un parking et cède la place du conducteur à mon épouse.

Laquelle, en bonne méridionale, sera loin de paniquer devant la conduite sur autoroute de ses compatriotes, retrouvant vite ses "marques" qu'elle avait laissées le 7 juillet dernier.
Je l'ai déjà dit ici, la conduite à l'Italienne je laisse ça aux autres, de préférence à ceux qui ont plus de chevaux que nous sous le capot.

Donc, le résultat du test.

Au-delà de ce qu'espérais. J'ai résisté à la descente de la mort, à l'enfilade des villages-rues Ardéchois, aux tunnels, et au bout de presque 3 heures de conduite non stop j'étais presque frais et dispos.
Ce qui m'a tué, c'est les 36 degrés subis pendant près d'une heure (le resto était ouvert à tous les vents. Comme le font les gens du sud qui ont chaud dans une pièce fermée à 25 degrés mais qui respirent avec 10 degrés de plus avec "de l'air")...

En tout cas je suis bien content que ce soit la dernière fois que l'on fasse ce trajet !

Je vous embrasse.

08/01/2019

1986 vue par Pierre Perret

Je vais me laisser aller
Ce soir mes chers amis
Je vais vous déballer
Mes petites nostalgies
Quand Jeanne la Lorraine
Était pas dans Play-boy
Et les quatre filles du Roi
A Cocorico-boy

REFRAIN:
Ah quelle époque on vit
On se demande un peu
Ce que fout le bon Dieu

Nos belles n'ont que faire
Des dames du temps jadis
Ni de ces jolies bergères
Qui avaient pas le moindre vice
Elles quittent leur province
Avec Africa-tours
Pour éponger les princes
A un bâton par jour

REFRAIN

Nous n'irons plus au bois
Les travelos sont coupés
Ils ont chopé le sida
Ils sont à la pitié
La mère-grand du chaperon
A fini au fast-food
Et les trois capitaines
Sur une mine à Beyrouth

REFRAIN

La belle au bois dormant
Qu'on prit pour une fainéante
Elle vend des ouragans
Le soir au top cinquante
Barbe-bleue sur la une
Fait brûler ses biftons
Cendrillon bourre de thunes
Sa valise en carton

REFRAIN

La lampe d'Aladin
A incendié Kaboul
Et l'enchanteur Merlin
Nous vend ses cages à poules
Et la mère l'oie qui nous
Prend tous pour des malades
Nous conseille de nous
Tremper le cul dans l'eau froide

REFRAIN

La femme de Neptune
A rencontré Ulysse
Et au clair de la lune
Ils font sauter Greenpeace
Ils dirent au procureur
Qu'on leur promit du blé
Chez les quarante voleurs
Qui siègent à l'assemblée

REFRAIN

Nos reines de Saint-Tropez
Qui sniffent la cocaïne
Quand elle rendent la monnaie
Se font faire des liftings
Aujourd'hui c'est normal
Quand on veut des joues plates
On vous remonte le trou de balle
Entre les omoplates

REFRAIN

Quand la perfide Albion
Commande Pénélope
A toutes les deux elles font
Une belle paire de salopes
Elles partirent aux Malouines
En culotte de satin
Pour refiler la chtouille
Aux braves Argentins

REFRAIN

A coups d'accordéon
De musique et d'argot
Je m'en vais faire alliance
Avec le roi Renaud
Pour bouter les rosbifs

Pierre PERRET
"quelle époque on vit"

24/03/2017

A mes lecteurs inconnus !

Je viens de faire un tour sur Google Analytics, et ma foi je suis pas mal surpris de voir d'où je suis le plus lu !

En tête se trouve Chatillon sur Seine, mais je sais que l'ami Jean me lit de là-bas.

Puis Paris avec près de 19 heures, normal aussi.

Puis Zurich avec 13 heures pile, impressionnant mais cette ville Suisse est grande.

Cependant je ne connais personne à Cornebarrieu (Haute Garonne), dont les habitants m'ont lu, tenez-vous bien, 7 heures et 35 minutes au cours des 30 derniers jours !! Je dois avoir des fans dans cette banlieue de Toulouse, faut croire.

Six heures 45 à Nantes, pas mal Mais c'est moins spectaculaire pour une ville de 300000 habitants que pour une de 4800...

Puis 5 heures 08 à Six fours les plages. Mais si ça se trouve c'est moi, qui, de Sanary, suis comptabilisé là-bas ?

Tours doit aimer mon blog, avec 4 heures 24 minutes.

Je suis très lu au Mans aussi, 3 heures et 4 minutes. 

La Roche sur Yon arrive ensuite, 2 heures 13;

Les deux heures 05 de St Brieuc en revanche ne me suprennent pas. Peut-être même à l'inverse !

Mais je reviens à Cornebarrieu, là ça m'épate !

Je vous embrasse.

29/10/2013

le "hasard" fait bien les choses....

Octobre 2003.  Je vais chez un ophtalmo pour une visite de routine et il me trouve, en plus de ma myopie, de l'astigmatisme et autres douceurs. Avec la paire de lunettes qu'il me prescrit, je n'y vois pas grand-chose...
"laissez votre vue s'y habituer" me dit l'opticien en empochant les quelques 400 euros que coûtent l'objet d'art que j'ai sur le nez et qui eux ne s'habitueront jamais au déremboursement de l'optique par la sécu....

Les mois, les années passent, et j'ai de plus en plus de mal à y voir.

Acte manqué ? le 11/11/11 (si !) je laisse mes lunettes dans un tiroir, que je referme.

Quand je voudrai les récupérer, alors je chercherai partout, salle à manger, ma pièce du sous-sol, les WC, les 3 chambres, la cuisine, la buanderie, les deux salles de bain, sans me souvenir du fameux tiroir.

Finalement je me résous à reprendre mon ancienne paire, des ray-ban de 1993, que je trouve finalement nettement mieux adaptées à ma vue !

Du coup, pour 39 euros, je vais chez optic 2000 de Pontarlier (que je recommande) me faire faire une nouvelle paire, calquée sur les ray-ban.

Avec laquelle je pense y voir très bien....


Deux ans se passent, et je continue à laisser mes lunettes (que je ne porte qu'en voiture) un peu partout.
Parfois je resterai une bonne heure à les chercher mais je les retrouverai à chaque fois.

Sauf.....
Mercredi dernier, à l'hypermarché Géant de Bastia où j'ai passé une semaine de vacances. Pas dans l'hyper mais dans la ville, quand même !
Là, en voulant regarder un guide, je les pose quelque part....

Et je ne les retrouverai jamais !!!!

Pendant 5 jours je vais donc naviguer sans lunettes, les Ray-ban de secours étant restées dans la boîte à gants de ma voiture garée à l'aéroport de Lyon !!!

Tout à l'heure je suis retourné chez At Alain Af Optic 2000, afin de me refaire une nouvelle paire.

La vendeuse a quand même tenu a vérifier ma vue.

Résultat : 10/10 des deux yeux, oui, mais ...6 du côté droit !

Du coup, d'avoir oublié mes lunettes en Corse me fera voir bien plus clair !!!!

Je vous embrasse.

21/09/2013

Mais d'où vient l'expression "allez les Bleus" ?

A présent, cette expression s'entend pour n'importe quelle équipe sportive française.

Basket, hand-ball, pétanque, Rugby, volley, football et même... hockey sur glace !

Pourtant cette expression vient à l'origine du football.

De quand ?

Tout le monde dira évidemment, de 1998, quand l'équipe de foot menée par Aimé Jacquet remporta la coupe du monde. Qui n'a pas, à l'époque, qu'il aimât le foot ou pas, crié ce soir-là "allez les bleus ?"

Plus tard, l'équipe de France de rugby, plus régulière au niveau mondial (mais jamais victorieuse)  aura aussi droit à l'appellation contrôlée.

Mais avant 1998 ?

On avait cité cette expression en 1992, lors des Jeux Olympiques de Barcelone, pour désigner l'équipe de France de hand-ball, connue sous le nom des "bronzés", et qui venait de révéler au grand public ce sport jusqu'alors très scolaire.

Je pense que c'est la première fois pour une équipe de France.

Mais on avait déjà crié "allez les bleus" dans un stade....

Et beaucoup plus tôt ! en 1978....

C'est dans les gradins du stade Furiani à Bastia que, pour la première fois, l'expression "allez les bleus" a traversé la Méditerranée. Lors de la finale de la Coupe d'Europe qui opposa les Lions de Bastia à Eindhoven, première fois qu'une équipe française accédait à une finale de coupe d'Europe.

Pour ceux qui ne me croiraient pas, ils peuvent écouter la chanson "Viva Bastia" interprétée par le talentueux Mathieu Fitzgerald (de son vrai nom Mathieu Battestini)

http://www.corsefootball.fr/accueil/chansons-clip-scb-gfc...

Je vous embrasse.

19/06/2013

Si j'avais un ordi portable ....

.... et que je puisse taper mes notes au fur et à mesure de mon inspiration !!

Souvent ça me vient le soir, alors que la lumière est éteinte. Là je me dis "bon sang mais c'est bien sûr ! il faudrait que j'écrive une note sur ce truc ! Demain je m'y attelle..."

Et le lendemain, j'ai beau scruter tous les replis de ma mémoire, rien. Nada. Le trou !!!

C'est sûr, j'aurais pu à ce moment-là (vers les 1h du mat) sauter de mon lit, puis descendre les deux étages qui me séparent de mon ordi, et, avec le sentiment du travail bien fait, me recoucher ensuite.

Là j'imagine Chère et Tendre me demandant ce qui m'a pris, et moi lui disant la vérité. Elle me répondrait à tout coup "elle est blonde ou elle est brune ta note ? "
Je pourrais certes lui répondre "brune avec des mèches rousses", je ne sais pas si elle réagirait avec totale zénitude !

Aussi, dans le train. Il me vient des idées, dans le train, comme il arriva à Sardou un soir de 1973, qui imagina des projets de vacances méridionales à l'hôtel avec Bobonne. Il ne devait pas avoir la même que la mienne lol !

Mais, pareil, pas de portable ! Alors là aussi je me dis que c'est sûr, dès que je serai devant mon PC, là je me souviendrais de tout...

Macache !

Je pourrais faire ça façon journaliste, écrire ces idées sur un post-it. Mais si ça peut marcher dans le train, je ne vois toujours pas comment régler le problème à 1 h du matin dans le lit dit "con-jugal"...

Ou alors un bloc-notes dans les WC, sur lequel je pourrais vite jeter mon idée lumineuse tout en satisfaisant mon besoin naturel ??
A étudier...

Je vous embrasse.

13/05/2013

déclarer ses revenus en ligne, c'est facile.... (lol)

J'ai essayé pour vous la "télédéclaration".

Je vais sur le site "impôts.gouv.fr", jusque là pas de souci.
On m'annonce :

ACCES A VOTRE TELEDECLARATION.

Je clique.
Aye ! Là ça se complique...

1) Accéder avec vos indentifiants.

• Numéro fiscal :  Saisissez votre numéro fiscal à 13 chiffres figurant en haut de la première page de votre dernière déclaration de revenus.

Bon, faut donc avoir la dernière déclaration de revenus ! Mais comme j'avais télédéclaré l'année passée, bonjour pour trouver le numéro en question...

• Numéro de télédéclarant : Saisissez votre numéro de télédéclarant à 7 chiffres figurant en haut de la première page de votre dernière déclaration de revenus.

On ne s'en sort pas !!!

• Revenu fiscal de référence : Saisissez le montant figurant sur votre dernier avis d'impôts sur le revenu.
Je pense qu'ils veulent parler d' "avis d'imposition"...

Chance ! Là je l'ai... Mais sans les deux autres je ne peux rien faire.

 

On m'offre quand même une "session de rattrapage" !

2) Accéder avec votre mot de passe.

• Numéro fiscal : Saisissez votre numéro fiscal à 13 chiffres

PFFFFFF !!!!!

• Mot de passe : Saisissez votre mot de passe.

Houlala ! des mots de passe, j'en ai plein !!! Marrant quand même avec la technologie du XXIème siècle, on en soit toujours aux fameux "mots de passe" qui fleurent bon le Mousquetaire au Service du Roy voilà quatre siècles..

Donc, je récapitule :

Il faut avoir sa dernière déclaration papier. Donc ne pas avoir télédéclaré avant.

Il faut avoir son dernier avis d'imposition.

Et éventuellement un mot de passe "spécial impôts".

 

Bon, j'attendrai la feuille à remplir, et comme ils ont déjà marqué tout ce que j'avais perçu, je signe, un timbre, et zou...

Avec un peu de chance, je pourrai peut-être Télédéclarer l'année prochaine ?

Je vous embrasse.

08/05/2013

Le permis à points vu par Philippe Bouvard dans les années 70..

Balzac doit se retourner dans sa tombe chaque fois qu'on parle du "permis de conduire peau de chagrin..."!
Cette idée d'allouer à chaque citoyen un crédit d'imprudences ou si l'on préfère, de lui permettre de tirer des chèques jusqu'à épuisement d'un dépôt de délits et de turpidtudes est assez monstrueuse pour peu qu'on y réfléchisse le temps d'un feu rouge.
Le ticket blanc pourrait donner droit à deux piétons, le bleu à quatre carambolages, le vert à six tête-à queue et le violet à cinq sens interdits ! Et pourquoi pas, pendant qu'on y est, une bourse d'échanges : mon ticket d'homicide involontaire contre vos trois bons pour un dépassement en haut d'une côte ?
Moi je veux bien ! Mais alors il faut aller plus loin encore et étendre le système en délivrant de véritables carnets de conduite. A sa naissance, chaque Français pourrait commetttre (au choix ou globalement) un viol, deux hold-up, douze adultères, un outrage à magistrat, une prise d'otages et vingt-trois pieds de nez à la maréchaussée. Avec la faculté, pour les malfaiteurs chevronnés, de racheter leurs tickets inutilisés aux honnêtes gens.
Peut-être la vertu rapporterait-elle enfin autre chose que des regrets ou des boutons...

Philippe Bouvard, in en pièces détachées (Presses de la cité 1977)

20 ans avant le fameux permis à points, ce bilet de Bouvard garde encore tout son sel. En dehors de quelques remarques qui "datent" (comme assimiler l'adultère à un hold-up...) le reste est juste, et l'on comprend la bronca qui a suivi l'instauration (par la gauche) du dit pemis en 1992 !

Je vous embrasse.

06/05/2013

Anniversaire

Il y a un an était élu François Hollande.

Je ne veux pas parler ici de politique, d'autres le font mieux que moi, mais des combinaisons que cela peut donner..

Donc en 2012 Nicolas (le perdant) François (le gagnant)

En 2007 notre homme aurait été une femme : Ségolène Nicolas.

En 2002, Jean-Marie Jacques (j'aurais préféré Jacques Lionel)

En 1995, Lionel Jacques

En 1988, Jacques François (rien à voir avec le comédien)

En 1981 Valéry François

En 1974 François Valéry.

Nom de scène qu'a pris immédiatement un jeune artiste, Jean-Louis Mougeot (rien à voir avec le Papy de Coluche) et qui a cartonné dès le début, avec des titres comme Une chanson d'amour, le prince d'amour, qu'est-ce qu'on a dansé sur cette chanson...

Des chansons d'amour, légères donc au début mais qui peu à peu sont devenues plus "consistantes".

Comme la loi d'amour (1978) Elle danse Marie elle danse (1983), aimons-nous vivants (1989).

Son dernier 45 tours est pour moi la plus belle de ses chansons, chanson d'amour, chanson d'espoir...
Changer de vie.
Hélas pas connue mais je vais réparer cette lacune :


Ecoutez-là, elle en vaut la peine !

Je vous embrasse.