25/01/2011
A vendredi !
Départ imminent pour Lons, afin de faire mes journées de Mercredi et Jeudi.
Le cyber de Lons a fermé, si bien que sauf cas très urgent (*), je ne pourrai répondre à vos commentaires d'ici vendredi matin, voire jeudi soir si le TGV Paris-Lausanne accuse moins que ses 20 minutes de retard habituelles.
Connaissant la ponctualité de mes amis Suisses, je me demande comment ils peuvent supporter de telles errances, alors que chez eux, un retard de 5 mn est déjà "hors normes". J'imagine le TGV arrivant à Lausanne avec des - au moins - 20 mn de retard, il doit y être accueilli avec des sifflets !
Idem pour le train de Neuchâtel que je prends à Frasne, lui aussi subit le même retard...
Reste que j'ai du mal à comprendre comment ça se fait qu'un train international puisse se payer 20 mn de retard sur un parcours... de deux heures 20 ! Dois-je en conclure que si le parcours était de 4h40 (cas d'un Paris-Bayonne ou d'un Paris-Nice) le retard serait double ???
La dernière fois, vendredi 21, c'était un quart d'heure. Un quart d'heure à me geler sur les quais d'une petite gare (la plus petite gare TGV) du nom de Mouchard.
Quand je suis monté dans le convoi j'étais congelé.
Puis j'ai aperçu un con-trôleur (depuis 1971 où j'ai pris le train de façon systématique j'écris souvent ce terme avec un tiret...) auquel je me suis adressé - poliment - afin de savoir le pourquoi de cet énième retard.
Sa réponse a été : "veuillez me présenter votre titre de transport s'il vous plaît".
Je demande une explication, j'ai en réponse la répression. Genre de choses qu'à 60 ans je commence à ne plus trop goûter.
Je lui réponds du tac au tac "je vous présente mon billet, et vous vous marquez l'heure et le lieu de contrôle dessus..."
Le con-trôleur a paru désarçonné, et m'a dit que j'avais une réaction bizarre, et qu'il n'était pas payé pour des trucs de ce type.
J'ai répondu que je ne paye pas 17 euros pour 110 km pour finir avec un retard systématique de 15 à....55 minutes.
Finalement, il a capitulé, en faisant bien remarquer à la cantonade - gestes à l'appui - que je ne devais, visiblement, pas jouir de la totalité de mes facultés.
La cantonade, elle, s'en fichait bien, des belles dames bien pomponnées lisant Vogue et des messieurs encravatés et i-padisés qui se demandaient bien pourquoi leur train s'arrêtait dans des hameaux de Franche-Comté pleins de neige...
Bref, tout ça pour vous dire que si le Paris-Lausanne de 20h18 (à Mouchard) a encore un retard conséquent, je ne pourrai descendre dans ma cave que le lendemain pour répondre à vos commentaires.
En attendant je vous embrasse.
(*) Pas question de venir sur mon blog de mon boulot, j'ai assez payé pour l'avoir fait, mais je sais qu'il existe un autre cyber à Lons, distant lui de quelques 2 km de mon lieu de travail. Vu la façon dont les trottoirs sont déneigés, je pense que ce serait un exploit d'y aller, mais s'il le faut, j'irai.
13:46 Publié dans arnaques, moi | Lien permanent | Commentaires (5)
18/01/2011
Sarkozy : la tentation de Ben Ali
Notre président vient de proposer une série de mesures, sorties de son chapeau, qui devraient certes contenter les riches (idiot, puisque de toutes façons ils voteront pour lui) et affaiblir encore plus les classes moyennes.
Au vu de ce qui a été déjà détruit - sous le joli nom de "réformes" - et étant donné qu'il persévère dans sa folie, je ne peux m'empêcher de penser que NS a un problème psy.
Soit il veut savoir jusqu'où peuvent aller ses concitoyens jusqu'à l'explosion - qui sera d'autant plus violente qu'elle aura été mûrie.
Soit, sachant très bien qu'il n'a aucune chance de gouverner en 2012 (il peut être réélu - les français sont des veaux disait De Gaulle - mais les députés UMP et consorts se verront renvoyés à leurs chères études) il va de plus en plus loin dans ses folies, n'yant dès lors plus rien à perdre.
Mais, résumons quand même, pour ceux qui n'auraient pas tout suivi depuis 2007 .
CE QU'IL A PROMIS :
- Déduire les intérêts d'un emprunt immobilier du revenu imposable.
Abandonné.
- Exonérer les droits de succession de 95% des Français.
Abandonné.
- Défiscalisation totale des emplois à la personne.
Au contraire, ces services seront taxés de 15% supplémentaires.
- Améliorer le remboursement des soins dentaires et optiques.
Jamais appliqué.
- Maintien des services publics dans les zones rurales en difficulté.
Le pire mensonge, à mes yeux. 50% des bureaux de poste ont été supprimés - notamment dans mon village - et je ne parle pas de l'hôpital, de l'école, des gares fermées, des lignes SNCF non entretenues, et même de Météo-France qui devra fermer la moitié de ses stations et centres départementaux..
- Améliorer les retraites des femmes ayant cessé leur activité professionnelle pour éduquer leurs enfants.
No comment ! Les femmes en question apprécieront.
- Etendre les allocations familiales aux familles avec un enfant.
Jamais appliqué.
Etc etc, cette liste n'est pas exhaustive.
CE QU'IL N'AVAIT JAMAIS DIT :
- Relèvement de deux ans de l'âge de la retraite.
- Que le SMIC serait gelé, ainsi que le salaire des fonctionnaires.
- Que les livrets A ne seraient plus compétitifs.
- Télé publique : suppression des ressources publicitaires, qui va de pair avec la tutelle du président de la République qui nommera lui-même les différents PDG.
- Changement du système d'immatriculation des voitures, mesure coûteuse, inutile, et surtout jacobine.
Et dernières en date, ce qui me fait écrire cette note :
- Suppression de l'impôt sur la fortune.
- Taxation des plues-values réalisées lors de la vente de l'habitation principale.
Ce qui signifie, en clair, 20% de baisse de pouvoir d'achat si on veut changer de résidence.
C'est la première fois que je fais une note où je parle en termes très précis des dégâts du Sarkozysme, mais là il y a vraiment le feu...
Je vous embrasse.
12:14 Publié dans actualité, arnaques | Lien permanent | Commentaires (7)
25/11/2010
Racolage par mail
J'en suis encore sur le cul !
Voici quelques jours, une certaine Sarah m'envoyait un mail, me disant texto "je viens de lire votre annonce. Pourquoi ne pas faire connaissance ?"
Je lui réponds aussitôt ceci :
"Bonjour
Je suis désolé, mais en dehors d'achat de disques, je n'ai déposé d'annonce nulle part.
Cordialement."
Hier, même topo, cette fois la fille s'appelait Christine.
Même mail, même réponse.
Et aujourd'hui, nouveau mail de la fameuse Christine que je vous livre in extenso :
Que dire ?
je ne vais pas jouer les pères la Pudeur. Et dire que ce genre d'annonce est immonde, inexcusable, inacceptable, indamissible.
Non, et je dirai même plus : ce genre d'annonce est bénéfique pour celui qui est un peu trop porté sur la chose, ou qui est en manque total et qui hésitera longuement avant de faire le premier pas pour aller trouver une prostituée (ça se dit "escorte" apparemment).
Là il suffit d'aller sur le site de la dame, et pour 45 euros le gars a sa petite heure de bonheur.
Non, là où je ne suis absolument pas d'accord, c'est l'entrée en matière.
Les mails de la dame qui prétendaient répondre à une annonce. Non seulement c'est archifaux, mais imaginez un couple qui ait une adresse mail en commun ? C'est le cas de la moitié des couples, et vraiment, j'imagine la tronche de Monsieur en train d'expliquer à Madame qu'il n'a jamais passé d'annonce auprès d'une agence de prostituées !!
Même si la dame dit "je ne suis pas très loin de vous", je doute que dans mes montagnes Jurassiennes ce genre d'agence puisse exister.
Mesdames qui êtes dans ce cas, vous pouvez croire votre jules sur parole :)
Je vous embrasse.
21:05 Publié dans arnaques, Web | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : internet
16/09/2010
Jocelyne (avril-mai 1981)
Cette note, qui montre que le choc que l'on reçoit est proportionnel à l'état d'esprit où l'on se trouve.
Surtout dans le domaine de l'amour.
Jocelyne, tu es vraiment une petite garce, mais je te dois à franchement parler pas mal de choses.
Un esprit primaire y verrait en premier lieu la méfiance presque maladive que j'aurai ensuite à l'égard des femmes pendant près de deux ans. J'étais la "vedette", elles me sautaient au cou mais au fond de moi je n'y croyais pas. Plus.
Non, justement, c'est ce côté "vedette" que je veux garder, ce sentiment de revanche sur la vie - ce côté Edmond Dantès - que j'ai eu alors que tu m'avais laissé choir, amoureusement mourant, après m'avoir utilisé comme un kleenex. C'est grâce à ce sentiment-là que j'ai pu devenir ce que j'ai été.
La "vedette"...
Tout commence en avril 1981.
J'avais perdu toute confiance en moi. Un monde s'écroulait. Ce vilain mot divorce, que je voyais employer de façon de plus en plus rapprochée dans mon entourage, me touchait, à moi! Alors que, comme les accidents de la route et les graves maladies, ça n'arrive qu'aux autres ces trucs-là !!!
Certes, un avocat avait pris les choses en main, et m'avait fait "gagner" (quel mot horrible dans ce contexte) le fameux divorce, elle avait les torts exclusifs, je n'avais même pas à payer de pension, et après ???
Pour moi, c'était simple : "je n'étais plus un homme". Point.
En ces années giscardiennes, se faire plaquer par sa femme - et en plus sans qu'un homme en soit la cause (cf la chanson de Jonasz dites-moi) - était une sorte de castration. Si sentimentalement j'étais très amoché, "virilement" j'étais fini.
Pendant les mois qui suivirent j'étais pris entre deux sentiments différents.
La peur de la Femme, qui m'avait lâchement abandonné, et le manque d'Amour. Pas seulement sexuel, d'amour tout court...
En novembre 80, je tombai amoureux fou d'une voix, celle de ma collègue qui bossait à 50 km de là.
C'est l'objet de ma note Michèle.
michele-1980.html
Ca c'est un truc qui m'arrive souvent. Je tombe amoureux d'une voix, d'un ton, avant même de connaître la femme qui l'exprime.
La collègue en question s'est faite un peu désirer (alors qu'en fait - elle me l'apprendra plus tard - elle était dans le même cas que moi) si bien que j'ai baissé pavillon en février...
C'est alors que Jocelyne s'est pointée dans mon paysage.
Jeune épouse et maman de 20 ans, elle avait fui son foyer conjugal car son mari la battait. La seule circonstance atténuante qu'on pouvait lui trouver à ce mari batteur - de femme - était que Belle-Maman était sa voisine de palier.
Mais c'est vraiment tout.
Donc, Jocelyne est revenue avec son bébé chez maman, et du coup l'appartement des tourtereaux (qu'elle avait entièrement repeint en orange, radiateurs compris ) s'est trouvé vacant.
C'était mon tour sur la liste, bingo ! C'est moi qui l'ai eu.
HLM, d'accord, mais pas n'importe où !! Voilà ce qu'on pouvait voir de mon balcon....
La jeune et jolie Jocelyne a vu en moi deux avantages non négligeables. L'utile et l'agréable.
L'utile d'abord, se servir de moi comme appât pour faire réfléchir son mari, revenu lui aussi chez papa-maman. Mari très très jaloux...
Et l'agréable, car cette jeune femme était folle de sexe.
Notre "première fois" fut calamiteuse.
D'abord parce qu'il faut bien le dire, je n'avais pas fait l'amour depuis 15 mois, et, mec ou nana, pas évident de s'y remettre.
Et aussi parce que, comme je le dis plus haut, ce divorce m'avait plus ou moins castré.
La jeune femme en plus était très maladroite, car à l'issue de nos premiers ébats m'a dit d'un air songeur "tu sais, tu m'as horriblement déçue"... Rien de mieux pour "re-castrer" !!!
Toujours est-il qu'elle n'avait pas dû me juger bon comme étalon, et qu'elle me signifia mon congé la veille du premier tour des élections présidentielles.
Faire revenir son mari, d'accord, mais pas dans n'importe quelles conditions !
O miracle, le 26 avril 81 - jour de l'élection - je trouvai glissée sous ma porte une carte postale où elle semblait vouloir revenir vers moi.
Et Là commença notre "histoire".
Brève mais intense. La demoiselle était femme de ménage dans les stations de ski, et m'emmenait avec moi dans chaque appartement. Il était entendu que je devais laver les immenses baies vitrées, tandis qu'elle faisait le reste. Elle gagnait ainsi un temps précieux, qu'elle et moi employions vaillamment sous la couette.
A chaque appartement visité nous nous faisions un "gros calin". Avec toujours la même musique de fond : In the air to night de mon jumeau Phil Collins.
Elle avait 8 appartements à faire par jour...
C'était donc épuisé mais heureux que je revenais de ces folles journées.
Grâce à elle je fis d'énormes progrés en matière de sexe (ainsi à Noël 2005 je manquerai de m'étrangler quand - devant moi en plus - à l'issue d'un repas bien arrosé, mon épouse dira à notre fille que " j'étais un super bon coup" Arrrrf !! ).
Le 9 mai, nous parlions déjà mariage... En plus j'étais tombé amoureux aussi de son petit Sébastien qui avait l'air de m'apprécier.
Pour le gosse, c'était fatalement moi son père vu que je distribuais des bisous au lieu de gifles...
Le 14, coup de tonnerre.
Je la vois de mon boulot. Elle, la R9 de son mari, garée devant l'immeuble.
Le lendemain, 15 mai, elle se pointe pour me dire doucereusement que nous deux c'était finalement un beau rêve mais rien de plus. Que "pour le bébé" il valait mieux que ça se passe comme ça.
Je passerai sur les mois qui suivirent :(
Ensuite, elle fit un autre bébé avec son mari. Tandis que moi, je parcourais 100 km par jour pour aller faire l'animateur dans une radio locale, qui allait être de moins en moins locale.
Je me la suis alors joué Dr Jeckill et Mr hyde, tantôt humble fonctionnaire anonyme passant le moins de temps possible dans l'appartement qui me rappelait tant de choses, tantôt , à l'autre bout du département, la vedette devant laquelle toutes les femmes se pâmaient.
Mais moi je restais de marbre (moralement j'entends) .
Heureusement que 50 km séparaient ces deux mondes, il était vraiment très dur de passer de l'un à l'autre. J'avais vraiment peur de virer schizophrène...
Et le temps passa. Je brûlais de plus en plus ma vie par tous les bouts, ne dormant en moyenne qu'une heure ou deux par nuit, conduisais - pas toujours très net - à tombeau ouvert.
Le tombeau.
C'est là que probablement j'aurais dû finir avec cette vie de fou, qui me rendait heureux, et me faisait oublier Jocelyne. Et le reste....
Mourir heureux, n'est-ce pas finalement le top ?
Mais "le hasard" en a décidé autrement et un jour de mai 83 me fit rencontrer celle qui est encore mon épouse aujourd'hui.
Un an plus tard, attendant notre fille, nous avons déménagé. J'étais à 700 m de mon boulot, je me retrouvais alors à plus de 10 bornes de cette chèèère Joceyne et de sa si douce maman, Suzanne.
Mais le coeur si soulagé...
Je vous embrasse.
14:02 Publié dans arnaques, moi | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : jocelyne, garce, embrun
13/09/2010
Twist SNCF
J'ai voulu, tout à l'heure, réserver un billet de train de Rennes à Paris pour le 13 décembre.
Sachant que les offres "prem's" sont proposées 3 mois avant le jour du voyage, et qu'en général, ces tarifs ne durent guère plus de quelques heures.
Ainsi, vendredi, j'ai pu réserver mon aller pour le 10 décembre. Il ne restait plus que quelques places..
Aujourd'hui, fort logiquement, je demande l'horaire de retour.
Aucun train ne circule au-delà de l'horaire du trajet aller que vous avez indiqué. Veuillez modifier l'heure de votre trajet aller pour afficher plus de propositions.
Bon. Si j'ai bien compris, une grève serait prévue le 13/12 et on me l'aurait caché ???
Plus sérieusement, j'ai alors composé le fameux "3635". Du boulot, car je n'ai nullement l'intention de surpayer pour réserver un billet. 0.34 centimes la minute, faut pas déconner !
Je n'ai pas été déçu.
Je suis tombé sur une machine, qui ne me disait pas de taper un ou de taper 2 enfin taper quoi que ce soit, mais de dire mon souhait à haute et intelligible voix !
"si vous voulez acheter un billet, dites "BILLET".
Oui, c'est ça, je vais dire "billet" à mon téléphone devant mes collègues ahuris, il y en a qui se sont retrouvés à Ste Anne pour moins que ça !
"si vous voulez connaître l'évolution du trafic, dites "TRAFIC"
"si vous voulez connaître des horaires, dites "HORAIRES".
Hé, ho.... c'est quoi ce bintz ? Moi je veux juste parler à quelqu'un pour acheter un billet Rennes-Paris le 13 décembre ! Comme on pouvait le faire il n'y a pas si longtemps, et gratuitement en plus.
"je n'ai rien entendu....
Je répète les propositions.
Si vous voulez acheter un billet "dites" BILLET.
Arggghhhh !
"je suis extremement désolée mais je n'ai toujours rien entendu... je répète pour la dernière fois...
Et si on ne répond pas il se passe quoi ? On saute ? La préposée se suicide ?
"Manifestement, il n'a pas été possible de dialoguer. J'en suis fort désolée, et je vous passe un conseiller".
Au bout de 3 minutes et 10 secondes, soit quand même 1,36 euro , j'obtiens ce que je voulais depuis le début...!
Oui je sais, il doit y avoir des combines. Il doit suffire de taper tel ou tel chiffre pour couper à la litanie de la demoiselle. Comme ça se fait dans pas mal d'entreprises, dont la mienne.
Donc, 1 euro 36 pour m'entendre dire... que le 13 décembre est considéré comme "période de vacances" et que les réservations ne pourront se faire non pas trois mois à l'avance, mais deux !!!!
La logique de la SNCF : Peu de monde, on peut réserver 3 mois avant. C'est bourré, et le délai est ramené à deux mois !!!
Je pense que je vais partir dimanche 12....
PS : J'ai l'impression d'être sur mon ancien site : 7 tentatives échouées pour publier ma note....
18:03 Publié dans arnaques, Voyage | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : sncf
06/08/2010
Hadopi : ratage !!
Je pourrais me faire choper par Hadopi.
Car il m'arrive de télécharger des chansons ou des films en "pire tout pire".
Mais, attention, je ne télécharge pas n'importe quoi. Uniquement ce que je ne peux trouver à acheter.
L'exemple type : la chanson des Sunlights "avant le Jazz" que depuis 43 ans j'essayais en vain de trouver, que ce soit en vinyle, en cassette, ou plus récemment en CD.
Mais "illégalement", je l'ai eue tout de suite !!
Idem pour certains films.
Si je peux les acheter, pas de souci. Mais hélas, les DVD sont composés de films ricains à 95% et nos pauvres films français sont le plus souvent introuvables.
Sauf... par téléchargement "illégal".
Là j'ai récupéré des films introuvables dans le commerce. Et même dans le e-commerce.
Récemment, j'avais jeté mon dévolu sur un de ces films introuvables. La mule m'en proposait 4.
Donc, vas-y la mule, mais je m'y prends uniquement que film par film. C'est la "bande passante" qui déclenche les foudres d'Hadopi, 700Mo c'est encore bon.
- 1ère tentative : un porno. Direct à la corbeille.
- 2ème tentative : je n'ai même pas su ce que c'était car mon antivirus m'a prévenu qu'il s'agissait là d'un fichier vérolé jusqu'à la moelle.
- 3ème tentative : un fichier illisible.
- 4ème tentative : encore un porno.
Je n'ai plus qu'à prier le ciel pour que ce film sorte en DVD ou au moins en version télécharchable.
Mais, au vu de ce je viens de raconter, Hadopi ne sert pas à grand-chose pour l'internaute lambda.
Certes, il faudra bien marquer ce pauvre quinquennat où tout a été raté par quelque chose de concret, dont Hadopi.
13:44 Publié dans arnaques, Film, Loisirs | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : hadopi, téléchargement