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04/08/2021

Mes olympiades à moi

Pour ceux qui s'intéressent uniquement au côté sportif, j'avais pondu voilà 5 ans une note sur ce seul sujet.

Mais là je voudrais expliquer (et illustrer en chansons) comment j'avais vécu ces épreuves en leur temps.

- TOKYO 64. Paris. J'étais en 3ème, "petit chose" de 13 ans, malmené par des mastards d'une tête de plus que moi. Nous avions reçu durant quelque temps un cousin Toulousain, qui m'offrira mon premier Teppaz, sur lequel j'écouterai en boucle Romuald, Alain Barrière, les Beatles et Johnny Hallyday.
La chanson qui, en ces deux semaines d'octobre, était en tête des ventes était celle-ci

- MEXICO 68. Paris. Côté harcèlement plus de problème puisque je redoublerai ma 3ème (volontairement) et ma seconde (la marche entre la 3ème classique à Montaigne et la seconde C à Louis-le-Grand était vraiment très haute). Donc première D pour moi, cette fois très à l'aise avec 13 de moyenne.
A l'époque les épreuves d'athlétisme se passaient l'après-midi, donc la nuit pour les français cause décalage horaire. Nous n'aurons qu'une médaille d'or, mais pas n'importe laquelle, celle du 400 m féminin où une jeune prof bordelaise inconnue, Colette Besson, remontera une à une ses concurrentes... J'étais là, à 3h du matin, pleurant en écoutant la Marseillaise, hymne qui en cette année secouée, était pourtant pour moi le symbole de la répression !
Pendant cette quinzaine, la chanson en tête des ventes était un slow d'enfer !

MUNICH 1972. Mont-Aigoual. Enfin dans la vie active. Après avoir eu mon bac sans problème en 1970, après un an de tourisme à Jussieu, j'ai intégré l'école de la Météorologie. A ma demande expresse et avec le piston de mon père, je bosse dans un endroit magique : le Mont-Aigoual. Mais là-bas voilà 49 ans pas de télé, et c'est à la radio que je suis ces JO marqué par la boucherie palestinienne.
Radio qui passait en boucle ceci je ne vous apprendrai rien !

MONTREAL 1976. Saint Etienne de Saint Geoirs, petit village de l'Isère où se situe l'aéroport de Grenoble, après avoir essuyé les platres de celui de Roissy en 1974/75. Je suis marié et enfin, j'ai les toilettes chez moi, et même une salle de bains dans mon HLM que je considère comme un petit palais. Côté chanson, là encore pas de discussion !

MOSCOU 1980. Millau. Ces jeux-là je les regarderai en couleur, via un poste de location. Médaille d'argent des JO les plus tristes de mon existence, car ma jeune épouse m'a quitté. 30 kilos de moins depuis son départ, donc adieu mes cheveux (qui repousseront) et mes défenses immunitaires. Cela va commencer par une grippe carabinée qui me clouera au lit, et du coup je ne louperai aucune épreuve. Côté chanson, celle-ci en tête des hit-parades.

LOS ANGELES 1984. Châteauroux les Alpes. Toujours malade, mais d'une mononucléose. JO roses en revanche car je m'apprête à être papa. Sinon la musique commençait à être pauvre...

SEOUL 1988. Mende. RAS, existence "pépère" sans grand relief en dehors de visites aux urgences tous les mois pour mon épouse qui a une saloperie de maladie. Pas d'amélioration côté musique ....

BARCELONE 1992. Mende. Existence toujours aussi "pépère", au point que j'ai failli repartir à St Etienne de St Geoirs, mais cette fois en tant que chef. J'ignore encore que ma vie s'apprête à bouger grave. En attendant je me passionne pour les exploits de Marie-Josée Pérec, double médaillée d'or, alors que côté chanson ça a l'air de s'améliorer...

ATLANTA 1996. Mende toujours. Après avoir été chef (la gloire !) je demanderai à être relevé n'aimant pas trop le travail de bureau. Arrivera un jeune c... bête méchant et sadique. je serai l'objet d'une persécution de sa part, qui me fera tomber en grave dépression. C'est dans la brume occasionnée par les anti-dépresseurs et antianxyolitiques que je verrai - de loin - ces jeux. La chanson de ces jeux, c'est sans surprise celle-là.

SYDNEY 2000. Séné. J'ai fini par demander ma mutation pour la Bretagne, où je pourrai retrouver mon cousin/frère Jean-Yves. Qui filera aussitôt à Tahiti, car pas de travail. Ma mère est morte deux ans auparavant, et ma fille, méprisée par sa mère, commence à mal tourner. Je prie le Ciel de ne pas connaître les jeux de 2004... Seule chose positive : la musique !

ATHENES 2004. Biarritz. J'ai failli ne pas les voir, et une nouvelle mutation me remet provisoirement d'aplomb, avec des collègues "normaux". Ca change ! Provisoirement car ma fille quitte notre foyer, ce qui va me destabiliser grave entre avril et décembre. Mais la chanson qui ponctue ces jeux est plaisante.

PEKIN 2008. Lons le Saunier. Enfin une belle année olympique pour moi ! J'ai fait construire une maison dans le Haut-Doubs pour ma retraite, en attendant je finis ma carrière au bas des montagnes, avec un poste d'itinérant" qui flattera mon égo et mon compte en banque ! C'est moi le Gérard Klein de la maison Grenouille..
Avec une chanson assez ensoleillée.

LONDRES 2012. Ouhans. Ma retraite commence mal. On a trépané mon épouse six ans auparavant pour essayer de lui enlever sa sale maladie, mais ça a foiré et elle est devenue méchante, envers moi et aussi les voisins. Pire, le 14 août, je découvrirai qu'elle ne rêve que de me voir disparaître. Notre médecin traitant aussi le découvrira, m'enjoignant de mettre les bouts le plus vite possible !
C'est à l'hôpital que je regarderai ces jeux, où je me retrouverai après ce que j'ose qualifier de tentative de meurtre par conjoint. La musique aussi se portait mal.

RIO 2016. Sanary. J'ai suivi les conseils du docteur et j'ai refait ma vie avec une femme aimante et dévouée. Le divorce m'aura coûté 170.000 euros, les ponts coupés avec ma fille et des petits-enfants que je ne connaîtrai jamais. Mais en cette année 2016 je suis en forme... olympique, et me sens plus jeune que jamais.
Mais de pire en pire côté musique.

TOKYO 2021. Le Puy. Encore un déménagement ! Le dernier j'en ai bien peur. A mon tour d'avoir la santé en compote, entre deux hernies discales, un diabète, une tachycardie et parkinson. J'ai épousé celle qui a bien voulu finir sa vie avec le vieux ronchon ne tenant plus debout que je suis devenu. Elle m'aide à m'habiller, me coupe ma viande, est aux petits soins pour moi, dont elle devine que je ne ferai pas de vieux os.
Moi qui voulais mourir en 2003 et ai tout fait pour ça, là je veux vivre, mais quand je compare 2016 à 2021, je suis lucide et réalise que je n'aurai que très peu de chances d'être là pour PARIS 2024, que j'attendais depuis des années...

Je vous embrasse.

25/07/2021

11 ans de blog Cica chez Hautetfort

Et oui, c'est à la fin juillet 2010 que j'ai entamé ce blog chez Hautetfort.
J'avais commencé à bloguer 5 ans et demie auparavant, sur le site Psychologies.com, qui, après s'être bien servi de ses forums puis de ses blogs pour se faire une certaine notoriété les a purement et simplement supprimés. 
Je me suis alors rabattu en 2009 sur ce site où j'ai créé tomber sept fois se relever huit, inspiré de Philippe Labro. Mais ce fut le bide total sur cette plate-forme plutôt politique, pardon je voulais dire que "ce blog n'avait pas trouvé son public" comme on dit pour excuser les bides !
Seconde tentative début 2010 avec Cica 2010, puis voyant que ça accrochait mieux, j'ai viré le 2010 et donc voilà, 11 ans que ça dure.
Ma modestie m'empêchera de mentionner le nombre de pages lues et de commentaires, mais sachez quand même que j'écris ma 1418 ème note...

Quand j'ai commencé j'étais encore en activité, c'était le temps béni où j'écrivais une page de la main droite en un quart d'heure (à présent finie la main droite, je tape péniblement deux trois mots à la minute avec la gauche en faisant une faute à chaque mot) grâce à un puissant ordi de bureau et un clavier nickel.

Ce blog a failli s'arrêter très vite car j'ai déménagé dans un endroit sans internet, donc si je pouvais à la rigueur pondre des notes via un brouillon sur word, impossible de répondre immédiatement aux commentaires.

Le but de ce blog était au départ de faire un journal intime à effet rétroactif, mais en déménageant j'ai trouvé des numéros de salut les copains et l'idée m'est venue de mettre les hit-parades en ligne.

Et au fil des mois, ce blog est devenu de plus en plus axé sur la musique. A tel point que certains "mordus" me rappellent à l'ordre quand je ponds des notes non musicales ! 

Je dois dire merci à ce blog. Car j'arrive à un âge où la mémoire est sélective, et grâce à lui je peux relire au jour le jour ce que j'ai vécu depuis onze ans.
Et quand je lis certaines notes, je me dis que j'ai quand même été solide. Patient et solide.

Grâce à lui j'ai pu avoir gain de cause dans certaines affaires, notamment quand, ayant posé des panneaux photovoltaiques * sur mon toit, EDF me faisait lanterner pour me raccorder au réseau.

Et récemment j'ai pu retrouver mon meilleur ami de jeunesse, grâce à une note "avis de recherche".

J'espère continuer ce blog le plus longtemps possible.

Je vous embrasse.

 

* Déjà que je n'étais pas très copain avec, je zappe désormais la plupart des trémas et des circonflexes, une croix vu ma maladie.

17:39 Publié dans Blog, moi | Lien permanent | Commentaires (10)

10/06/2021

Jacques BREL : mes 25 préférées.

Avant toute chose je tiens à dire que je n'ai pas oublié les BEE GEES, ni RONNIE BIRD, ni DAVID BOWIE mais je n'ai pas trouvé 25 titres.
Voici donc Jacques Brel, sauf omission mais je ne pense pas qu'il y en ait. Vous serez surpris de ne pas voir figurer de grands "standards" comme Amsterdam ou Le moribond, mais comme le disait Evelyne Thomas, c'est mon choix . Mon podium par ordre alphabétique :  je ne sais pas, la lumière jaillira et on n'oublie rien.
Longtemps y a figuré Orly, mais depuis quelques années, j'ai réalisé qu'il y a aussi le Hall des arrivées !

AU PRINTEMPS (1958)
CES GENS-LA (1966)
J'ARRIVE (1968)
JE NE SAIS PAS (1958)
L'AVENTURE (1958)
LA BASTILLE (1953)
LA BOURREE DU CELIBATAIRE (1957)
LA COLOMBE (1959)
LA DAME PATRONESSE (1959)
LA FANETTE (1964)
LA LUMIERE JAILLIRA (1958)
LA QUETE (1968)
LA TENDRESSE (1959)
LA VALSE A MILLE TEMPS (1959)
LE BON DIEU (1977)
LES BERGERS (1966)
LES BOURGEOIS (1962)
LES FENETRES (1964)
LES PRENOMS DE PARIS (1961)
NE ME QUITTE PAS (1959)
ON N'OUBLIE RIEN (1961)
ORLY (1977)
QUAND ON A QUE L'AMOUR (1956)
ROSA (1961)
SUR LA PLACE (1954)

je vous embrasse.

16/05/2021

Mon "dictionnaire amoureux" du parkinson

A comme amour. Le meilleur remède. Grâce à celui de ma femme, laquelle se met en quatre pour m'épargner le moindre effort et le moindre souci, j'arrive à supporter assez bien ma maladie. Mais gare au corollaire : quand je suis tout seul, je suis affolé et perdu.

A comme assise. Je ne peux plus m'asseoir n'importe où. Au-dessous d'une certaine hauteur, je ne peux plus me relever seul ! Si je suis chez quelqu'un j'évite systématiquement les bons fauteuils moelleux s'ils sont trop bas.

B comme bégaiement. Désormais, s'ils sont dans le bon ordre, les mots se bousculent dans ma tête, et très rapidement je bégaie. Même au téléphone.

C comme cochon (manger comme un). Mon "foyer" étant à droite, j'arrive de plus en plus mal à me servir de ma main droite. Pour l'écriture l'ordi me sauve, mais pour manger, c'est l'horreur ! Au point d'éviter les invitations à dîner en dehors des proches. En plus la diminution de ma force fait que parfois j'ai énormément de mal à couper ma viande. Voir aussi "maladresse".

C comme couchage. N'ayant également beaucoup moins de force dans les bras, j'ai intérêt à prendre la bonne position d'entrée de jeu, car bonjour ensuite pour me retourner ! Quand j'y arrive.

D comme déni. Mon tremblement se voyant de plus en plus, et ne voulant pas passer pour un alcoolo ou un drogué en manque, j'ai annoncé la couleur tout de suite. Dont à mon cousin Jean-Yves début 2019.
Quand je l'ai revu 6 mois après, il m'a dit "je croyais que c'était des conneries"...!

D comme démarche. J'avais déjà tendance à être légèrement voûté à cause d'une hernie discale mal soignée. Mais la raideur que procure cette maladie me fait désormais ressembler à Madame Bodin's mère (sans la canne). Je plains ma pauvre épouse, qui voilà 8 ans faisait connaissance de Richard Gere, et qui se retrouve avec le Père Fouras !

E comme écriture. Moi qui avais (si, si) une assez belle écriture, elle s'est progressivement transformée en "pattes de mouche", et désormais je dois le salut à mon ordinateur et ma carte bleue ! Car même rédiger un chèque relève à présent du parcours du combattant.

E comme escalier ou équilibre. La peur des escaliers, de perdre l'équilibre, est un des symptômes révélateurs.

E comme étourdissement. Voir des gens évoluer autour de moi m'étourdit. De même je ne supporte plus la foule, faire les courses le samedi dans un hyper est désormais un calvaire. Moi qui avais fêté le 1er janvier 2013 sur les Champs-Elysées !

F comme fatigue. Cette maladie fatigue énormément. Et du coup le soir je suis vanné. Pourtant pas facile de s'endormir (cause dopamine) mais une fois parti je fais le tour du cadran.

G comme gaucher. Mon "foyer" se situe à droite, et petit à petit je "vire à gauche". Par exemple, je ne tape désormais au clavier que de la main gauche, la droite devenant de plus en plus incontrôlable. Non Jean ce n'est pas de la politique ;-))

H comme m'habiller. C'est de plus en plus long, à présent il me faut un quart d'heure au minimum. Voir "kiné".

H comme honteuse (maladie) : Voir "déni".

I comme internet. Voir aussi "ordinateur". C'est en lisant quelques articles sur la maladie que j'en ai déduit ma maladie. Internet, grâce à qui je peux communiquer.

K comme kiné. Passant trop de temps à me déshabiller puis à me rhabiller, je ne peux plus y aller, alors que j'en aurais bien besoin vu l'état de mon dos.

L comme lenteur. J'ai carrément pu chiffrer l'arrivée de ma maladie au mois près ! Si, je vous jure. Grâce au jeu "song pop" qui consiste à deviner une chanson le plus vite possible. Avant ma maladie sur des séries faciles je faisais en moyenne 0.6/0.7 seconde par chanson. Puis ce fut 1 seconde, 1 et demie... Et j'ai stoppé. Mais ça m'a permis de dater le début de ma maladie : janvier 2017.

M comme maladresse. J'ai l'impression d'avoir des gants de boxe quand je veux accomplir une tâche avec mes mains, notamment le simple fait de me servir d'une fourchette et d'un couteau.

M comme manque d'air. Un des aspects de parkinson, cette sensation d'étouffer, de temps en temps. J'ai consulté une pneumologue qui m'a confirmé que mes poumons étaient en bon état, c'est donc le cerveau qui déconne. D'où :

M comme masque. Cette saloperie bleue, que l'on ne mettait pas durant la "première vague" - laquelle s'est quand même éteinte toute seule - me rend fou quand je la porte trop longtemps, car vraiment j'étouffe. Je comprends le choix de ceux qui le mettent par peur (de la maladie ou des 135 euros), ou pour se donner l'impression d'appartenir à un groupe (j'avais le "syndrome foulard" quand j'étais scout) mais on ne devrait pas l'imposer à ceux que ça rend malades plus que la maladie elle-même.

N comme neurologue. Parfaits pour diagnostiquer puis suivre la maladie. En revanche, côté médocs, ils auraient tendance à prendre un marteau-pilon pour écraser une fourmi.

O comme ordinateur. Cet engin me sauve ! Grâce à lui, je peux encore communiquer. La preuve !
 
P comme projets. Mon expérience des hits parades me fait réaliser qu'il vaut mieux ne pas en faire. Chaque trimestre me voit régresser. Heureusement ma femme est là, et je sais qu'elle tient à moi. En dehors d'elle, "les choses" ont voulu que rien d'autre' ne me retienne vraiment à la vie. Si elle n'était pas là, ne tenant pas à déchoir totalement et devenir une épave, je sifflerais la fin de la partie avant que je puisse plus le faire de moi-même.

R comme rasage. Désormais, fini pour moi le rasage de près, sous peine de coupure. J'ai fait l'emplette d'une tondeuse, qui me donne une barbe de 3 jours, que je trouve ma foi pas si mal, d'autant qu'à la télé on ne voit plus guère d'hommes glabres. Et puis de toutes façons avec le masque...

R comme raideur. C'est par ce biais que ma kiné, en 2017, a deviné ma maladie.

S comme SNCF. Entreprise que j'ai souvent critiquée dans ces colonnes. Mais que je dois à présent remercier, car si je peux encore être autonome, c'est grâce à elle. Quand ça roule...

T comme toilettes.  Je préfère ne pas entrer dans les détails, ne voulant pas tomber dans la scatologie, mais je peux vous dire que j'appréhende la toute fin de l'exercice...

T comme trembler, évidemment. C'est le signe avant-coureur principal de la maladie. C'est également un livre de Catherine Laborde qui est très instructif.

V comme voiture. C'est en 2017 que j'ai commencé à prendre peur sur l'autoroute. En 2018 je n'y ai roulé que le dimanche, et plus du tout à partir de 2019. J'en parle ici. Parallèlement, je ne roulais plus dans le sud, la "conduite-western" de là-bas ne m'ayant d'ailleurs jamais trop emballé. Puis je n'ai plus conduit du tout, la dernière fois étant janvier 2020, juste avant que je me fasse une double hernie discale.
Même en temps que passager, je supporte de moins en moins la vitesse.

Je vous embrasse.

14:49 Publié dans détripage, moi | Lien permanent | Commentaires (8)

10/04/2021

Mes trois notes préférées

En tête je mettrai une note humoristique. Hibernatus 2 le retour écrite voilà un an, le 23 avril 2020, suite au visionnage du célèbre film où jouait De Funès. M'étant dit qu'il s'est passé autant de choses entre 1970 et 2020 qu'entre 1920 et 1970.

En second, beaucoup moins drôle. J'ai écrit Nostalgie le 18 octobre 2012, réalisant que les jours qui me restaient à vivre ne seraient pas très roses. Combien de temps dureraient-ils, ces jours, sachant que l'été m'avait apporté une sale maladie, qui pouvait m'envoyer au tombeau, au fauteuil roulant et dans le melleur des cas aux urgences ? Ce qui m'était arrivé le 14 août où je saignais comme un boeuf devant mon (ex)épouse à la mine réjouie. Sa maladie à elle l'avait rendue méchante...
Bref je ne me doutais pas un instant de ce qui allait m'arriver, et surtout de la pugnacité dont j'allais faire preuve les années suivantes, quand le soir de la publication de cette note, je m'inscrivis à un quizz musical sur facebook, song pop...

En 3ème position, une belle histoire, sur laquelle subsistera toujours un point d'interrogation : Marité, ma soeur volée écrite le 19 août 2010.

Mes suiveurs rockers seront déçus, pas de note musicale dans ce tiercé, mais je ne les oublie pas.

Je vous embrasse.

17:53 Publié dans détripage, moi | Lien permanent | Commentaires (3)

03/03/2021

ADAMO - mes 25 préférées

A DEMAIN SUR LA LUNE (1969)
CARESSE (1971)
COMME TOUJOURS (1965)
DU SOLEIL DU BOULOT (1966)
EN BANDOULIERE (1966)
ENSEMBLE (1967)
ET T'OUBLIER (1971)
F COMME FEMME (1968)
FEMME AUX YEUX D'AMOUR (1972)
IL Y A JUSTE UN AN (1968)
INCH'ALLAH (1966)
J'AI TANT DE REVES DANS MES BAGAGES (1967)
JE TE TROUVERAI (1972)
LA NUIT (1965)
LE CARROSSE D'OR (1969)
LE NEON (1967)
LE RUISSEAU DE MON ENFANCE (1968)
LES GRATTE-CIEL (1969)
MA LIBERTE MON INFIDELE (1972)
MANUEL (1977)
MON CINEMA (1968)
PAUVRE VERLAINE (1968)
TENEZ-VOUS BIEN (1966)
UNE MECHE DE CHEVEUX (1966)
VIVRE (1967)

 

Je débute une nouvelle saga, celle de vous faire partager mes goûts en ce qui concerne les chansons que préfère des chanteurs à longue carrière. Un top 25 et en gras mon top 10.
Mon podium (actuellement) : Manuel - J'ai tant de rêves dans mes bagages - A demain sur la lune.

Prochain artiste : Richard Anthony.

Je vous embrasse.

23/02/2021

Je suis là !

Merci de vous être inquiétés, je suis là et je vous expliquerai tout en détail cet après-midi. 

Je vous embrasse.

13:08 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (17)

22/01/2021

Mon premier blog : Le harcèlement au travail (mai 2005)

le harcèlement moral au travail


C'est comme les accidents de voiture, on pense que ça n'arrive qu'aux autres... Hélas non, et je vais vous raconter mon expérience, qui sans aucun doute va vous édifier.

Je suis fonctionnaire, depuis 1971, dans une entreprise publique, dont, par charité ( et par prudence aussi ) je tairai le nom. 

Je passe sur mes 22 premières années de carrière qui se sont déroulées façon "long fleuve tranquille".

Pourtant, durant ces 22 ans, j'avais pas mal bourlingué, des Cévennes à la Région Parisienne en passant par les Alpes et l'Aveyron. Pour finir en Lozère.  J'avais enfin atteint mon but, et je pensais y finir ma carrière. Le pied, quoi !

J'y débarquai en mars 87, et d'entrée je me mis au diapason avec les collègues, et les différents chefs qui se succédèrent.

Pour le dernier je n'eus aucun problème vu que c'était... moi !
Je m'étais retrouvé dans ce rôle très précipitamment, le dernier boss en date ayant réussi un concours et étant parti au triple galop .

Ce rôle de chef, je l'assumais bien, mais il était quand même relativement éprouvant. J'avais "sous mes ordres" deux femmes, et le courant passait bien entre elles et moi ( mais pas du tout entre elles ).  Ce n'était pas de travailler avec des femmes qui rendait ma tâche éprouvante, bien au contraire ( c'était des bosseuses hors pair ) mais plutôt de devoir me taper 50 à 60 heures hebdomadaires. Et surtout l'une de ces collègues était l'élue ( interdite ) de mon coeur, j'intégrais donc très mal le fait d'être l'homme de sa vie "à la ville" et son supérieur hiérachique "à la scène" et je me résolus à demander quelqu'un pour me remplacer dans ce rôle.

J'aurais dû m'abstenir... C'était un "jeune" ( de 32 ans quand même ) , sorti à peine de l'école, qui d'entrée de jeu à commencé à se prendre la grosse tête.

Une des mes deux collègues, à l'annonce de son arrivée demanda illico sa mutation.

Elle fut remplacée par deux hommes, numériquement on y gagnait...

Logiquement cette petite équipe de 5 aurait dû tourner comme une horloge, mais c'était sans compter sur la personnalité de mon "remplaçant". Il avait compris tout de suite qu'il fallait diviser pour régner, et il appliqua très vite ce précepte.

Il commença à nous diviser en deux clans, les "jeunes" - les deux nouveaux arrivants - et les "anciens", soit moi et ma collègue de même pas 26 ans... Le fait que cette jeune femme ait repoussé ses avances n'a certainement pas dû être étranger à cet état de fait.

Et le harcèlement commença.

D'abord contre le "maillon faible", c'est à dire la jeune femme, bien entendu, par besoin de basse vengeance. Il  n'arrêtait pas de la critiquer pour un oui pour un non, alors qu'elle était arrivée au "top" de la profession. A l'inverse de notre tortionnaire, dont nous nous demandions elle et moi comment il avait pu arriver à ce grade.

Je pris bien évidemment la défense de ma bien-aimée ( mais j'aurais fait pareil pour n'importe quel autre collègue, je déteste l'injustice ) et c'est alors c'est sur moi qu'il concentra le tir.

Il avait bien saisi - les regards ne trompent pas - dans quelle situation bancale je me trouvais, et bien entendu en a profité à fond.


Ce fut très exactement le 8 juillet 1994.

Sur le moment, c'est la colère qui me submergea. Puis l'inquiétude. Et enfin la terreur.

Il mit rapidement au point un stratagème imbattable :  des réunions mensuelles, qui ne servaient à rien sinon qu'à régler ses comptes. Pendant deux heures on débattait " du sexe des anges", puis quand venaient les fameuses "questions diverses" c'était alors l'assaut !

Tant ma collègue que moi en prenions plein la poire. Il nous humiliait devant les autres en se délectant. Le must pour lui c'est quand il arrivait à faire pleurer la jeune femme...

Donc, comme je l'explique sur ma note "dépression", je me mis à avaler des kilos de comprimés, jusqu'à 14 par jour. Pas question de nous arrêter ni l'un ni l'autre car nous savions que dans ce cas celui ou celle qui resterait prendrait double ration...

Au bout de deux ans, miraculeusement, nous tenions encore sous ces "bombes". Car si nous ne voulions pas quitter ce département si cher à notre coeur, nous tenions encore moins à nous faire séparer.

Cercle vicieux, mon travail bien évidemment s'en ressentait, et les reproches pleuvaient encore plus. D'où une plus forte prostration, etc. En septembre 1996, il n'hésita pas à virer - par la force - mon épouse qui était venue me voir au boulot...

Le coup de grâce fut porté en mars 1997, où ce triste sire envoya un rapport circonstancié - et entièrement mensonger - à la Direction de la boîte pour demander une mutation disciplinaire contre ma petite collègue.

Celle-ci dut alors se résoudre à partir, et moi, ne pouvant envisager d'être l'un sans l'autre sous la coupe de notre tortionnaire, demandai à mon tour une mutation. Que j'obtins facilement, vu mon ancienneté.

L'histoire aurait pu s'arrêter là. Du moins du côté strictement professionnel. Mais non.

Je pensais naïvement que de changer d'endroit allait tout faire rentrer dans l'ordre, pour moi c'était évident, plus de harceleur = plus de harcelé...

Déjà, mes nouveaux collègues ne furent pas ravis de voir arriver l'incapable que j'étais devenu. Dans mon métier, il faut se recycler en permanence, et ma dépression m'avait fait perdre 3 années, pas évidentes à rattraper. J'étais en quelque sorte "le boulet" de l'équipe, celui derrière lequel il fallait tout le temps repasser...

Ils commirent l'erreur de ne pas m'en parler, de ne pas me demander si j'avais un problème ( pourtant ma démarche et mon élocution étaient assez éloquentes ). Au lieu de ça, ils "prenaient leur mal en patience", n'attendaient qu'une seule chose, c'est que je m'en aille.

Hyper intuitif, je ressentais ce rejet, et je serais bien parti si... mon épouse, profitant du fait que j'étais  - sous l'effet des antidépresseurs - incapable de prendre une décision, n'avait entrepris de construire une maison ! Et donc, pour le coup, j'étais vraiment coincé...

D'autant que pour ma fille, je jouais en permanence la comédie. Du Dany Boon avant l''heure. En rentrant du boulot, je disais que la journée s'était super bien passée, alors que personne ne m'avait adressé la parole, si ce n'est pour me reprocher quelque tâche mal effectuée.

Elle était si contente que j'aille mieux...

Sur ces entrefaites je perdis ma maman, qui était devenue désespérée de me voir parti à l'autre bout de la France. Cela n'arrangea pas tellement mon moral...

Et je finis quand même par craquer un an après la mort de ma mère, lorsque, en avril 99, le chef décida de me "rétrograder". 

Sentant que je ne pourrai faire face tout seul je mis alors ma petite famille au courant, et parallèlement je stoppai tout médicament. Par effet rebond s'ensuivit une maniaco-dépression, où alternèrent des périodes d'hyperactivité ( que je mis à profit pour récupérer mon retard professionnel ) et d'abattement total où je ne pensais qu'à une chose, me tuer.

Cela dura 4 années. Jusqu'au 23 février 2003 où, tranquillement, sereinement même, j'avalai 35 comprimés de rohypnol.

A présent je suis dans une autre région, j'ai intégré une nouvelle équipe qui n'est pas au courant de mon "passé" et je pense être plus ou moins admis.

D'autant que... on me proposait la place de chef, et là, pas par intérim, mais de façon définitive.

Directeur de Biarritz, quelle belle carte de visite...

Mais je préférai refuser, ne voulant plus m'exposer. Cependant, je reste sans cesse aux aguets. Je guette le moindre signe qui pourrait annoncer un retour à ces 9 années pourries. J'ai bien pris soin cette fois de ne pas acheter un bien immobilier, prêt à me faire muter à la moindre alerte. Même si je n'ai que 6 ans à faire, je sais que je ne pourrai jamais revivre ce que j'ai vécu.

Visiblement, cette cicatrice-là ne s'est pas encore refermée...

Merci d'avoir pris la patience de me lire.

Rédigé le 04 mai 2005 à 15h32 dans Elle, Moi, Psy | Lien permanent | Commentaires (1)

 

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Un commentaire "de charité" sur cette note où je me livrais à fond.  En ce début mai, où je sentais que ma dépression était derrière moi,  avec ma maison en construction j'étais résolument tourné vers l'avenir, que j'imaginais tout rose.

Ce qui sera vrai au niveau travail, mes 4 dernières années seront les meilleures de ma carrière, retrouvant sur ma feuille de notation annuelle, l'appréciation "excellent élément", renouant avec 1994. Je serai le Gérard Klein de Météo-France, polyvalent pour remplacer des collègues aux 4 coins de la France et dans tous les métiers. Mon graal sera atteint à Guéret en aout 2007 où je serai amené avec un ancien collègue de Mende, un autre Gérard, qui me félicitera d'avoir pu remonter cette pente qui semblait insurmontable.
Quand je ferai mon pot de retraite, le directeur interrégional se déplacera.

 

 

14/01/2021

Mon premier blog : Je suis fan de Patriiick (avril 2005)

Je suis fan de Patriiiiick !!!

 

Patrick Cauvin, le romancier !

 

J'ai découvert ce Marseillais de 67 ans en 1982, quand une copine à laquelle je tenais particulièrement ne consentait à me revoir que lorsque j'aurais lu nous allions vers les beaux jours.

Pour moi, qui ne jurais alors que par Daninos, Barjavel et Bouvard, je pensais aller vers un calvaire de 375 pages, mais bon, qui veut la fin, hein ???

D'entrée je fus conquis. Déjà l'histoire, un amour extraordinaire entre deux jeunes gens que tout sépare, notamment...le fait que l'un et l'autre sont prisonniers des nazis dans un camp d'extermination. Mais aussi, le style...! Cauvin se met à la place de chacun de ses personnages, et raconte ce que chacun ressent. C'est là qu'on s'aperçoit vraiment que les choses sont vues très différemment selon les personnes. Que les femmes et les hommes n'ont pas du tout le même ressenti. Et dans son roman, j'ignore s'il a été conseillé, mais à le lire, on a du mal à réaliser que c'est un mec qui écrit les dialogues de la jeune héroïne !

A partir de là - ma copine entretemps m'avait laissé choir ( pas grave, une de perdue un Cauvin de trouvé ) je me mis à arpenter les bibliothèques - j'adooore ces endroits - à la recherche des Cauvins précédents.  Et, une fois digérés, j'attendis fébrilement chaque année la sortie du Cauvin nouveau. ( Oui, je sais, désolé, mais j'ai pas pu résister.. ).

Vous êtes morose, vous voulez vous fendre la poire ? Alors sans hésitation, lisez E=MC2 mon amour, Monsieur Papa ou Pourquoi pas nous ? - hélas très médiocrement rendu au cinéma :( 

Vous êtes mystique, vous croyez à la réincarnation ? C'est Laura Brahms qu'il vous faut lire. Vous ne connaissez pas Marseille ? Rue des Bons Enfants est encore mieux que le Guide du Routard...

Vous voulez vous évader, oublier votre grisaille quotidienne ? Huit jours en été s'impose. Vous voulez trembler ? La SF vous passionne ? Alors Jardin Fatal ! Je vous jure que vous ne regarderez plus une fleur de la même façon ensuite...

Je pourrais également citer C'était le Pérou, Belles Galères, Menteur, Tout ce que Joseph écrivit cette année-là, Présidente...

J'ai évoqué Huit Jours en été. Lisez-le. Absolument. Il faut avoir lu ce bouquin pour comprendre pourquoi je me suis fait appeler Cicatrice...

 

Rédigé le 13 avril 2005 à 23h58 dans ARCHIVES depuis avril, Culture, ceux que j'aime | Lien permanent | Commentaires (3)

 

 

C'est jeudi, le jour du "premier blog". Cette fois je parlais de mes goûts littéraires (et je constate que j'évoquais Barjavel) avant de parler de mes goûts musicaux : ce sera une note - très maladroite - sur Johnny. Toujours aussi peu de commentaires, et je continuais de penser qu'avant de me livrer, de passer au vif du sujet, il me faudrait être plus lu que ça (je n'avais pas de statistiques sur l'audience). Sinon je note au début une grosse faute de français !!!
Bonne lecture !

 

 

 

07/01/2021

Mon premier blog : La Lozère (avril 2005)

la Lozère, ce département si méconnu...


La Lozère, j'y avais souvent passé des vacances, mais il faut y habiter, comme je l'ai fait pendant plus de onze années, pour vraiment être imprégné de ce si beau département méconnu...

Ce si beau département est souvent cité dans les média comme la parfaite opposition à la Capitale. Quand ces médias veulent évoquer  le plouc et l'endroit où il habite, alors ils citent la Lozère !! Même Bouvard, dont j'apprécie le talent de plume, n'a pas pu s'empêcher de le faire.

Bien évidemment, un Lozérien vous dira que pour rien au monde il ne quitterait son paradis terrestre pour cette ville bruyante et polluée, et un Parisien lui rétorquera qu'il ne sait pas de quoi il parle, Paris étant comme chacun sait la plus belle ville du monde et surtout la plus visitée... Qu'irait-il faire dans ce désert humain ?

Qui a raison ? Qui peut répondre à cette question ? 

Et bien... moi !!  Car j'ai le privilège d'être les deux. Lozérien d'adoption, et Parisien de naissance ( j'y ai vécu les 23 premières années de ma vie ). Donc je pense, sur ce coup-là, être le plus objectif possible. Enfin, je vais essayer.

Bon, on balaie déjà les vieux clichés, qui veulent que la Lozère soit un coin de France où personne n'a jamais mis les pieds. Erreur ! Car la Lozère recèle une multitude de sites touristiques, où FORCEMENT vous êtes passés un jour ou l'autre.

Déjà ... 

LES GORGES DU TARN se situent intégralement dans ce beau département.
ll n'y a pas que les Gorges du Tarn. Il y a aussi les Cévennes, dont le point culminant en Lozère, (à la frontière du Gard mais le sommet proprement dit est en Lozère) est le Mont-Aigoual. 1567 mètres d'altitude, d'où l'on peut certains jours contempler à la fois : la Méditerranée, les Pyrénées, le Puy de Sancy, le Plomb du Cantal, le Mont Blanc, la Barre des Ecrins, et le Mont Ventoux...

 

Pourtant situé à 40 km de Montpellier, le climat du Mont-Aigoual est pire que celui des Iles Kerguelen... Authentique !

Pour les fanas de spéléo, la Lozère est un eldorado. L' AVEN ARMAND, vous connaissez aussi je pense ? En plein coeur de la Lozère aussi ! Moins connues, d'autres grottes dont celle de DARGILAN, appelée, non sans raison "la grotte rose". Pendant longtemps ce fut la seule chose "rose" en Lozère !

 

Mais il n'y a pas que la nature en Lozère. Il y a aussi les hommes, et ce qu'ils ont créé.

Bien entendu la ville de Mende, la préfecture, 13.000 habitants, mais en fait c'est un gros village où tout le monde se connaît, se tutoie, et s'appelle par son prénom.

Le pont que vous pouvez voir est le "pont vieux", qui a près de 700 ans... A propos d'architecture, sans vouloir faire de comparaison osée, les Lozériens ont aussi leur petit Versailles . Le Château de la Baume, près de Marvejols, construit à la même époque que Versailles.

La Lozère est pleine d'autres merveilles, de tous genres, et je les évoquerai dans une prochaine "édition". Je parlerai entre autres du Parc à Loups , de la Bête du Gévaudan ( qui n'était pas un loup d'ailleurs ) de l'ancienne ligne de Chemin de Fer qui reliait Florac au "reste du monde"...

Si le sujet vous intéresse, bien sûr !

Rédigé le 12 avril 2005 à 16h12 dans ARCHIVES depuis avril, Ailleurs, Lien permanent | Commentaires (3)

 

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Putain 16 ans ! Quand je me suis lancé là-dedans je ne pensais pas que, presque septuagénaire, j'y serais encore, quelques 3000 notes plus tard. Je ne change pas la couleur des caractères, ne voulant rien toucher à ces premiers écrits.
On le voit, pour cette seconde note je ne savais pas encore trop quoi dire. J'aurai deux commentaires de politesse, m'encourageant à continuer.
Ce que ferai chaque semaine dans cette nouvelle catégorie si ça vous plaît .