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22/09/2017

petit exploit personnel

Sans le vouloir, j'ai accompli cette nuit un petit exploit !
Hier soir, alors que je prends mes somnifères (j'ai réduit la dose mais j'en prends encore compte tenu du stress engendré par mon ex qui fait traîner le divorce par tous les moyens et veut me tuer financièrement - j'en reparlerai si besoin est) me prend une quinte de toux. Si bien que je les recrache dans le lavabo !
Je les récupère alors pour les réingurgiter, et je me couche.

Certes, en ce moment à Sanary les nuits sont assez tropicales, et je mets ça sur le fait que je mets pas mal de temps à m'endormir.
Sommeil agité, ponctué de rêves abracadabrants (notamment un où - tenez-vous bien ! - je suis avec De Funès et Dany Boon essayant de trouver un hôtel sur la butte Montmartre !! Et je revois encore De Funès demander à un hôtelier :"est-ce que vous prenez les... heu... anciens euros ?"  !! ) Je l'ai déjà écrit voilà une dizaine d'années, je devrais noter les rêves dont je me souviens au réveil, et faire une compil...

Réveil à 6h35 et plus moyen de me rendormir. 

Je me lève donc, prends mon café et vais dans la salle de bains pour prendre une bonne douche, la plus froide possible.

Et là, dans le lavabo, je vois un comprimé de stilnox !!! 
Je fais vite le rapprochement, et en déduis que, cette nuit, je n'ai pris que la moitié de mes somnifères....

Jusqu'à présent, quand j'avais essayé le sevrage, ça avait plus moins échoué. Soit je n'arrivais pas à m'endormir, soit je me réveillais au milieu de la nuit. Or là, de disons minuit à 6h30, c'est quand même pas trop mal !
Le sevrage est donc possible...

Je vous embrasse.

13:31 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (6)

08/07/2017

Généalogie Bretonne

La canicule est revenue sur la France - et donc l'Auvergne, 35 degrés sous abri dans le village où je gîte, et la maison remonte :(  J'arrive à tenir 23 degrés dans la pièce du bas, mais les 25 sont de nouveau dépassés dans la chambre du premier. Heureusement que les nuits sont fraîches (13 degrés la nuit dernière).  

Du coup, je ne bouge pas. Le boucher et le boulanger passent avec leur camionnette, j'ai des réserves pour pouvoir tenir jusqu'à lundi, où les températures redeviendront plus normales.

Alors je fais de la généalogie. Et hier après-midi, une "correspondance" m'en appris pas mal sur mes racines paternelles.

Déjà, mon nom de famille est breton. Ce nom, je l'ai remonté jusqu'en 1635 ! Pas mal, déjà.

Mais des "ramifications" m'amènent bien plus loin.
Je souris en pensant à mes.... (non Cica, pas d'insultes sur un blog qui est public, ça peut coûtes des procès) donc à mes "chers" collègues de Vannes dans les années 1997/2003 qui me reprochaient (sic) de prendre la place d'un breton ! 
Déjà je me pensais en France, unie et indivisible, mais apparemment j'avais franchi une frontière ! En plus le moins s. (non Cica !) de mes collègues, qui partageait cette opinion, est un breton... de la butte Montmartre ! J'en avais discuté avec lui, il était "breton de coeur". 

Pas moi, qui ai quelques menues raisons de ne pas apprécier cette région, mais qui, quand même, peux me targuer d'aligner 23 générations de bretons dans mon arbre, à partir de l'an de grâce 1320....

Je pense que ceux qui précédaient devaient être aussi nés dans le coin, les communications étant assez rustiques au XIVème siècle.

Je me doute que ça ne vous passionnera pas, mais j'aime bien étayer mes dires sur des preuves, et donc voici mon ascendance :

Arbre breton.JPG

J'ai gommé mon nom de famille avec du "blanco". Ernest-Pierre Marie Cica est mon grand-père paternel.

Cependant, si je peux remonter 23 générations en arrière sur cet arbre breton, je n'ai toujours rien concernant les deuxièmes générations :(

- d'une part je ne sais rien de la mère de mon père, Marceline Julie Bonnet, qui aurait été une aventure de mon grand-père, alors mandarin connu à Marseille (professeur d'épidémiologie - ça m'avait servi en 1981 quand j'avais été hospitalisé pour tuberculose à l'hôpital Houphouet-Boigny) mais ayant reconnu mon père.

- plus grave, je ne sais rien non plus de la seconde génération en-dessous ! J'ai appris par internet l'an passé que ma fille était devenue maman, mais j'ignore quand, le sexe et le prénom de l'enfant. Petit-fils ou petite-fille ?
Qui aurait dans les dix-huit mois... J'espère faire sa connaissance avec son mariage ! 

A demain pour le top35 de juillet, qui au moins, ne vous abandonne pas !

Je vous embrasse.

10:58 Publié dans détripage, moi | Lien permanent | Commentaires (2)

06/06/2017

Encore du nouveau dans ma généalogie

Toujours à la recherche de mes ancêtres, je suis tombé, en cherchant l'un d'eux sur Google, sur un site anglais très bien documenté. Et là, en plus de mes branches Carolingiennes, Mérovingiennes, Suisses, j'ai pu remonter jusqu'à 
Alfred le Grand , le premier véritable roi d'Angleterre. Oui, je sais que ce n'est pas un prénom très "royal", mais cet Alfred-là a quand même d'une part repoussé les Vikings, et d'autre part fondé l'université d'Oxford !

Je sais également qu'il est aisé de prétendre à une telle ascendance sans en apporter les preuves, combien se disent descendants de Louis XIV ou Louis XV, comme par exemple Giscard, même si c'est par l'escalier de service ! C'est à dire par le biais de naissances pas très "catholiques".

Aussi vais-je faire comme d'habitude, c'est à dire énoncer les 49 générations qui vont d'Alfred à ma grand-mère maternelle :

gén1.JPG

G2N.JPG

L'inconvénient de cette ascendance illustre est de susciter quelques jalousies mais disons que ça me fait plaisir quelque part de savoir que je suis un cousin de la Reine d'Angleterre !

Je vous embrasse.

17:39 Publié dans histoire, moi | Lien permanent | Commentaires (0)

23/05/2017

Les chansons qui marchaient au fil de mes décennies

C'est Michel Boixière qui m'en a donné l'idée : quels étaient les premiers au hit-parade quand j'avais 10, 20, 30, 40, 50 et 60 ans ?

Mes dix ans : Le 30 janvier 1961, dixit Daniel Lesueur, on avait :

1) Je ne regrette rien, d'Edith Piaf
2) Les fiancés d'Auvergne, d'André Verchuren (c'est vrai qu'on en bouffait du musette, dans ces années-là !)
3) Itsi bitsi petit bikini, de Dalida
4) Verte campagne, des Compagnons de la chanson
5) Les enfants du Pirée, de Mélina Mercouri.

Johnny, avec souvenirs souvenirs, n'était que 13ème. 

Mes vingt ans : le 30 janvier 1971. Là je prends le site de Fabrice Ferment, plus sûr :

1) My sweet Lord, de George Harrison
2) La fleur aux dents de Joe Dassin
3) Essayez, de Johnny Hallyday
4) Noël 70, des Poppys
5) Si douce à mon souvenir, de Claude François

Mes 30 ans : le 30 janvier 1981. Toujours Fabrice Ferment :

1) Woman in love, de Barbra Streisand
2) Si, de Karen Cheryl
3) Couleur menthe à l'eau, d'Eddy Mitchell
4) Mon fils ma bataille, de Daniel Balavoine. 
5) Lui, de Michèle Torr

Mes 40 ans, le 30 janvier 1991. je passe le relais au top50:

1) Sadeness, d'Enigma
2) Il faut laisser le temps au temps, Félix Gray et Didier Barbelivien
3) La petite sirène, par Anne
4) Natal, par Chico et Roberta
5) Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? de Benny B

On voit nettement le changement de musique !

Mes 50 ans, le 30 janvier 2001, toujours le top50:

1) Seul, de Garou
2) Daddy DJ, de Daddy DJ
3) L'alizé, de Alizée
4) Elle te rend dingue, de Nuttea.
5) Love don't cost the thong, de Jennifer Lopez.

Mes 60 ans, le 30 janvier 2011:

De pire en pire !

1) Over the rainbow, par Israel Kamakawiwo'ole (sic)
2) Celui, de Colonel Reyel
3) The time des Black eye peas
4) Loca, par Shakira
5) Sun is up, de Inna

On comprendra aisément pourquoi je m'arrêterai sans doute fin 1989 en ce qui concerne mes hits mensuels. C'était la chute du mur de Berlin, mais aussi la chute d'une certaine musique. En ce sens je ne regrette pas d'être né en 1951, quoique j'aurais encore plus apprécié naître deux ans plus tôt comme feu mon frère. Et, toujours musicalement, je serais mort dans les années 90 que je n'aurais pas perdu grand-chose !

Je sais.... Mes parents parlaient de "musique de sauvages" en écoutant ce que l'on nomme aujourd'hui les "yéyés". Mais du moins, au tournant des années 60, les "classiques" sont restés, comme Henri Salvador, Edith Piaf (jusqu'à sa mort), Yves Montand,  Line Renaud (ma préférée d'elle est cours, cours regarde et vois (1968)
Gilbert Bécaud qui nous charmera encore 40 ans, Philippe Clay, Gloria Lasso (essayez de ne pas verser une larme sur cette chanson de 1973 il était beau mon fils ), Charles Aznavour, Annie Cordy (coucou Hug), Dalida, Jacques Brel, Guy Béart (ma préférée, EN 2009, et DE 1967 couleurs vous êtes des larmes) Sacha Distel et bien d'autres...
Pas mal quand même, par rapport à ceux qui ont surnagé après les années 80. Combien ? La génération de mes parents n'avait pas à se plaindre.

Enfin, en regardant les interprètes, aucun n'est présent deux fois dans ces tops 5.... Tout es dit !

Je vous embrasse.

30/04/2017

TOP 35 DES VENTES DE DISQUES SEPTEMBRE 1979

 

1 12 RING MY BELL Anita Ward   1
2 1 JE L'AIME A MOURIR Francis Cabrel 1  
3 19 I WAS MADE FOR LOVIN YOU Kiss   2
4 28 ALINE Christophe 2  
5 9 LE COEUR GRENADINE Laurent Voulzy 3  
6 22 LE DERNIER SLOW Joe Dassin 4  
7 13 GOODNIGHT TONIGHT Paul Mc Cartney and the Wings   3
8 27 MARYLOU Danyel Gérard 5  
9 3 SHOW ME YOU'RE MAN ENOUGH Karene Cheryl   4
10 2 MONDAY TUESDAY Dalida 6  
11 31 GLORIA Umberto Tozzi   5
12 32 BOOGIE WONDERLAND Earth Wind and Fire   6
13 5 L ETE SERA CHAUD Eric Charden 7  
14 e MAGDALENA Julie (Pietri) 8  
15 10 GOODBYE STRANGER Supertramp   7
16 21 TU AS GAGNE JE TAIME François Valéry 9  
17 8 SENTIMENTALE-MOI Plastic Bertrand 10  
18 20 BLU Angeleri   8
19 e CAPRI C'EST FINI Hervé Vilard 11  
20 e SUNDAY GIRL Blondie   9
21 4 ONE WAY TICKET Eruption   10
22 e GOTTA GO HOME Boney M   11
23 e HEAVEN MUST HAVE SENT YOU Bonnie Pointer   12
24 15 WALKING ON MUSIC Peter Jacques Band   13
25 e BAD GIRLS Donna Summer   14
26 e LA FETE DE JUILLET JUILLET Gérard Lenorman 12  
27 e ROCK ME Cerrone   15
28 e LUCKY NUMBER Lene Lovitch   16
29 6 HONESTY Billy Joel   17
30 14 BACK TO BOOGIE Patrick Hernandez   18
31 e SWISS KISS Patrick Juvet   19
32 7 DANS LA MEME ANNEE / DEBORAH Michel Sardou 13  
33 e OU EST PASSEE MA BOHEME Julio Iglesias 14  
34 e LA FIN DU VOYAGE Johnny Hallyday 15  
35 11 POP MUZIK M   20

Toujours cette domination de titres étrangers, bien que parmi les premières places, la langue française l'emporte. Dans le top 20, 11 français, c'est après que ça se gâte. J'étais donc à Millau (lol) en ce mois de septembre, et j'avais décidé de faire le plus de sport possible pour perdre ces fichus kilos. Un de moins quand même à la fin du mois, j'espérais qu'octobre me fasse revenir dans la décade des 7. Mine de rien, un kilo par mois, ça pouvait faire douze par an, retour à la "normale" envisageable en mai 1981. J'aurais ainsi achevé le septennat avec le même nombre de kilos qu'au début ! Revenons au hit lui-même qui consacre Anita Ward et son disco. Cabrel garde la tête côté frenchies. Le hard-rock se classe sur le podium général, moi j'ai bien aimé cette chanson de Kiss.
Et donc, Aline, seconde vente française ! Et pourquoi pas Capri c'est fini pendant qu'on y est ? Et bien il est là aussi ! le hit caché permet de le découvrir. Et lui arrivera jusqu'au top 4 ! Le succès de ces deux titres anciens est un vrai "dégage" lancé au disco qui continue à envahir les antennes. C'est l'avènement des radios libres en 1981 qui verra le déclin de cette musique formatée, qu'il faudra quand même se bouffer encore 18 mois. 
Voulzy sur le podium français, à l'époque je le voyais plus haut, mais c'est vrai que si Aline se vendait, elle ne passait que très peu sur les ondes. Et bravo pour Joe Dassin, avec une belle 4ème place pour un de ses derniers titres. Lui sera vraiment mort sans avoir connu de traversée du désert. Un cas exceptionnel. Podium étranger pour les Wings, j'appréciais aussi cette musique. Danyel Gérard 5ème, mais ce n'est pas fini pour lui !!! Ni pour Tozzi et son Gloria.
Terminus pour boogie wonderland, et c'est ma foi très bien ! Du reste, dans le hit "visible" de Ferment, les chansons disco ne sont plus que trois... 
Et arrivée de la première de la vague des chanteuses des années 80, Julie. Enfin, toute seule car elle faisait partie de la bande à Basile.  

Le hit "caché" à présent. D'abord les chansons qu'on n'aurait pas vues :
- Tu as gagné je t'aime de François Valéry qui signe une belle 9ème place française. 
- Blu d'Angeleri, terminus au huitième étage.
- Bizarrement Sunday girl de Blondie, dont j'aurais pensé un meilleur classement.
- Heaven must have sent you de Bonnie Pointer.
- Bad girls de Donna Summer, que ma foi je ne connaissais pas. Alors que je connaissais
- la fête de juillet juillet de Gérard Lenorman, top 12, peut-être mieux le mois prochain ?
- Rock me, de Cerrone, on ne peut pas faire supernature tous les ans !
- Lucky number, de Lene Lovitch, connaissais pas non plus.
- Swis Kiss de Patrick Juvet, qui je pense sera quand même dans les 20 premiers en octobre.

Et, pour la première fois, 
- Johnny Hallyday et la fin du voyage.  Au vu des tops hebdos, je pense qu'il sera 16ème en octobre, et qu'il a dû frôler la 10ème place entre les deux tops mensuels. Je suis triste pour Johnny et cette superbe chanson, mais suis flatté, car ma compil m'a permis de le faire apparaître, chose que le top 15 de FF ne permettait pas.

Celles qui vont aller plus loin, peu nombreuses.
- Capri c'est fini, donc. Très bonne année 1979 pour Hervé Vilard.
- Gotta go home des Boney M.
- L'inévitable RRRoulio avec où est passée ma bohême.

A dimanche prochain pour le hit d'octobre.

Je vous embrasse.

17/04/2017

mes chansons préférées année par année de 1955 à 2016 (mise à jour)

Hug excepté (et qui adore notre musique), nous faisons tous plus ou moins partie de la même génération, et j'ai voulu évoquer ici mes chansons préférées - live - année par année. 
Je précise bien live, car il m'arrive d'écouter des chansons après coup, sans les avoir connues à l'époque de leur sortie.
Ainsi, en 2013 j'ai connu heart d'Alone (1987), changer de vie de François Valéry (1991), et Encore de Michel Fugain (2001), que je pense à présent être mes préférées pour ces années-là. Idem Confidentiel de Goldman que je n'avais pas remarquée à sa sortie, mais qui figure depuis plus de 20 ans sur mon podium personnel, de même que mon vieux de Daniel Guichard. Enfin mes tops de 1967 et de 1978 parlent de la même chose.
Je m'appuie sur le livre de Daniel Lesueur, dont certes les classements sont un peu farfelus, mais qui a le mérite de dater les chansons.
Alors on y va :

1955 : Etranger au paradis (Gloria Lasso)
1956 : Chiens perdus sans collier (Jacqueline François)
1957 : Irma la douce (Colette Renard)
1958 : Eden blues (Edith Piaf)
1959 : Tout doux tout doucement (Marcel Amont)

1960 : Je pars (Dalida)
1961 : Le lion est mort ce soir (Henri Salvador)
1962 : Mémère (Michel Simon)
1963 : Pour moi la vie va commencer (Johnny Hallyday)
1964 : Donne donne (Romuald)
1965 : I got you babe (Sonny & Cher)
A partir de là, tout est noté sur des cahiers, que j'ai retrouvés. 
1966 : N'écoute pas ton coeur (Ronnie Bird)

1967 : Mes rêves d'enfant (Monty)
1968 : Eloise (Barry Ryan)
1969 : Love (Wallace Collection)

1970 : Lola (The Kinks)
1971 : Jesus (Jeremy Faith)
1972 : Ciel (Jean-Pierre Savelli)
1973 : Il était beau mon fils (Gloria Lasso)
1974 : M love is love (les Enfants de Dieu)
1975 : Tornero (I santo California)
1976 : Chanson-cri (Georges Moustaki)
1977 : Mon amour ennemi (Guy Bonnardot)
1978 : Un été de porcelaine (Mort Shuman)
1979 : Drivers' seat (Sniff on the tears)

1980 : Y a pas que l'Amérique (Lydia Verkine)
1981 : Bravo tu as gagné (Mireille Mathieu)
1982 : J'ai mal d'aimer (Jairo)
1983 : Au clair d'une femme (William Sailly)
1984 : Pas bien dans sa vie (Michèle Torr)
1985 : Broken wings (Mister Mister)
1986 : Alive and kicking (Tears for fears)
1987 : Anna Vladia (Interface)
1988 : N'importe quoi (Florent Pagny)
1989 : Casser la voix (Patrick Bruel)

1990 : La berceuse du petit diable (Roch Voisine)
1991 : Désenchantée (Mylène Farmer)
1992 : Jamais loin de toi (Patrice Marlone)
1993 : Il me dit que je suis belle (Patricia Kaas)
1994 : Apprendre à vivre sans toi (Renaud Hantson)
1995 : Ne m'oublie pas (Johnny Hallyday)
1996 : Children (Robert Miles)
1997 : Lucie (Pascal Obispo)
1998 : My heart will go on (Céline Dion)

1999 : Tu ne m'as pas laissé le temps (David Hallyday)

2000 : Si tu m'entends (Frédéric Lerner)
2001 : Je m'en contenterai (Isabelle Boulay)
2002 : Je veux que tu saches (Matt Laurent)
2003 : Comateen 1 (Indochine)
2004 : Yalla (Calogéro)
2005 : You got me (Emma Daumas et Eskobar)
2006 : Un ange frappe à ma porte (Natasha St Pier)
2007 : Shining star (Get Far)
2008 : Parle, Hugo parle (la voix de l'enfant)
2009 : Magnificent (U2)

2010 : Nathan (Calogéro)
2011 : The rain (Peter Luts)
2012 : Ca ira mon amour (Rod Janois)
2013 : Si tu me voyais (Grégoire)
2014 : Paris-Seychelles (Julien Doré)
2015 : Homeless (Marina Kaye)
2016 : Hello (Adele)


A après-demain pour le hit-parade

Je vous embrasse.

21/11/2016

on me cache tout on me dit rien

Ca a commencé à ma tendre enfance.
Je me désolais d'être "fils unique" et de ne pas avoir de grands parents.

Deux gros mensonges...

Pour la première chose, pourtant, l'évidence était là : j'étais bel et bien tout seul.
Pour la seconde, côté maternel, j'ai toujours su que mon grand-père était mort en 1949 (et qu'il avait fait très chaud ce jour-là, à tel point qu'on l'aurait enterré dès le lendemain à l'aube) et que ma grand-mère avait tout juste eu le temps de me serrer dans mes bras en avril 1951 avant que la grande faucheuse ne l'emporte quelques semaines plus tard. A trois mois on n'a pas le temps de se forger des souvenirs...

Côté paternel, c'était une famille disons assez... recomposée ! Mon grand-père était un grand professeur de médecine, et il avait semé des enfants aux quatre vents. Des légitimes, des reconnus, des pas reconnus.
Mon père faisait partie de la seconde catégorie.
Mais pas moyen de savoir quoi que ce soit de sa mère. Chez ces gens-là.... comme chantait Jacques Brel !
Il me faudra quand même attendre.... 2004, et le livret de famille de mes parents que mon père avait toujours gardé secret, pour que j'apprenne que ma grand-mère s'appelait Julie Marceline Bonnet, née en 1888. 
Et c'est tout.

Malgré ma passion pour la généalogie, si du côté maternel je pouvais remonter au III ème siècle de notre ère, si du côté du nom de famille j'étais arrivé à 1500, vers Lamballe (22), rien à me mettre sous la dent avec ma grand-mère Julie.

J'ai passé le mois de juillet 1960 à Marseille, mon père m'ayant dit que son père venait d'y mourir.
En fait, il était encore vivant, et je ne saurai que quarante ans plus tard que mon père lui avait rendu visite ! Pour de sombres histoires d'argent, qui feront que la famille "Cicatrice" ne se croisera que peu. La dernière fois que je verrai mon oncle et ma tante, ce sera en 1980, quand à mes cousins germains, ce sera en 1973 !
Voir ma note "la désilusion de Marseille".
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2010/08/07/la-desillusion-de-marseille-1960.html

Privé de voir mon grand-père donc. Ce qui m'aurait fait plaisir, juste avant qu'il meure an an plus tard.

Puis ce fut côté frères et soeurs.

Assez vite, j'entendis parler de mon frère, Patrice, né - et qui serait mort peu après la naissance - en 1949.  Choc énorme pour ma mère, qui avait perdu la même année et son fils et son père. 
Puis, après m'en avoir parlé, mes parents s'enfoncèrent dans le déni. "ton frère ? quel frère ?" me disait ma mère, comme si la méthode coué était la meilleure lors de la perte d'un enfant.

Il faudra, en 2004 encore, que je retrouve un papier rose de la maternité de Port-Royal pour que j'aie enfin la preuve de ce frère, que ma mère avait sorti "sans vie" de son ventre.

Je passerai brièvement sur celle que je pense être ma soeur, car c'est vrai que là je n'ai pas de preuve, juste un gros faisceau d'indices concordants. J'en parle dans une note :
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2010/08/19/marite-ma-soeur-volee-1963.html

Déjà ça fait beaucoup !

Mais apparemment ça ne suffisait pas, car cette fois c'est ma descendance qu'on me cache !
Je viens d'apprendre récemment que ma fille avait eu un enfant.

Ma fille qui ne me parle plus depuis trois ans, depuis que j'ai commis l'infamie de quitter sa mère qui me faisait crever à petit feu. Là encore lire mon blog entre 2010 et 2012 ! 
Et qui m'aurait donc caché le fait que je sois devenu grand-père.
Garçon ou fille ? Je ne le sais même pas.

Ils (elle n'est pas seule en cause) m'ont confisqué le droit de connaître mon petit-enfant au début de sa vie, durant la période la plus merveilleuse. 
Qu'ai-je fait pour mériter ça ? D'avoir voulu sauver ma vie ? Et quand bien même, je serais un de ces maris qui quittent leur femme sans raison, au bout de deux ans et demie, les tensions devraient être encore si fortes qu'on puisse cacher à un père qu'il est grand-père pour la première fois de sa vie ?

Pas mes oignons... Déjà entendu quelque part, ça !
Ni quand, en 1985, elle rechutera avec des crises de "grand mal" au début quotidiennes, que je devrai gérer pendant 27 ans, jusqu'en 2012, date de sa nouvelle stabilisation.

Non, je n'ai pas quitté une femme malade.
Oui, MOI je peux me regarder dans une glace. Même si dans le cadre du divorce on invente des pièces, on me fait passer pour un coureur obsédé sexuel mari infâme et père indigne.
Oui je peux me regarder dans une glace.

Je ne sais pas si c'est le cas de ceux qui privent un grand-père de son seul petit-enfant...

Je vous embrasse.

15:29 Publié dans détripage, moi | Lien permanent | Commentaires (8)

15/11/2016

Enfin une réponse....

à la question que je posais dans mon blog le 3 novembre 2012.

Cette réponse, c'est OUI.

Je vous embrasse

17:32 Publié dans détripage, moi | Lien permanent | Commentaires (2)

30/08/2016

génaalogie : du nouveau !

Après avoir découvert par le site Geneanet que j'étais (l'un des centaines de milliers) descendant de Charlemagne, Dagobert, Charles Martel, Clovis, et même des rois d'Angleterre vers le XIème siècle, j'ai appris cet après-midi que j'étais aussi d'origine...  Suisse ! Mais toujours au moyen-âge..

Et je le prouve :Capture.JPG

Lequel Victor Achille Pofilet, né à Anteuil (25), n'est autre que mon arrière-grand-père, côté maternel !

Je vous embrasse.

17:41 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (4)

24/08/2016

ma victoire contre deux médicaments

Cet été j'ai réussi à gagner la bataille contre deux médicaments.

1) TEMESTA

Voilà ce que j'écrivais voilà 5 ans, sur ce même blog :

témesta.JPG

Je ne vous ai jamais "tenu au courant" car à partir de cette note de décembre 2011, ma vie a été ainsi faite que je n'ai jamais pu vraiment tenir ce cap. 
On en est donc à deux comprimés jaunes à cette date. Effectivement, je vais commencer à baisser, mais vraiment, la vie que me fera mener mon ex-épouse ne me facilitera pas la tâche ! 
Je passerai sur les détails (que vous pouvez lire live sur mon blog - je n'ai pas enlevé les notes) mais toujours est-il qu'à l'orée du printemps je suis revenu aux fameux deux comprimés.
Là, conjonction avec le "virtuel" (un de mes amis s'est suicidé devant son PC), et le "réel",  à l'été je passe à 3 comprimés.  Car cet été sera bien agité pour moi. Déjà le 14 août à l'issue d'une énième scène de ménage me vient une hémorragie nasale costaud, durant laquelle non seulement mon ex n'appellera aucun secours (c'est une voisine, présente sur les lieux, qui le fera) mais elle me reprochera, alors que je me vide de mon sang, de.... salir son carrelage !
Pire : alors qu'après la fin de l'hémorragie l'hôpital de Pontarlier me jettera dans la rue (un conseil, je vous en prie, évitez A TOUT PRIX cet établissement !) ma chère ex refusera de venir me chercher en voiture. Alors qu'elle m'avait enlevé ma carte bleue et mon portable !!! Je réussirai néanmoins à m'en sortir, Dieu veillait sur moi.
Comme si cela n'avait pas encore été assez, le lendemain, elle.... fait sa valise et part de la maison.
C'EST FINI, FI-NI, me lancera-t'elle devant les voisins médusés qui assistaient au spectacle. JE FOUS L'CAMP !! 
C'est vrai que depuis pas mal d'années elle me reprochait de f... sa vie en l'air, de m'éloigner de notre fille et de vivre dans un "trou".
Quand, une quinzaine de mois plus tard j'exaucerai enfin son voeu, en quittant tout muni d'une valisette et d'un sac à dos, non seulement elle ne sera pas satisfaite mais dès lors commencera à empoisonner ma vie.
Aux dernière nouvelles ça continue !

Mais bon, revenons-en au témesta. Le 16 août, épuisé, j'entre à l'hôpital d'Ornans (pas question de Pontarlier) qui me maintient à 3 comprimés jaunes. Sur le rapport envoyé à mon médecin traitant, je verrai la cause de mon hospitalisation : "burn-out à domicile"....

A partir de là je vais rester dans ma cave aménagée, n'osant plus affronter ma "terreur domestique".  Ma cave reliée à Internet. Où, tout comme 9 ans auparavant, je vais parler à des personnes qui me comprennent. Et qui m'aident.  Qui me disent, tout comme mon médecin traitant, M. Jardin, "de partir pendant qu'il en est temps".

2013 sera l'année décisive. Plus les mois vont passer, plus je serai espionné par mon ex, qui, un soir de novembre, viendra dans ma cave me demander (à 23h) "la recette de la choucroute" !!!

Après une semaine d'hôpital, où j'aurai le loisir de réfléchir, je quitte ma maison, avec comme je l'ai dit une valisette et un sac à dos.  
Et toujours mes trois comprimés jaunes.

Cap sur Toulon, ma ville-fétiche, où je commence à me refaire une santé. Et je repasse à deux comprimés et demie.
Mais très vite, je vais recevoir l'assaut de SMS, d'appels répondeur, et même de calomnies sur mon blog, le 22 février, d'un gendre qui jusq'à présent ne m'avait jamais calculé....
Qui me dit que "belle-maman", qui pourtant désirait ardemment que je la quitte, partir du "trou" où elle était et rejoindre notre fille, alors que (peut-être brutalement) j'avais accédé à ses désirs, n'était plus que larmes et cris...????
Et qui évidemment m'insulte copieusement : "tant de lâcheté dans un si petit homme"..
Il me semble, à moi, que la lâcheté aurait été de rester !
C'est toujours sur mon blog, du reste, je n'ai pas enlevé ces saloperies. 

Bref, toujours trois comprimés, alors que Madame, en mai, se décide à demander le divorce. On a dû lui dire qu'au final c'était rentable...

Mon avocat, après la première conciliation à Besançon en septembre, me dira n'avoir jamais vu autant de haine dans un cas similaire...

Puis, au cours de l'hiver 2014/2015, les choses se tassent, et j'arrive à retrouver mes deux comprimés.

Nouvelle conciliation à Toulon en avril 2015, qui se passe très mal, de nouveau trois comprimés :(

A partir de mai 2015, même si je suis contraint à verser une "prestation de secours" à mon ex ( qui a déjà empoché 110.000 euros de la vente de notre maison et qui touche 1050 euros de l'état) je deviens de plus en plus serein, et passe à deux comprimés et demie à l'été.

Puis reviens à ma "dose 2011", deux comprimés à la Noël.

Au mois de février un et demie.
Mais le 24 mars, la mort de mon cousin germain qui était un peu mon grand frère me fait rester à deux.

Redescente avec un et demie fin mai.

Et depuis début août, me voilà à un seul .   Certaines "nouvelles" apprises depuis auraient pu m'inciter à ré-augmenter mais j'ai tenu bon.  Considérant que moi, au moins, je peux me regarder dans une glace...


2) KENACORT RETARD

Piqûre de très faible dose de cortisone destinée à calmer mon allergie au pollen de graminées. Je la prends depuis 41 ans, prescrite à l'époque... par un allergologue !

Depuis une vingtaine d'années, les jeunes médecins, ayant d'un côté la phobie de la cortisone sous toutes ses formes, et de l'autre certains avantages par les labos à prescrire de médocs qui certes font effet mais aussi qui abrutissent (Théralène, Singular, Aérius) sont très rétifs à me prescrire cette piqûre.
Ma pauvre maman en prenait jusqu'à 4 chaque été mais elle n'est pas morte de cela ! 

Bref, à chaque changement de lieu d'habitation, il m'est de plus en plus difficile de trouver un toubib de moins de 60 ans qui prescrive cela.  Les deux dernières années, aidé par le climat maritime de Toulon, j'ai pu m'en sortir avec une seule piqûre.
Mais cet hiver le diagnostic est tombé : je suis diabétique. Et donc la cortisone c'est fini.

Alors, à partir du mois d'avril, j'ai lutté contre cette allergie, qui cette année était encore plus méchante. Mes yeux ont piqué de plus en plus, puis larmoyé, la rhinite est venue, un début de toux, mais je tenais, je tenais.
Et puis la météo m'a aidé.
Pas ma boîte, mais le temps qu'il a fait. Grosse sécheresse qui a grillé sur pied ces saloperies de graminées, et là, je peux dire que j'ai passé le cap.

L'an prochain, mon diabète sera "stabilisé", et je connais un vieux toubib près du Garlaban qui pourra à nouveau me prescrire la piqûre magique !

Je vous embrasse.