17/04/2017
mes chansons préférées année par année de 1955 à 2016 (mise à jour)
Hug excepté (et qui adore notre musique), nous faisons tous plus ou moins partie de la même génération, et j'ai voulu évoquer ici mes chansons préférées - live - année par année.
Je précise bien live, car il m'arrive d'écouter des chansons après coup, sans les avoir connues à l'époque de leur sortie.
Ainsi, en 2013 j'ai connu heart d'Alone (1987), changer de vie de François Valéry (1991), et Encore de Michel Fugain (2001), que je pense à présent être mes préférées pour ces années-là. Idem Confidentiel de Goldman que je n'avais pas remarquée à sa sortie, mais qui figure depuis plus de 20 ans sur mon podium personnel, de même que mon vieux de Daniel Guichard. Enfin mes tops de 1967 et de 1978 parlent de la même chose.
Je m'appuie sur le livre de Daniel Lesueur, dont certes les classements sont un peu farfelus, mais qui a le mérite de dater les chansons.
Alors on y va :
1955 : Etranger au paradis (Gloria Lasso)
1956 : Chiens perdus sans collier (Jacqueline François)
1957 : Irma la douce (Colette Renard)
1958 : Eden blues (Edith Piaf)
1959 : Tout doux tout doucement (Marcel Amont)
1960 : Je pars (Dalida)
1961 : Le lion est mort ce soir (Henri Salvador)
1962 : Mémère (Michel Simon)
1963 : Pour moi la vie va commencer (Johnny Hallyday)
1964 : Donne donne (Romuald)
1965 : I got you babe (Sonny & Cher)
A partir de là, tout est noté sur des cahiers, que j'ai retrouvés.
1966 : N'écoute pas ton coeur (Ronnie Bird)
1967 : Avant le jazz (les Sunlights)
1968 : Eloise (Barry Ryan)
1969 : Love (Wallace Collection)
1970 : Lola (The Kinks)
1971 : Jesus (Jeremy Faith)
1972 : Ciel (Jean-Pierre Savelli)
1973 : Il était beau mon fils (Gloria Lasso)
1974 : M love is love (les Enfants de Dieu)
1975 : Tornero (I santo California)
1976 : Chanson-cri (Georges Moustaki)
1977 : Mon amour ennemi (Guy Bonnardot)
1978 : Un été de porcelaine (Mort Shuman)
1979 : Drivers' seat (Sniff on the tears)
1980 : Y a pas que l'Amérique (Lydia Verkine)
1981 : Bravo tu as gagné (Mireille Mathieu)
1982 : J'ai mal d'aimer (Jairo)
1983 : Au clair d'une femme (William Sailly)
1984 : Pas bien dans sa vie (Michèle Torr)
1985 : Broken wings (Mister Mister)
1986 : Alive and kicking (Tears for fears)
1987 : Anna Vladia (Interface)
1988 : N'importe quoi (Florent Pagny)
1989 : Casser la voix (Patrick Bruel)
1990 : La berceuse du petit diable (Roch Voisine)
1991 : Désenchantée (Mylène Farmer)
1992 : Jamais loin de toi (Patrice Marlone)
1993 : Il me dit que je suis belle (Patricia Kaas)
1994 : Apprendre à vivre sans toi (Renaud Hantson)
1995 : Ne m'oublie pas (Johnny Hallyday)
1996 : Children (Robert Miles)
1997 : Lucie (Pascal Obispo)
1998 : My heart will go on (Céline Dion)
1999 : Tu ne m'as pas laissé le temps (David Hallyday)
2000 : Si tu m'entends (Frédéric Lerner)
2001 : Je m'en contenterai (Isabelle Boulay)
2002 : Je veux que tu saches (Matt Laurent)
2003 : Comateen 1 (Indochine)
2004 : Yalla (Calogéro)
2005 : You got me (Emma Daumas et Eskobar)
2006 : Un ange frappe à ma porte (Natasha St Pier)
2007 : Shining star (Get Far)
2008 : Parle, Hugo parle (la voix de l'enfant)
2009 : Magnificent (U2)
2010 : Nathan (Calogéro)
2011 : The rain (Peter Luts)
2012 : Ca ira mon amour (Rod Janois)
2013 : Si tu me voyais (Grégoire)
2014 : Paris-Seychelles (Julien Doré)
2015 : Homeless (Marina Kaye)
2016 : Hello (Adele)
A après-demain pour le hit-parade
Je vous embrasse.
18:45 Publié dans Cica-chansons, moi, Musique | Lien permanent | Commentaires (28)
21/11/2016
on me cache tout on me dit rien
Ca a commencé à ma tendre enfance.
Je me désolais d'être "fils unique" et de ne pas avoir de grands parents.
Deux gros mensonges...
Pour la première chose, pourtant, l'évidence était là : j'étais bel et bien tout seul.
Pour la seconde, côté maternel, j'ai toujours su que mon grand-père était mort en 1949 (et qu'il avait fait très chaud ce jour-là, à tel point qu'on l'aurait enterré dès le lendemain à l'aube) et que ma grand-mère avait tout juste eu le temps de me serrer dans mes bras en avril 1951 avant que la grande faucheuse ne l'emporte quelques semaines plus tard. A trois mois on n'a pas le temps de se forger des souvenirs...
Côté paternel, c'était une famille disons assez... recomposée ! Mon grand-père était un grand professeur de médecine, et il avait semé des enfants aux quatre vents. Des légitimes, des reconnus, des pas reconnus.
Mon père faisait partie de la seconde catégorie.
Mais pas moyen de savoir quoi que ce soit de sa mère. Chez ces gens-là.... comme chantait Jacques Brel !
Il me faudra quand même attendre.... 2004, et le livret de famille de mes parents que mon père avait toujours gardé secret, pour que j'apprenne que ma grand-mère s'appelait Julie Marceline Bonnet, née en 1888.
Et c'est tout.
Malgré ma passion pour la généalogie, si du côté maternel je pouvais remonter au III ème siècle de notre ère, si du côté du nom de famille j'étais arrivé à 1500, vers Lamballe (22), rien à me mettre sous la dent avec ma grand-mère Julie.
J'ai passé le mois de juillet 1960 à Marseille, mon père m'ayant dit que son père venait d'y mourir.
En fait, il était encore vivant, et je ne saurai que quarante ans plus tard que mon père lui avait rendu visite ! Pour de sombres histoires d'argent, qui feront que la famille "Cicatrice" ne se croisera que peu. La dernière fois que je verrai mon oncle et ma tante, ce sera en 1980, quand à mes cousins germains, ce sera en 1973 !
Voir ma note "la désilusion de Marseille".
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2010/08/07/la-desillusion-de-marseille-1960.html
Privé de voir mon grand-père donc. Ce qui m'aurait fait plaisir, juste avant qu'il meure an an plus tard.
Puis ce fut côté frères et soeurs.
Assez vite, j'entendis parler de mon frère, Patrice, né - et qui serait mort peu après la naissance - en 1949. Choc énorme pour ma mère, qui avait perdu la même année et son fils et son père.
Puis, après m'en avoir parlé, mes parents s'enfoncèrent dans le déni. "ton frère ? quel frère ?" me disait ma mère, comme si la méthode coué était la meilleure lors de la perte d'un enfant.
Il faudra, en 2004 encore, que je retrouve un papier rose de la maternité de Port-Royal pour que j'aie enfin la preuve de ce frère, que ma mère avait sorti "sans vie" de son ventre.
Je passerai brièvement sur celle que je pense être ma soeur, car c'est vrai que là je n'ai pas de preuve, juste un gros faisceau d'indices concordants. J'en parle dans une note :
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2010/08/19/marite-ma-soeur-volee-1963.html
Déjà ça fait beaucoup !
Mais apparemment ça ne suffisait pas, car cette fois c'est ma descendance qu'on me cache !
Je viens d'apprendre récemment que ma fille avait eu un enfant.
Ma fille qui ne me parle plus depuis trois ans, depuis que j'ai commis l'infamie de quitter sa mère qui me faisait crever à petit feu. Là encore lire mon blog entre 2010 et 2012 !
Et qui m'aurait donc caché le fait que je sois devenu grand-père.
Garçon ou fille ? Je ne le sais même pas.
Ils (elle n'est pas seule en cause) m'ont confisqué le droit de connaître mon petit-enfant au début de sa vie, durant la période la plus merveilleuse.
Qu'ai-je fait pour mériter ça ? D'avoir voulu sauver ma vie ? Et quand bien même, je serais un de ces maris qui quittent leur femme sans raison, au bout de deux ans et demie, les tensions devraient être encore si fortes qu'on puisse cacher à un père qu'il est grand-père pour la première fois de sa vie ?
Pas mes oignons... Déjà entendu quelque part, ça !
Ni quand, en 1985, elle rechutera avec des crises de "grand mal" au début quotidiennes, que je devrai gérer pendant 27 ans, jusqu'en 2012, date de sa nouvelle stabilisation.
Non, je n'ai pas quitté une femme malade.
Oui, MOI je peux me regarder dans une glace. Même si dans le cadre du divorce on invente des pièces, on me fait passer pour un coureur obsédé sexuel mari infâme et père indigne.
Oui je peux me regarder dans une glace.
Je ne sais pas si c'est le cas de ceux qui privent un grand-père de son seul petit-enfant...
Je vous embrasse.
15:29 Publié dans détripage, moi | Lien permanent | Commentaires (8)
15/11/2016
Enfin une réponse....
à la question que je posais dans mon blog le 3 novembre 2012.
Cette réponse, c'est OUI.
Je vous embrasse
17:32 Publié dans détripage, moi | Lien permanent | Commentaires (2)
30/08/2016
génaalogie : du nouveau !
Après avoir découvert par le site Geneanet que j'étais (l'un des centaines de milliers) descendant de Charlemagne, Dagobert, Charles Martel, Clovis, et même des rois d'Angleterre vers le XIème siècle, j'ai appris cet après-midi que j'étais aussi d'origine... Suisse ! Mais toujours au moyen-âge..
Et je le prouve :
Lequel Victor Achille Pofilet, né à Anteuil (25), n'est autre que mon arrière-grand-père, côté maternel !
Je vous embrasse.
17:41 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (4)
24/08/2016
ma victoire contre deux médicaments
Cet été j'ai réussi à gagner la bataille contre deux médicaments.
1) TEMESTA
Voilà ce que j'écrivais voilà 5 ans, sur ce même blog :
Je ne vous ai jamais "tenu au courant" car à partir de cette note de décembre 2011, ma vie a été ainsi faite que je n'ai jamais pu vraiment tenir ce cap.
On en est donc à deux comprimés jaunes à cette date. Effectivement, je vais commencer à baisser, mais vraiment, la vie que me fera mener mon ex-épouse ne me facilitera pas la tâche !
Je passerai sur les détails (que vous pouvez lire live sur mon blog - je n'ai pas enlevé les notes) mais toujours est-il qu'à l'orée du printemps je suis revenu aux fameux deux comprimés.
Là, conjonction avec le "virtuel" (un de mes amis s'est suicidé devant son PC), et le "réel", à l'été je passe à 3 comprimés. Car cet été sera bien agité pour moi. Déjà le 14 août à l'issue d'une énième scène de ménage me vient une hémorragie nasale costaud, durant laquelle non seulement mon ex n'appellera aucun secours (c'est une voisine, présente sur les lieux, qui le fera) mais elle me reprochera, alors que je me vide de mon sang, de.... salir son carrelage !
Pire : alors qu'après la fin de l'hémorragie l'hôpital de Pontarlier me jettera dans la rue (un conseil, je vous en prie, évitez A TOUT PRIX cet établissement !) ma chère ex refusera de venir me chercher en voiture. Alors qu'elle m'avait enlevé ma carte bleue et mon portable !!! Je réussirai néanmoins à m'en sortir, Dieu veillait sur moi.
Comme si cela n'avait pas encore été assez, le lendemain, elle.... fait sa valise et part de la maison.
C'EST FINI, FI-NI, me lancera-t'elle devant les voisins médusés qui assistaient au spectacle. JE FOUS L'CAMP !!
C'est vrai que depuis pas mal d'années elle me reprochait de f... sa vie en l'air, de m'éloigner de notre fille et de vivre dans un "trou".
Quand, une quinzaine de mois plus tard j'exaucerai enfin son voeu, en quittant tout muni d'une valisette et d'un sac à dos, non seulement elle ne sera pas satisfaite mais dès lors commencera à empoisonner ma vie.
Aux dernière nouvelles ça continue !
Mais bon, revenons-en au témesta. Le 16 août, épuisé, j'entre à l'hôpital d'Ornans (pas question de Pontarlier) qui me maintient à 3 comprimés jaunes. Sur le rapport envoyé à mon médecin traitant, je verrai la cause de mon hospitalisation : "burn-out à domicile"....
A partir de là je vais rester dans ma cave aménagée, n'osant plus affronter ma "terreur domestique". Ma cave reliée à Internet. Où, tout comme 9 ans auparavant, je vais parler à des personnes qui me comprennent. Et qui m'aident. Qui me disent, tout comme mon médecin traitant, M. Jardin, "de partir pendant qu'il en est temps".
2013 sera l'année décisive. Plus les mois vont passer, plus je serai espionné par mon ex, qui, un soir de novembre, viendra dans ma cave me demander (à 23h) "la recette de la choucroute" !!!
Après une semaine d'hôpital, où j'aurai le loisir de réfléchir, je quitte ma maison, avec comme je l'ai dit une valisette et un sac à dos.
Et toujours mes trois comprimés jaunes.
Cap sur Toulon, ma ville-fétiche, où je commence à me refaire une santé. Et je repasse à deux comprimés et demie.
Mais très vite, je vais recevoir l'assaut de SMS, d'appels répondeur, et même de calomnies sur mon blog, le 22 février, d'un gendre qui jusq'à présent ne m'avait jamais calculé....
Qui me dit que "belle-maman", qui pourtant désirait ardemment que je la quitte, partir du "trou" où elle était et rejoindre notre fille, alors que (peut-être brutalement) j'avais accédé à ses désirs, n'était plus que larmes et cris...????
Et qui évidemment m'insulte copieusement : "tant de lâcheté dans un si petit homme"..
Il me semble, à moi, que la lâcheté aurait été de rester !
C'est toujours sur mon blog, du reste, je n'ai pas enlevé ces saloperies.
Bref, toujours trois comprimés, alors que Madame, en mai, se décide à demander le divorce. On a dû lui dire qu'au final c'était rentable...
Mon avocat, après la première conciliation à Besançon en septembre, me dira n'avoir jamais vu autant de haine dans un cas similaire...
Puis, au cours de l'hiver 2014/2015, les choses se tassent, et j'arrive à retrouver mes deux comprimés.
Nouvelle conciliation à Toulon en avril 2015, qui se passe très mal, de nouveau trois comprimés :(
A partir de mai 2015, même si je suis contraint à verser une "prestation de secours" à mon ex ( qui a déjà empoché 110.000 euros de la vente de notre maison et qui touche 1050 euros de l'état) je deviens de plus en plus serein, et passe à deux comprimés et demie à l'été.
Puis reviens à ma "dose 2011", deux comprimés à la Noël.
Au mois de février un et demie.
Mais le 24 mars, la mort de mon cousin germain qui était un peu mon grand frère me fait rester à deux.
Redescente avec un et demie fin mai.
Et depuis début août, me voilà à un seul . Certaines "nouvelles" apprises depuis auraient pu m'inciter à ré-augmenter mais j'ai tenu bon. Considérant que moi, au moins, je peux me regarder dans une glace...
2) KENACORT RETARD
Piqûre de très faible dose de cortisone destinée à calmer mon allergie au pollen de graminées. Je la prends depuis 41 ans, prescrite à l'époque... par un allergologue !
Depuis une vingtaine d'années, les jeunes médecins, ayant d'un côté la phobie de la cortisone sous toutes ses formes, et de l'autre certains avantages par les labos à prescrire de médocs qui certes font effet mais aussi qui abrutissent (Théralène, Singular, Aérius) sont très rétifs à me prescrire cette piqûre.
Ma pauvre maman en prenait jusqu'à 4 chaque été mais elle n'est pas morte de cela !
Bref, à chaque changement de lieu d'habitation, il m'est de plus en plus difficile de trouver un toubib de moins de 60 ans qui prescrive cela. Les deux dernières années, aidé par le climat maritime de Toulon, j'ai pu m'en sortir avec une seule piqûre.
Mais cet hiver le diagnostic est tombé : je suis diabétique. Et donc la cortisone c'est fini.
Alors, à partir du mois d'avril, j'ai lutté contre cette allergie, qui cette année était encore plus méchante. Mes yeux ont piqué de plus en plus, puis larmoyé, la rhinite est venue, un début de toux, mais je tenais, je tenais.
Et puis la météo m'a aidé.
Pas ma boîte, mais le temps qu'il a fait. Grosse sécheresse qui a grillé sur pied ces saloperies de graminées, et là, je peux dire que j'ai passé le cap.
L'an prochain, mon diabète sera "stabilisé", et je connais un vieux toubib près du Garlaban qui pourra à nouveau me prescrire la piqûre magique !
Je vous embrasse.
15:17 Publié dans détripage, moi, non politiquement correct | Lien permanent | Commentaires (11)
26/07/2016
HIT PARADE SALUT LES COPAINS DU 15 JUILLET 1976
Bonjour
Boixière évoque le top 20 de top France, je livre ici le top 30 du même site, fait avec compilation des tops hebdos :
JUILLET 1976 | ||
1 | 9 | DERRIERE L AMOUR |
2 | 1 | JE VAIS T AIMER |
3 | 10 | RADIO ACTIVITY |
4 | 17 | PATRICK MON CHERI |
5 | 14 | YOU KNOW I LOVE YOU |
6 | 2 | LA CEGAL E LA FORMI |
7 | 33 | IL ETAIT UNE FOIS NOUS DEUX |
8 | 3 | T AIMER ENCORE UNE FOIS |
9 | e | GENTIL DAUPHIN TRISTE |
10 | 4 | LA DECISION |
11 | e | PORQUE TE VAS |
12 | 28 | PAS DE WOOGIE BOOGIE |
13 | e | WHO S THAT LADY WITH MY MAN |
14 | 5 | PAPA TANGO CHARLY |
15 | e | CETTE ANNEE LA |
16 | e | MY SWEET ROSALIE |
17 | 8 | L AMOUR C EST COMME LES BATEAUX |
18 | 16 | RIGHT BACK WE RE YOU STARTING FROM |
19 | 27 | 1 2 3 4 FIRE |
20 | e | IT S SO LONG |
21 | 20 | SI TU TE SOUVIENS |
22 | e | FANNY FANNY |
23 | 6 | BESAME MUCHO |
24 | e | DANS UN VIEUX ROCK N ROLL |
25 | 22 | SI TU ME LOUPES |
26 | e | EMMA |
27 | e | WE DON T NEED THE MONEY |
28 | e | SLOW MOI |
29 | e | TU ME FAIS PLANER |
30 | e | SANDOKAN |
C'est ce que je compte faire à partir de septembre, quand il n'y aura plus de hit SLC.
Je vous embrasse
17:51 Publié dans Cica-chansons, Hit-parades SLC, moi | Lien permanent | Commentaires (33)
03/07/2016
(dernier) HIT-PARADE SALUT LES COPAINS DE AVRIL 1976
Et voilà ! Le dernier hit-parade de SLC....
"saga" entamée le 15 avril 2012, dans une autre vie pour moi, j'avais décidé au départ de les rendre mensuels alternés avec mes autres notes, qui faisaient alors la majorité de mon blog, où je racontais ma vie.
A l'automne 2013, réalisant que c'était bien beau de raconter une vie à la Patrick Cauvin, faite d'épisodes merveilleux, mais finalement tous inachevés, j'ai alors décidé qu'il était nettement mieux de vivre ses rêves que de vivre sa vie, et j'en ai alors tiré les conséquences. Le "Robert" de "Robert et Murielle" que vous pourrez rencontrer entre 2013 et 2014 dans ce blog, c'est moi. Et au risque de décevoir certains esprits chagrins et un tantinet schizos, en revanche Murielle ce n'est pas moi !
Bref, pour en revenir au sujet qui nous occupe, à partir de là j'ai décidé :
- de ne plus écrire de notes "intimes", ne voulant pas prêter le flanc à de basses attaques.
- de ne publier que des notes "musicales", avec un hit SLC hebdomadaire.
Dont voilà le dernier.
J'aime bien finir tout ce que j'entreprends...
Hit qui voit donc un beau tiercé, Johnny-Ringo-Guichard. L'arrivée du printemps, celui de Michel Fugain. Une Sheila en pleine forme qui sort son troisième tube disco, le prince en exil.
En ce qui concerne Frédéric François, la face A étant intitulée baby dollar, SLC classe donc baby dollar, alors que c'est jolie milady en face B qui cartonne !
Catherine Ferry rate de peu l'Eurovision, et sa chanson "formatée pour" pour arrive 21ème.
Yves Jouffroy nous avait fait pleurer avec son histoire vécue, mais "le retour" ne marche pas !
Je vous épargnerai le calembour sur la chanson "super" du regretté Charden !
Enfin Manset de nouveau classé à SLC, avec une chanson peu connue.
Je laisse les pros commenter le hit étranger.
Je vous embrasse.
18:04 Publié dans Cica-chansons, détripage, moi, Musique | Lien permanent | Commentaires (30)
15/06/2016
Pas de hit avant mardi prochain !
Je pars pour un trrrrès long week-end de 5 jours, et je ne serai pas de retour avant mardi soir, assez tard. Je ne pourrai donc vous livrer le hit que mercredi ! J'espère que vous me pardonnerez !
A bientôt
Pat
19:36 Publié dans Cica-chansons, Hit-parades SLC, moi, Musique | Lien permanent | Commentaires (15)
31/01/2016
HIT PARADE SALUT LES COPAINS DU 15 JUIN 1974
Enfin Guichard à la première place.
Je dois dire que j'ai eu 4 attitudes avec cette chanson. Au début je n'adhérais pas, trop "zola". Et moi sans doute pas assez mûr. En 1974 je n'avais que 23 ans...
Puis après j'ai été papa, et ayant été un père absent pour cause de maladie pendant presque 10 ans, je commençais de plus en plus à comprendre ce que voulait dire le chanteur.
3ème phase, à la mort de mon père en 2006, j'ai réalisé qu'en fait il avait raison, "je suis passé à côté de lui sans le regarder". Mais c'était trop tard. A qui la faute ?
Puis est arrivée la 4ème phase, la plus terrible car les rôles se sont inversés, et le père c'est moi. Qui s'il est choyé et dans les meilleures mains possibles, sait aussi qu'il est de moins en moins éternel - c'est d'ailleurs pour ça que j'ai publié les hits toutes les semaines au lieu de tous les mois, je ne me voyais vraiment pas tenir ce blog jusqu'en 2025 et ma fille unique - que je n'ai plus vue depuis trois ans - doit bien, elle aussi, avoir un calendrier à sa disposition...
Parenthèse fermée. On reprend !
Roméo second, on pourrait croire à un quelconque copinage de SLC. Point du tout ! Le mois d'avant, Roméo était bien numéro deux des ventes derrière Daniel Guichard (et le fameux titi, buzz qui ne durera que quelques mois).
Le plus grand tube de C.Jerôme arrive en 3ème position. Il sera bien sûr numéro un (pas tout de suite) mais restera 14 semaines sur le podium de SLC. Qui, saluons-le pour une fois, avait anticipé le succès de la chanson. Une belle 5ème place - méritée- pour Santiana, je me répète mais dommage que SLC ait zappé la suivante, petite femme.
Sinon, amusant de voir Sheila et Ringo se parler par chansons interposées. Après le couple, lui répond par accepte-moi !
Irène est devenue sirène, chantée par Marc Charlan. Titre qui restera classé jusqu'en octobre. Bien sûr pas question de classer c'car de Stains, on ne touchait pas au président de la république à Europe 1 !
Je pense à toi de Delpech seulement 13ème... Difficile de refaire un tube après les divorcés.
"la machine" Stone/Charden commence à se gripper. Et - du moins pour ceux qui n'aiment pas qu'on chante faux - c'est tant mieux !
Le sait-on ? Françoise Hardy ne vendait que peu de disques à cette époque. Après message personnel, je suis moi ne se vendra pas beaucoup non plus.
Pour les "étrangers", et pour répondre à Frédéric, la chanson qu'on entendait le plus en ce printemps était the most beautiful girl ; SLC ne la mettra pas plus haut qu'en 5ème
position !
Et le disco commence à se faire de plus en plus présent, TSOP se classant 8ème. A l'époque, on ne savait pas comment nommer ce nouveau
son !
Voilà pour ce hit de juin, à la semaine prochaine pour juillet, mois de mon premier mariage !
Je vous embrasse.
22:50 Publié dans Cica-chansons, détripage, moi, Musique | Lien permanent | Commentaires (25)
10/01/2016
HIT PARADE SALUT LES COPAINS DU 15 MARS 1974
Je vous demande pardon d'avoir "zappé" le hit la semaine dernière, mais la mort de Delpech a occulté chez moi tout le reste. J'ai préféré lui consacrer une note, la plus exhaustive possible.
C'est Ringo nouvelle manière qui tient le haut du pavé, ceux qui disaient qu'il n'a épousé Sheila que pour faire un "coup" en sont pour leurs frais. C'est un mariage de gens qui s'aimaient, qui sont en train de ne plus s'aimer (aucun couple de chanteurs n'a tenu longtemps s'ils ne restaient pas discrets) et Sheila est en train de le lui faire comprendre par chansons interposées.
Pierre Groscolas est au sommet de sa carrière, comme Jacky Reggan, alors que Mike Brant (sans jeu de mots) amorce doucement sa descente et Art Sullivan finit la sienne.Un autre Pierre, Vassiliu, se retrouve à une place plus logique avec son qui c'est celui-là.
Plus logique en tout cas sur le parcours des divorcés - tube de ces trois mois - sur SLC (4-7-3) qu'en ventes de disques (3-1-4). Même si Michel était encore parmi nous je n'aurais pas manqué de le souligner.
Sylvie a une place d'honneur, elle ne sait plus quel style adopter.
Pour les "étrangers", toujours cette distinction entre Barry White et Love Unlimited !
SLC zappent les italiennes Cinquetti (dernière histoire premier amour) et Mina (ça sert à quoi) pourtant passées en boucle à RTL, Europe 1 et RMC qu'on peut écouter à présent à Paris.
A la semaine prochaine, si pas de décés, ce sera avril 74.
Je vous embrasse.
02:40 Publié dans Cica-chansons, Hit-parades SLC, moi, Musique | Lien permanent | Commentaires (17)