23/07/2025
15 ANS DE BLOG HAUTETFORT
Quand j'ai commencé ce 4ème blog en juillet 2010, après le premier Cicatrice chez Psychologies de 2005 à 2010 et ici 2 autres Cica 2010 et tomber 7 fois se relever 8, deux gros bides.
J'ai alors fait une ultime tentative et cette fois, après quelques débuts laborieux, la mayonnaise a pris.
Mais je serais un piètre voyant ! J'étais à 1000 lieues de savoir ce qui m'arriverait. Pour moi c'était clair : Retraite en mars 2011, j'habiterais alors dans la belle maison que j'étais fait construire 5 ans plus tôt dans le Haut-Doubs où je coulerais une retraite la plus paisible possible. En fait j'avais tout faux ! Et j'étais alors loin de me douter de ce qui m'arriverait.
Je ne vais pas re-résumer mon blog mais j'avoue qu'il a eu un certain succès
Ma modestie m'empêcher de mentionner le nombre de visites, mais je voudrais remercier celles et ceux qui ont pris la peine de me commenter. Celles au début, qui m'ont laissé choir 4 ans plus tard quand j'ai "commis l'irréparable" à savoir me séparer, sur les conseils de NOTRE médecin traitant d'une épouse qui en avait marre marre marre de vivre avec moi, et qui me répétait tous les jours "vivement qu'tu foutes le camp".
Mais où ?
Je le compris hélas le 14 août 2012...
Plus assez d'énergie pour partir (et où ?), j'attendais donc la fin, en écoutant de la musique dans mon sous-sol aménagé ne montant dans les étages, la peur au ventre que pour manger et dormir.
Mais je suis en train de vous résumer mon blog !
Enfin bref, ces dames n'ont pas apprécié et m'ont laissé tomber.
Ma fille aussi, dont l'arrivée de sa mère chez elle avait perturbé sa petite vie. En prime elle me cachera l'arrivée de mes petits-enfants.... C'est Google qui me l'apprendra !
Ces messieurs n'étaient pas intéressés par mes histoires d'amour et de haine. Sauf un, Cristophe. C'est quand je commencerai à parler musique qu'ils arriveront.
Et je dois dire qu'ils sont encore là, plus de 10 ans après. Mention spéciale à mes 7 "mousquetaires" Jean, Renaud, Leroy David, Cédric, Marc, Hug, et le regretté Michel.
S'y ajoutent des moins assidus mais tout aussi pointus comme Jerry Ox, Hypothétique, JMP ou Cristophe,, des occasionnel(le)s comme Marie ou des "rectificateurs" comme Christine ou Alfred, pour ne parler que des douze mois écoulés.
Je vous embrasse.
12:35 Publié dans Blog, moi | Lien permanent | Commentaires (28)
04/07/2025
Toujours là...
Mais dans un état de plus en plus déplorable. Je viens de passer 4 jours d'enfer et au vu de ce qui arrive
ma note du 17 juin reste d'actualité. Aujourd'hui, pour la première fois depuis jeudi 26 on devrait rester sous la barre des 30°. Je peux me consoler en regardant les valeurs des nuits Toulonnaises (28/29°) et là je peux dire que je dois la vie à mon petit coin d'Auvergne où elles sont sinon douces mais supportables.
Les boomers peuvent témoigner du RC. J'avais passé 3 semaines là-bas voilà de ça 62 ans (Mon Dieu !!) et à vrai dire il ne me semblait pas avoir connu des journées torrides (dans le sens du terme).
Les relevés de cette époque vont bien dans mon sens . Ce mois-là (24°2) était même supérieur d'un degré à la moyenne des années 60.
Aujourd'hui, ces 24° 2 passeraient pour une vague de froid face aux 29°7 actuels... Cf le tube de l'été d'il y a 47 ans !
Dans mon étude sur le RC j'avais souligné que
Les gens pensent qu'on supporte moins la chaleur en vieillissant, c'est faux. Enfin une grande partie.
C'est la grosse chaleur qui dure plus longtemps.
Demain, si j'en ai la force, je vous ferai partager le bilan de cette canicule. 24 départements ont dépassé les quarante degrés !
De la Somme aux Pyrénées Orientales en passant par l'Indre et Loire, la Charente, les Landes et Lot et Garonne à l'ouest, et les Bouches du Rhône, l'Isère et la Marne à l'est.
Je vous embrasse.
16:14 Publié dans détresse, météo, moi | Lien permanent | Commentaires (5)
27/06/2025
Avant de replonger dans la fournaise
Je poursuis ce que j'avais commencé hier, à savoir l'"adaptation" de mon blog vu ma santé plutôt chancelante au-dessus de 35 degrés.
- je maintiens les "carnets de notes" si chers à Jean.
-Je n'abandonne pas mon projet de publier tous les samedis à partir du 6 septembre le classement des ventes des 4 semaines écoulées côté "djeunns" - donc finalement notre hit à nous, qui avions 15/16 ans à l'époque, dans une nouvelle catégorie que j'intitulerai "le hit d'il y a 60 ans". Parallèlement je continuerai le "hit des croulants" (nouvelle appellation) tous les mois.
EN REVANCHE
- de mon côté je reporte mon autoubiographie et je suspends mes notes sur l'âge des chanteurs; Vivants et morts.
Pendant des années elle était la plus lue, jusqu'au moment où Google l'a déférencée au profit des chinois qui arrosaient ce qu'il fallait.
Longtemps en tête, elle est passée 7ème en 2023 avec une visite par jour et (!) se retrouve....24ème cette année avec 0.47% des visites ! Il faut dire que depuis 15 ans la Toile s'est étoffée, avec des sites professionnels qui font ça bien mieux que moi !
Je vous embrasse;
20:47 Publié dans Blog, moi | Lien permanent | Commentaires (4)
26/06/2025
Mi-chemin de l'acte I
Depuis ma dernière note
Et c'est général pour toute la France :
Et malgré le programme des réjouissances pour la Haute-Loire
Nous devrions nous contenter de la médaille d'argent, derrière 2003 qu'heureusement j'ai passé en Bretagne.
Je suis donc à mi-chemin de cette première canicule 2025 et dans un triste état, je maintiens ma note précédente. 16/10 de tension tous les jours malgré le puissant médoc que je prends.
Du coup comme ils disent à la SNCF mon blog sera "adapté".
Je vous en dirai plus demain, avant la reprise des hostilités;
je vous embrasse.
16:00 Publié dans météo, moi | Lien permanent | Commentaires (5)
03/06/2025
Mes chansons "Roland -Garros"
2020 : Rafael NADAL - J'habite LE PUY EN VELAY
2018 : Rafael NADAL - SANARY SUR MER
2016 : Novak DJOKOVIC - SANARY SUR MER
2008 : Rafael NADAL - LONS LE SAUNIER
2004 : Gaston GAUDIO - BIARRITZ
1996 - Levguni KAFELNIKOV - MENDE
1976 : Adriano PANATA - ST ETIENNE DE ST GEOIRS
1972 : Andrès GIMENO - PARIS 6e
1971 : Jan KODES - PARIS 6e
Toutes ces chansons ont été numéro 1 ou numéro 2 (deux fois les faces B) pendant les Internationaux de France qui ont pris le nom de Roland Garros à partir de 1971.
Pour la petite histoire (vous ne verrez pas ça sur Wikipédia) c'est mai 68 qui a fait découvrir le tennis à beaucoup de gens - dont ma pomme. En effet c'était le seul programme diffusé à la télé !
Je vous embrasse.
19:19 Publié dans Cica-chansons, moi, Musique, Sport | Lien permanent | Commentaires (11)
18/05/2025
Le poilu du Mont-Aigoual
1972.
Je bosse au Mont-Aigoual. Enfin je bosse... je devrais dire je glande à écouter Lenorman, Ringo, Jonasz, Duteil ou Véronique Sanson. Autant certains jours c'est la folie quand le sommet joue à cache-cache avec les nuages, autant quand il fait beau, le travail ne consiste qu'à sortir quelques minutes et transmettre l'absence de nuages à Montpellier par radio HF, Une fois toutes les trois heures, de 7 à 19 h et de gribouiller tout ça à l'encre de chine sur le "compte-rendu quotidien". A l'encre de chine , la seule tolérée par la Météorologie Nationale à l'époque.
Il fait beau, mais très froid, et par la fenêtre de ma tour, je regarde le spectacle de ceux qui viennent "d'en bas" (Montpellier, Nîmes, Le Vigan). Pour la plupart ils sont en chemisette ou t-shirt, et ne se doutent pas que la différence de température ressentie peut dépasser 25 degrés !
C'est le cas en ce 19 août. Ils ont quitté la plaine à 27/28 degrés, et là-haut le ressenti est de -2° !!!
J'aurais une caméra je les aurais filmés pour l' envoyer à la "caméra invisible" : Leur expression quand ils sortent de leur voiture vaut le coup d'oeil. Ils grimacent, transis par le froid, et la plupart rentrent immédiatement dans leur bagnole.
Quelques-uns, plus hardis, enfilent un pull, et malgré les rafales à plus de 70 km/h, montent sur la tour (je suis juste en dessous) pour jouir du panorama, qui s'étend ce jour-là des Pyrénées au Sancy en passant par le Plomb du Cantal puis du Mont Lozère au Mont Blanc et toute la chaîne des Alpes. Devant : le Ventoux, bien détaché des sommets enneigés. Oui en ce temps-là on trouvait encore les "neiges éternelles", qui ne fondaient jamais au-dessus de 2700 mètres. Enfin, plein sud, la mer. On distingue même les immeubles de la Grande Motte.
On sonne.
Pourtant l'entrée est bien cachée, avec sur la porte une pancarte INTERDIT AU PUBLIC.
J'ouvre. C'est un petit vieillard chenu avec une canne. Il doit avoir dans les 80 balais.
- Bonjour, je suis de passage dans la région. Il se trouve que j'ai travaillé ici en 1922, juste après la guerre de 14. Que j'ai faite, monsieur, j'étais poilu dans les tranchées. Je voudrais tellement revoir ces lieux qui ont vu ma jeunesse.
Pas envie de me coltiner le poilu, surtout dans les escaliers où il doit mettre un quart d'heure à monter une marche. Alors je brode:
- Désolé mon pauvre monsieur mais ce ne sera pas possible, on est actuellement en travaux.
Les travaux. C'est pas mal ça... Je vois le vieillard se recroqueviller.
- Juste quelques minutes, s'il vous plaît monsieur. J'ai outrepassé les ordres de mon médecin, qui m'a interdit les longs trajets en voiture, et pourtant j'ai fait 4 h de route pour venir ici.
- Non, vraiment ce n'est pas possible, en plus je suis surchargé de travail.
Ben oui, Julien Lepers m'attend avec son hit-parade. Demis Roussos va t'il réussir à prendre la première place ? Est-ce le vent ? il me semble voir une larme sur la joue du poilu.
- Je n'insiste pas, au-revoir monsieur.
- vous aurez bien une occasion de revenir...
- oh non là c'était la seule et je pense que mon pauvre dos ne va pas me pardonner cette escapade.
Il remonte dans la voiture qui l'avait déposé, il y arrive vraiment très difficilement. La voiture démarre en trombe, et disparaît au loin. Ça ne va pas arranger son dos !
STOP.
Ce que j'ai écrit en couleur n'est pas vrai. Enfin les personnages ne sont pas vrais, mais l'histoire, si.
Elle ne se situe pas le 19 août 72, mais il y a 3 ans pile le 18 mai 2022. Et le vieillard chenu c'était moi, qui, 50 ans après y avoir vécu voulais revoir une dernière fois "mon" observatoire, celui de ses vingt ans.
Véridique aussi le refoulement "pour travaux". Sauf que je connaissais le zigue. Un collègue laid à faire peur que j'avais connu dans une autre vie, Éric Gamin *. Amoureux transi d'une femme avec qui "je sortais". Déjà me voir avec une canne avait dû le faire jouir, mais avoir le plaisir de me barrer la route, il a dû grimper aux rideaux !
Exact l'occasion unique, Chérie ne tenant pas à se taper 350 km de route de montagne, alors que mon cousin Jean-Yves m'en offrait l'opportunité.
Enfin il est exact que mon médecin m'avait déconseillé les longs trajets en voiture, et que mon dos ne me le pardonnera pas, ma double hernie discale évoluera en spondylolisthésis. Ce sera ma dernière sortie.
A moi la carte invalidité et le fauteuil roulant qui va avec !
Je vous embrasse.
* le nom a été changé.
15:53 Publié dans détripage, météo, moi | Lien permanent | Commentaires (3)
14/05/2025
J'ai encore changé le début de mon bouquin !
Je rentre de l'hôpital.
Non, rassurez-vous, juste le contrôle annuel chez l'ophtalmo rapport à mon diabète.
R.A.S.
Bon pour cette année. Mais j'ai encore dû subir l'épreuve du fauteuil.
Les gens ne savent pas comment nous regarder, nous les handicapés. Gếnés, compatissants, faussement indifférents,tournant la tête... Enfin bon je ferai ma thèse là-dessus un autre jour.
Donc le début de mon bouquin. L'accroche. C'est dans les premières pages que tout se joue. Soit le lecteur referme le livre, soit il se demande ce qu'il y a derrière et il poursuit.
J'ai changé aussi la police. Il doit y avoir du Mélenchon en moi, faut croire !
Sinon pour le reste ça avance. J'en suis à ma 8ème année et la page 48. J'ai calculé, de 1951 à 2021 (je m'arrêterai avant ma déchéance), 70 ans, 4 pages par année ça ferait 280. Là, 8 ans et 46 pages j'ai dépassé mon objectif. Je me rattraperai avec les années 60, grises en dehors des vacances et de la musique. 20/25 pages.
En revanche plus de 60 pour les seventies, surtout leur début. Pas plus de 30 pour les 80's mais ça approchera les cent pour les 90. Pas mal aussi sur les 2000, et bien sûr les 2010.
Bon je n'en suis pas là, le sujet c'est les pages 3 et 4. Les voici :
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Je sais, je sais. J’ai piqué ça à Labro, sauf que lui non seulement il s’est relevé à chaque fois mais en plus il a fait un rappel !
J’ai fait 5 chutes dans ma vie.
- 1970, chute du premier amour.
- 1980, chute d’abandon.
- 1994/2003, longue chute de harcèlement et d’amour impossible.
- 2012, chute de désespoir et de fatigue (j’étais « aidant »)
- 2017/xxx chute de maladie (je suis devenu « aidé ».
Mon bouquin se veut un témoignage.
Positif, malgré la fin. Qui montre que si la santé suit, on peut s’en sortir.
- Par l’amitié (1971)
- Grâce à mère (1980) qui à 67 ans venait m’accompagner quand je bossais la nuit, à mon cousin Jean-Yves qui me recevait chez lui contre l’avis de la famille, et à ma mutation, pour Embrun, un petit paradis.
- Grâce à mon départ de la Bretagne (2003) pour le Pays Basque qui m’accueillera, lui, les bras ouverts, et surtout, surtout, Internet, j’y reviendrai,
- Par l’amour (2013 /xxx).
Et oui ! Actuellement je me suis classé X ! Je tombe et j’essaie de me relever…
Mais je retombe, malgré l’amour et l’abnégation qu’une femme m’apporte depuis maintenant douze ans. Elle a rencontré Richard Gere et elle se retrouve avec le père Fouras !
Chute de maladie donc. Une m … non médiatisée mais néanmoins mortelle à terme (François Cavanna, Jean-Pierre Descombes ou Patrick Tambay en sont des exemples) et surtout incurable, une « neurologique » qui laissent intactes vos facultés intellectuelles, afin que vous puissiez assister au spectacle de la déchéance de votre corps.
D’abord vous tremblez dès que vous êtes stressé. Puis vos gestes deviennent lents. Vous avez de plus en plus peur en voiture, d’ailleurs vous ne tardez plus à arrêter, Ensuite vous ne pouvez plus prendre les transports en commun, puis monter les escaliers, puis marcher, puis tout simplement monter dans votre lit. Je vous passe d’autres détails !
Et arrive le moment où vous ne pouvez plus rester seul.
Mesdames et Messieurs, je vous présente Parkinson.
Rassurez-vous, cher lecteur, je n’y ferai que peu allusion dans cet ouvrage qui se veut optimiste. Si ce n’est pour montrer qu’on peut encore faire pas mal de choses même si on ne peut sortir de chez soi qu’en fauteuil…
Comment ? J’ai fait une faute ? On ne dit pas autoblographie mais autobiographie ? C’est voulu cher lecteur, ce bouquin va pas mal s’inspirer des 2800 billets que j’ai écrits sur mes deux blogs depuis 2005, où je raconte ma vie. Bon, on y va ? Allez, un petit flash-back de trois quarts de siècle, c’est parti !
N.B. Pour éviter les curiosités malsaines j’ai publié sous le nom de jeune fille de ma mère mais je dévoile ma vraie identité au fil des pages.
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Voilà !
je vous embrasse.
16:30 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (0)
09/04/2025
20 ans que je blogue
C'est le 9 avril 2005 que j'ai commencé à bloguer.
C'était sur le site p***s.com, après deux années passées sur leurs forums.
En 2010, le mensuel sur lequel s'adossait ce site est passé de "généraliste confidentiel" à "féminin à fort tirage" et n'avait plus besoin du site pour se faire connaître, du coup celui-ci s'est fortement dégradé.
Je suis donc venu ici, où on offrait gratuitement une meilleure qualité que là-bas en payant.
Inspiré du bouquin de Labro j'ai d'abord créé Tomber sept fois, se relever huit .
Le bide.
En juillet je retenterai ma chance en reprenant le pseudo de p***.com, Cicatrice.
Et le succès a été au rendez-vous.
à ce jour.
Au départ j'étais venu pour raconter une belle histoire d'amour impossible.
Puis ce blog a évolué vers une sorte de bloc-notes où je racontais mon quotidien (pas toujours marrant).
Commentaires presque exclusivement féminins.
J'ai commencé à y parler chansons, et mis en ligne le hit de SLC le 15 avril 2012.
Gros succès.
Puis ma vie a évolué brusquement de telle façon qu'à partir de 2014 ce blog est devenu "musical".
Les dames se sont carapatées, les commentaires sont devenus très majoritairement masculins.
S'est alors formée un groupe de connaisseurs (une petite douzaine) qui sont toujours là, sauf Michel, décédé il y a 8 jours. Michel qui, trois jours avant l'issue fatale, est venu l'annoncer sur mon blog :
Ce groupe est devenu une bande d'amis, dont la "locomotive" était Michel. Je pense qu'il doit souhaiter de là-haut que cette bande continue à échanger et enrichir nos connaissances communes.
Merci à tous.
Patrick.
13:30 Publié dans Blog, moi | Lien permanent | Commentaires (8)
13/03/2025
EN AVANT-PREMIERE POUR MES LECTEURS : le début de mon bouquin !
FINALEMENT J'AI CHANGÉ LE TITRE :
INTRODUCTION
Je sais, je sais. J’ai piqué ça à Labro, sauf que lui non seulement il s’est relevé à chaque fois mais il a fait un rappel.
J’ai fait 5 chutes dans ma vie. Vous me direz, ça fait une tous les 15 ans. Mais si certaines ont été brèves (la première, celle du 15 novembre 70, brève mais dure) d’autres se sont étalées sur plusieurs années, comme la troisième, entre les étés 94 et 2003 – 9 ans quand même – et la dernière, qui a débuté voilà 8 ans, que j’essaie de freiner de toutes mes forces, mais dont je sais que je n’aurai pas le dessus.
Mon bouquin se veut un témoignage. Positif, malgré la fin. Qui montre que si la santé suit, on peut s’en sortir. Pour moi par l’amitié (1970/71), l’instinct de survie (1982), la volonté (2003/2007) et l’amour (2013 et suivantes).
Je le répète : si la santé suit.
Mais contre certaines saloperies de maladies notamment celles qu’on appelle
« dégénératives » on ne peut que freiner. Pour celle qui me concerne, François Cavanna, Jean-Pierre Descombes et Catherine Laborde en savaient quelque chose.
Rassure-toi, lecteur, je n’y ferai que peu allusion dans cet ouvrage qui se veut optimiste. Si ce n’est pour montrer qu’on peut encore faire pas mal de choses même si on ne peut sortir de chez soi qu’en fauteuil…
Comment ? J’ai fait une faute ? On ne dit pas autoblographie mais autobiographie ? C’est voulu cher lecteur, ce bouquin va pas mal s’inspirer des 2800 billets que j’ai écrits sur mes deux blogs depuis 2005, où je raconte ma vie.
Bon, on y va ? Allez, un petit flash-back de trois quarts de siècle, c’est parti !
Qu'en pensez-vous ?
STOP ou encore ?
12:55 Publié dans Blog, moi | Lien permanent | Commentaires (19)
28/02/2025
Grande décision
Je me posais, voilà bientôt 20 ans, la question : pourquoi écrire un blog ?
Ma réponse fut : pour raconter ma vie, que j'estimais riche.
Elle l'était déjà, en ce début avril 2005, mais je n'avais encore rien vu.
En 2006 j'allais voir comment certains collègues avaient espionné mon blog afin que je parte pour qu'un copain à eux puisse prendre ma place. La mort de mon père, où le même jour j'assisterai à son enterrement dans les Cévennes et serai (à Bordeaux !) au chevet de mon épouse d'alors qui tentera une intervention dans le cerveau, et qui échouera, la rendant infirme (parole, vue, psychisme - son caractère devenant impossible à vivre - je tiendrai quand même sept ans et demie) sans oublier l'envol définitf de ma fille, ayant trouvé sa moitié en Bretagne et habitant désormais Lamballe, la terre de ses ancêtres depuis
Henri IV !
Et aussi la construction de ma "maison de retraite" dans un village Haut-Doubs qui nous accueillera les bras ouverts.
En 2007, ce sera le déménagement entre le Pays Basque et le Jura, où j'aurai mon bâton de maréchal, à savoir météorologue polyvalent, pouvant remplacer n'importe qui n'importe où dans n'importe quel domaine. Ainsi je ferai de la nivologie dans le Jura où j'étais basé, de l'aéronautique à Bâle-Mulhouse, de la prévision marine au Havre, de la météo Régionale - chasse gardée des ingénieurs - à Lille et à Strasbourg; je tiendrai des stands dans les foires (Mulhouse, Verdun), de la météo urbaine à Belfort/ Montbéliard, de la météo "classique" à Guéret et Colmar, de la météo de montagne dans le Jura et dans les Vosges...
J'aurai aussi des gros problèmes avec ma maison, terminée à l'arrache, et que je n'arriverai pas à louer...
Bref vous le voyez, presque une page pour deux années, qui bien développées peuvent en faire 10. Vous dire pour, disons, 60 ans !
Vous l'avez compris, je partirai de mes deux blogs pour écrire mes mémoires.
J'ai déjà un projet de couverture :
Si j'en juge au nombre de mes lecteurs (plus de 1 million et demi en 20 ans) je pourrai peut-être éviter le "compte d'auteur". Et quand bien même du fait de mon infirmité je ne sors plus de chez moi et ne fais pas de folies, donc j'ai pu, depuis mon divorce-désastre financier renflouer la caisse. On me dit 3.000 euros pour 200 exemplaires. 20 me suffiraient amplement !
Voilà l'affaire, comme disait Gainsbourg, je m'y mets dès cet après-midi.
Je vous embrasse.
12:41 Publié dans Blog, moi | Lien permanent | Commentaires (7)