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07/04/2012

François Hollande est sûr d'être président, démonstration

Démonstration :

Selon les 14 dernières estimations de tous les instituts de sondage, on aurait :

• Nicolas Sarkozy 28.6 % des votants
• François Hollande 27.3 %
• Marine Le Pen 15.3 %
• Jean-Luc Mélenchon 13.5 %
• François Bayrou 11%
• Eva Joly 2.2 %
reste 2.2 % pour les autres candidats.

On prévoit une assez forte abstention.
Pourquoi ?

Pour une raison fort simple : le premier tour se situe durant le seul dimanche où les trois zones scolaires de la France est en vacances. Bien joué !!! Moi-même, pris par un événèment familial, ne pourrai participer à ce premier tour !!

Disons 30% d'abstention. Ce que donnent les instituts de sondage.

En suffrages exprimés cela donne :

• Nicolas Sarkozy 20.0 % des inscrits
• François Hollande 19.1 %
• Marine Le Pen 10.7 %
• Jean-Luc Mélenchon 9.5 %
• François Bayrou 7.7 %
• Eva Joly 1.5 %
reste 1.5 % pour les autres candidats.

REPORT DES VOIX.

Nicolas Sarkozy aura logiquement :
- ses 20%
- plus (voyons large) 2/3 des électeurs de Marine Le Pen soit dans les 7%
- plus (soyons logique) la moitié de ceux de Bayrou soit 4%
- plus 1/3 des voix d'Eva Joly, et disons la moitié des voix des autres candidats, soit (soyons larges) 1%

Soit en tout 32% des inscrits plus les voix sarkozystes des abstentionnistes du premier tour.

François Hollande aura logiquement :
- ses 19%
- plus disons 20 % de ceux de Marine Le Pen (les autres s'abstenant au second tour) soit 2%
- plus disons 4/5 des électeurs de Mélenchon, en tenant compte de 1/5 de "purs et durs" soit 8%
- Plus (soyons logique) la moitié des électeurs de Bayrou soit 4%
- Plus les deux tiers de ceux d'Eva Joly soit 1%
- Plus ce qui reste des voix des petits candidats soit moins de 1%

Soit en tout 34 à 35 % des inscrits plus les voix Hollandistes des abstentionistes au premier tour.

Or qui sont ces abstentionnistes du premier tour ???

Quelques-uns qui certes l'ont toujours été.
Mais surtout des familles en vacances, notamment des jeunes.

Logiquement, les "anciens" s'étant précipité déjà aux urnes dès le premier tour pour que leur poulain Sarko soit en tête, cette réserve-là n'existe plus !

Donc, ces abstentionnistes de gauche sont en majorité pour Hollande.

Je ne vais cependant pas tenir compte de ce fait.
Faisons comme si ces abstentionnistes avaient reflété les résultats du premier tour. Et donc, à quelques pourcentages près se répartissaient à égalité entre Hollande et Sarkozy.

Alors, malgré tous les handicaps que volontairement, dans mes calculs, j'ai infligés à Hollande (seulement 20% des électeurs du FN, alors que c'est plutôt 30%, 20 % des voix du parti de gauche qui lui feraient défaut, alors que normalement tous devraient répondre "présent", seulement la moitié de ceux du Modem alors que ce dit Modem provient à 60% de la gauche, un tiers des voix d'Eva Joly qui n'arriveraient pas au PS, et enfin des abstentionnistes du premier tour qui se répartiraient des deux côtés, ce qui ne sera pas le cas)

Hollande gagnerait avec au moins 34.5 % des voix plus les abstentionnistes.
Sarkozy serait battu avec au plus 32 % des voix plus les abstentionnistes.

Cela, je le rappelle, dans le meilleur des cas de figure pour le candidat sortant.

Alors remémorons-nous les maths de 4ème (vous pouvez sauter ce paragraphe...)

• Hollande = 34.5 + X, X étant le nombre des abstentionnistes votant pour lui.
• Sarkozy = 32 + X, X étant le (même ) nombre des abstentionnistes votant pour lui.

Sur un corps électoral de 66.5 + 2 X, 2 X étant le nombre total d'abstentionnistes.

Avec une abstention située entre 15 et 20%

- François Hollande aura au moins 51.5 % des voix.
- Nicolas Sarkozy aura au plus 48.5 % des voix. Soit 3 pts d'écart.
Ce qui est déjà faramineux, vu son bilan...

Un cachet d'aspirine ?

Je vous embrasse.

 

06/04/2012

Remède contre l'hystérie

Je l'ai mis en com à Teb, je sais que la crise d'hystérie de mon épouse hier n'est due qu'à sa maladie.

Soit.

Mais sans le vouloir, j'ai trouvé un excellent "remède". Bon. Savoir s'il y a relation de cause à effet !

La nuit dernière, j'avais du mal à m'endormir. C'est toujours comme ça au début du mois, à cause de mon "sevrage" de médicaments. Là je suis passé de 3 à 2.5, ça fait quand même une diminution de 17%. Pas rien...

A chaque fois que j'essayais de m'endormir, j'en étais empêché par mon épouse qui bougeait. C'était régulier, environ toutes les 20 minutes.

A un moment donné, j'ai déclaré forfait, et je suis allé me réfugier dans la chambre d'à côté (nous avons 3 chambres dotées de lits).

Et, enfin, j'ai réussi à m'endormir. Il devait être près de 1 heure du matin, quand même...

Ce matin, réveil à ..... 10h ! Première fois depuis ma retraite que je dors si tard...

Je le répète, j'ignore s'il y a un rapport, mais durant toute la journée elle a été tout miel. Elle a même évité de dire du mal de ses voisin(e)s, c'est tout dire !

Bref, à la prochaine crise, je retenterai le coup de la chambre à part. On verra bien si sa "bonne humeur" d'aujourd'hui venait de là :)

Je vous embrasse.

22:29 Publié dans moi, psy | Lien permanent | Commentaires (4)

05/04/2012

Retour aux réalités :(

J'a parlé trop tôt !!

C'est ça mon optimisme exacerbé, il me suffit de quelques semaines paisibles , et ça y est, je me dis que finalement, mon "réel" devient super, que finalement j'ai moins besoin du "virtuel" , et peut-être même ce que "virtuel", qui a toujours été là quand j'avais besoin de lui, pourrait, par certains côtés, me faire replonger !!

N'importe quoi...

Alors qu'"en vrai" je viens de passer 3 mois superbes, avec beaucoup de monde chez moi, de tous âges, avec des escapades Parisiennes ou Azuréennes, je fais de plus en plus de pauses ici.

J'ai écrit ça le 24 mars....

Je m'y voyais déjà...
Comme le chantait le Père Charles (Aznavour).

La dernière grosse crise d'hystérie de ma Chère et Dure remontait à l'année dernière. Au 14 juillet très exactement. Certes il y en a eu depuis quelques-unes, mais de moins sévères.

J'avais eu tendance à oublier comment ça faisait.

Aujourd'hui, elle a décidé de me faire ranger un à un des cartons sagement entreposés dans la cage d'escalier depuis bientôt deux ans.

Alors elle a pris un carton, où sont disséminés des trucs qui datent d'entre 2 et 20 ans, et m'a sommé de le dispatcher! Là, tout de suite... Minimum deux jours de boulot...

Je revois les scènes d'août 2003, qui peut-être se justifiaient un peu plus : nous étions en train de déménager, et le temps nous était compté.

Actuellement, nous emménageons, et nous avons tout le temps de le faire.
Je sais par quoi j'ai commencé et par quoi je vais continuer. Priorité pour l'instant à ma "cave", là où j'ai installé mon coin perso, aec Ordi, Chaîne Hi-fi, disques, Cd, cassettes de mes émissions, journaux à trier, DVD.

Quand je suis arrivé, c'était comme ça :

DSCN7125.JPG

aujourd'hui c'est comme ça :

DSCN1053.JPG

Certes il y a encore un boulot, mais tout ne s'est pas fait en un jour. D'autant que c'est "ce qui se voit" qui est pris en photo, dans les cartons, j'avais plein de trucs à ranger soigneusement, comme mes émissions de radio (quand même un millier de cassettes) qu'il m'a fallu en partie réécouter pour les dater, et les ranger dans un meuble ad hoc.

J'estime que, pour cette pièce, j'en ai encore pour environ 6 mois.

Après on s'attaquera au reste.

Mais "chère et dure" me connaît, elle sait que me suprendre pendant que je me sens bien est presque un traumatisme.

Et je sais pourquoi cette hystérie revenue (en attendant "mieux") : parce que notre fille se fait de plus en plus harceler dans son travail, et qu'elle a décidé de quitter l'entreprise où elle travaille, avant que ça ne prenne de trop grosses proportions.
Elle a raison.

Mais elle a eu tort d'en parler à sa mère, qui, depuis, a changé du tout au tout : pour chère et dure, tout le monde est "con", de la femme du cousin de Toulon à notre voisine en passant par un autre voisin grâce à qui notre tondeuse flambant neuve est encore en état de marche...

Bref elle ne supporte plus personne. Et moi, comme elle est obligée de me supporter, elle m'en fait voir de toutes les couleurs.

Finalement, je pense qu'avant de m'éloigner du Virtuel, il faudrait peut-être que j'analyse correctement ce qui se passe dans ma "vraie vie". C'est bien de "décortiquer" les pailles de mon virtuel, faut-il encore que j'arrive à ne pas oublier les poutres que je reçois de temps en temps dans ma "vraie" vie !

Merci à vous d'être là.

Je vous embrasse

14:31 Publié dans détresse, moi | Lien permanent | Commentaires (6)

04/04/2012

1979/1980 Journal croisé de Guy Bedos et moi

21 avril 1979.

GUY BEDOS (extrait de son livre "en attendant la bombe"
Nicolas. Il est né à midi pile. Il pèse 3kg550 et mesure 50 centimètres. Un beau bébé. Le premier qui parle devant moi d'accouchement sans douleur, je le gifle..
MOI
Ca me fait drôle de poser une mutation. J'étais bien à St Etienne de St Geoirs. Mais nos parents vieillissent, Millau est une occasion de nous rapprocher, il ne faut pas la rater ! On va passer de 4 heures de trajet mini à une heure/une heure dix. Ca compte...

1er juin 1979.

Reçu le livre de Sophie qui vient de paraître en librairie. Je l'ai parcouru plus que lu véritablement. C'est d'une telle médiocrité de fond et de forme qu'auprès de ce qu'elle écrit, les articles de Minute ou d'Ici-Paris qui la soutiennent semblent avoir été signés par Sartre dans Les temps modernes.

Je l'ai ! J'avais mis Embrun en premier, mais faut pas rêver quand même... J'irai donc à Millau, lol, comme dirait Fernandel ! A présent, opération "trouver un logement". Vu ce que je gagne, à tous les coups j'aurai droit à un HLM. Enfin j'espère ! Bon, je vais annoncer la nouvelle à nos deux familles.

9 août 1979.

Notre premier anniversaire de mariage. Mais comme amants, notre troisième été. Et toujours le même désir, la même curiosité, la même divine surprise.
Nicolas, ravi de la crèche, tu as raison de sourire aux anges, ça va bien pour nous trois...

Ca n'a pas été sans mal, mais après quand même 2 mois de recherches, on a fini par le dégotter ce logement. Une petite maison F3, au fond d'une impasse - donc calme - mais j'ai vu aux yeux de Mireille qu'elle va regretter notre beau F4 de l'Isère. Les toilettes à la turque, elle n'a jamais connu. Bah, l'essentiel soit qu'on se rapproche de nos parents...

9 septembre 1979.

Treize heures. Je viens d'apprendre à la radio le suicide de Jean Seberg. On l'a retrouvée, corps décomposé, sous une couverture, dans une voiture garée à quelques mètres de son appartement, au centre d'un quartier truffé d'ambassades et arpenté par des centaines de flics. Au moins 10 jours qu'on avait signalé sa disparition. Curieuse police...

Hou la la ! Dur dur les nouveaux horaires... Pour la journée c'est 5h30/19h, donc lever à 4h30, et pour la nuit c'est 19h/5h30, et pas question de roupiller entre deux tours d'horizon : il n'y a pas de lit à la station :( Sinon, Mireille va chercher du travail, vu qu'il y a une voiture de service, elle va pouvoir prendre la nôtre.

30 octobre 1979.

Suicide de Robert Boulin, ministre du travail. Après les dimants de Giscard, les acquisitions immobilières de Raymond Barre, c'était "l'affaire Boulin" - la troisième que "le canard" avait sortie en un mois. Barre hospitalisé pour dépression nerveuse, Boulin qui se flingue, Giscard muré dans un silence persistant, du côté du pouvoir ça sent le roussi...

Mireille vient de vendre son premier aspirateur. Elle a un talent fou pour vendre, c'est dingue ! A mon avis elle va arriver à gagner plus que moi, chez Electrolux ! Mais le revers de la médaille, c'est qu'on ne se voit pas beaucoup, avec mes horaires de fou : je dors sans arrêt pour essayer de récupérer. Le toubib, un mec super, m'a donné un truc pour m'aider à supporter ces horaires : Le Témesta.

21 décembre.

Huit mois de Nicolas. Il pèse maintenant huit kg 50 et mesure 69 cm. Pas de quoi pavoiser, moyen, très moyen ! Il paraît qu'il a dit "maman".
Papa, vexé, demande à vérifier.

Mireille a eu un accident. Pas de blessé mais la voiture au garage, lequel a brûlé avec la voiture... Ma femme a perdu son emploi, et du coup est très choquée. Hier je l'ai emmenée au Vigan se refaire une santé chez ses parents, je la rejoindrai à Noël. Côté santé, moi ça va, je pèse 80 kilos, j'en ai pris encore 6 cette année... Beau-papa ne va pas manquer de me le faire remarquer !

25 décembre.

Noter tout de même, à propos de Giscard, le sournois, cet aristocrate sans noblesse qui de reniement en reniement proclame son aversion pour la peine de mort et fait éxécuter un probable innocent...

Ma belle-soeur vient de m'apporter un petit mot tout à l'heure. " C'est fini, je ne veux plus te voir, excuse-moi ou ne m'excuse pas, mais je n'en peux plus. J'irai voir le psychiatre mercredi."
Mon monde s'écroule.

9 janvier 1980.

C'est vrai que Nicolas dit "maman". Mais c'est moi qu'il appelle "maman" !

Reçu ce matin une lettre recommandée du beau-père qui parle "du divorce", et m'envoie la liste détaillée des biens de la communauté. Au-secours :(( 
Ma mère arrive tout à l'heure par le train - 9 h de trajet via Nîmes et Béziers pour 60 km à vol d'oiseau - , inquiète du fait que je ne peux absolument plus rien avaler depuis Noël. Je vais pouvoir enfin parler à quelqu'un, car je ne connais personne dans cette ville où m'a femme m'a quitté. Moi qui voulais entamer un régime, j'ai perdu 5 kilos en deux semaines...

16 février 1980

Julos Beaucarne, chanteur et directeur (belge) du théâtre 140 s'écoute un peu parler, mais je ne lui donne pas tort, il est sûr au moins d'écouter des choses intéressantes.

Je reviens de Lorient où Jean-Yves m'a accueilli une semaine, malgré les réticences de sa nana, qui depuis que Mireille m'a quitté, pense que je homosexuel ! si ! Sur les conseils de mon chef (lui aussi un coeur d'or) j'ai pris un avocat. Enfin "mon père a pris un avocat", car je sais que ce sont nos deux parents qui se battent, par enfants interposés. Seule bonne nouvelle : Perte de 11 kilos depuis Noël, je suis revenu à mon poids d'il y a trois ans ! Car je ne peux toujours rien avaler, sinon un Mars le matin.

21 avril 1980.

11h40. Plus que vingt minutes et mon fils aura un an. Et du coup; moi j'arrêterai d'écrire ce journal.
Midi 10, voilà c'est fait. Happy Birthday ! Lui se demande, un peu effaré, ce qu'on a tous à lui sucer la pomme...

Je viens de voir le docteur Metge, du Vigan, mon médecin de famille. Pour lui, je ne pourrai pas tenir encore 2 mois si je continue à ne plus m'alimenter. Lui qui était obsédé par mon poids, avec 22 kilos de perdus en même pas 4 mois, le voilà servi ! Je sais que je vais mourir, mais je ne veux pas mourir. je n'ai que 29 ans... Mon corps capitule, mes cheveux tombent par poignées. Ma seule planche de salut serait une mutation, vers Embrun, ce pays que j'aime tant... Mais à peine arrivé à Millau, je sais que je n'ai aucune chance...

__________________________________________________________________________________________________

32 ans après, Nicolas Bedos est devenu aussi talentueux que son père, et encore plus vache. Mais je me régale à lire les deux...

Quand à moi, après être arrivé à peser 51 kilos fin juin, j'ai arraché ma mutation pour Embrun grâce à une assistante sociale et aux deux médecins : celui du Vigan, qui me connaît depuis 8 ans, et celui de Millau, qui a assisté à la "chute"....
Sauvé par le gong...

Je vous embrasse.

 

Le livre de Guy Bedos où j'ai puisé ces extraits - sans en changer une lettee - s'intitule en attendant la bombe, éditions Calmann-Lévy.

10:38 Publié dans détripage, moi | Lien permanent | Commentaires (4)

01/04/2012

Les 50 interprètes 1963/1974 d'après salut les copains : Sylvie Vartan IV

Une commentatrice me demandait tout à l'heure pourquoi je parlais tous les mois des notes les plus lues. Une des réponses peut être celle-ci : Ceux qui ont lu ma dernière note sur Sylvie Vartan savaient-ils qu'ils avaient été ainsi 27 par jour à s'intéresser à cette chanteuse que beaucoup pensent - à tort - comme has been ? A présent ils le savent. C'était un des buts de ma note.

Bref, passons sur ce détail, je vais à présent aborder la dernière partie de la carrière de Sylvie, celle d'après 1971.

1972 sera une année "sans" pour elle.

Si mon père, sorti à l'été, se classe directement n°2 en octobre, elle dégringole aussi vite dans le hit le mois suivant.

Mais Dilindam, sorti à l'automne et beaucoup entendu à la radio, sera son premier 45 tours non classé :(

Et pour la première fois depuis le début de sa carrière, Sylvie Vartan n'est pas dans le "top" annuel...

1973 débute avec, en février, non je ne suis plus la même, qui ne récoltera qu'une 13ème place en mai.

Il lui faudra le secours de son mari (alors que le couple commence à battre de l'aile) pour la voir de nouveau figurer en bonne place avec j'ai un problème : 7 semaines numéro 2 derrière le tube de la décennie : la maladie d'amour de Sardou.

Et de nouveau, le bide avec la vie c'est du cinéma, et je chante pour Swanee. Que se passe-t'il chez SLC ?

A la fin de l'année elle sort l'amour au diapason, qui va la remettre en selle : 6ème fin février 1974.
1974 où bye bye leroy brown est par contre un grand succès : 20 semaines dans le hit, de juin à octobre, 12 semaines dans les 10 premiers mais seulement une 7ème place en juillet et une 6ème en août.
Ouff !

En octobre elle sort une reprise de Dadouronron, qui n'aura pas le même succès de la version que son mari avait faite 11 ans plus tôt: seulement la 16ème place.

Néanmoins pour cette année 74 elle se classe 11ème, de nouveau première chanteuse.

Et ensuite ?

1975 sera l'année du retour.

Certes une 23ème place en janvier pour les chemins de ma vie, mais en revanche the shang a lang song, qui marque le début de la mode rétro de la fin des années 70, ira jusqu'à la seconde place en avril.

Et c'est par un.... tango (!) qu'elle va squatter les sommets à l'automne : La drôle de fin arrivera numéro 6 début septembre.

Enfin elle termine l'année en beauté, danse-la chante-la sera classée durant 4 mois, avec un podium début novembre. Renouera-t'elle avec les numéro un ? Son dernier remonte quand même à 1967 avec Baby Capone, et encore une seule semaine...

La réponse est oui !

C'est avec qu'est-ce qui fait pleurer les blondes ? sorti en janvier 1976 que Sylvie renoue avec la première place.

Puis, toujours en 1976, l'amour c'est comme les bateaux se classera n°2 fin juillet, juste derrière son mari.

A présent, plus de SLC, place au classement des ventes.

Ta sorcière bien-aimée sera 3ème entre novembre et décembre.

En 1977, Petit rainbow décrochera une belle seconde place en octobre, derrière... Ringo Willy-Cat !!

La troisième place pour solitude, adpatation du tube Substitute des Clout en août 1978.

Nicolas, sorti à l'automne 1979 se classera 2ème en février 80 derrière Chantal Goya.

Encore un podium à l'été 81 avec l'amour c'est comme une cigarette.

Nouveau duo, avec Michel Sardou cette fois (la première fois qu'on s'aimera) qui va les propulser numéro 3 en août 1983 derrière jackie Quartz et Indochine.

Puis c'est de nouveau une grosse traversée du désert. Il lui faudra attendre 8 ans pour revenir dans les 25 premiers. La 18ème place le 10 mars 1991 pour sa reprise de quand tu es là.

Nouvelle reprise, a cappella, de tes tendres années qui lui vaudra la 8ème place le 19 septembre 1993.

Une 5ème place le 25 octobre 1996 pour je n'aime encore que toi.

Les robes, sorti en 1996 n'aura droit qu'à l'antichambre.

Suivent encore 13 ans... Jusqu'à

La 5ème place le 20 septembre 2009 pour je chante le blues !
2009 qui décidément sera une année faste, car elle décrochera la 10ème place pour son single suivant, l'un part l'autre reste, le 20 novembre.

2010 n'est pas en reste, live olympia est 8ème le 21 mars.
Et la 5ème le 12 décembre avec je me détacherai.

50 ans de carrière, on attend la suite ! Chapeau Madame !

A dimanche prochain pour Hervé Vilard, première partie.

Je vous embrasse.

Les notes que vous avez les plus lues en mars

D'abord, une hausse de 17% de notes lues par rapport à février (source Google analytics) soit 6240 en tout, et encore ces chiffres sont à augmenter, on verra pourquoi tout à l'heure.

1) Toujours en tête, avec 865 lectures (46% de hausse sur février) soit 28 lectures par jour.
Mais quel âge ont nos chanteurs, les chiffres, du 28 mars 2011.  4.06 minutes passées sur chaque page, en tout cette note a été lue 59 heures...

2) Là ça se corse. Celle qui arrive en second aurait dû se retrouver 4ème, ayant dû enlever mes n°2 et 3 à cause de pressions. On y reviendra.
Donc, grâce à ces pressions (c'est le problème de la célébrité lol !) c'est
I love your attitude de Facebook ou le miroir aux alouettes qui regagne une place.
Pas de changement côté lectures, 248 contre 252 soit 8 lectures par jour, avec une moyenne de 4.12 minutes par lecture.

3) Celle qui aurait dû être n°2, Photovoltaïque, le parcours du combattant, a été retirée le 14 mars à l'issue du coup de fil du PDG de l'entreprise que je mettais en cause dans mon parcours, vu que si l'on tapait le nom de l'entreprise sur Google, la note arrivait en tête. Le patron de la boîte m'a expliqué que dans une industrie sinistrée (Sarkozy a divisé par 10 les avantages fiscaux du photovoltaïque entre 2010 et 2012... vive le Grenelle) ce n'était peut-être pas le moment d'en rajouter dans une entreprise qui commençait à battre de l'aile, avec des emplois qui devaient précaires. Je l'ai donc enlevée, définitivement.
Cette note était pourtant prometteuse, car elle drainait 15 lecteurs par jour, qui y passaient 4.24 mn.
Mais bon, je ne veux pas être responsable de la mise au chômage de gens..

4) La surprise ! J'ai rarement vu à cette place une note sur une chanteuse, en l'occurence celle que j'ai écrite sur Sylvie Vartan dimanche dernier, qui a rassemblé 188 lecteurs soit quand même 27 par jour !!! 1.41 par lecture, mais quand même...
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2012/03/25/les-50...

5) Encore une entrée, Souvenirs souvenirs, écrite le 6, une note qui aurait dû être sur le podium, et qui a été retirée suite au mail d'une amie du net, qui estimait que je n'avais pas le droit de l'écrire.
Une note pourtant hyper-intéressante, qui avait le mérite de clarifier certaines choses, sur laquelle j'avais eu 26 commentaires. Pendant les 8 jours (du 6 au 14) où elle est restée, elle a été lue 122 fois, soit 15 fois/jour, et surtout le lecteur y avait passé 7.07 mn dessus...

6) Encore une "entrée", désyntoxication progressive, écrite le 7, où j'explique photo à l'appui le sevrage de médicaments que j'ai entrepris depuis mars 2011.
68 lectures de 2.35 mn, soit 3 par jour.
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2012/03/07/desint...

7) Une autre entrée, balancier, écrite le 24, où je confie mes états d'âmes concernant un virtuel qui me fuit de plus en plus et un réel qui lui, commence enfin à me convenir.
55 lectures de 4.57 minutes, soit 8 lectures par jour.
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2012/03/24/balanc...

8) Toujours une entrée, Hier soirée avec Gérard Palaprat, écrite le 11. Lendemain de magie, de retour d'un concert d'une idole de ma jeunesse qui n'a rien perdu ni de sa voix, ni de son talent, et surtout de sa générosité. Un exemple d'un "réel" qui commence à me sourire.
49 lectures de 4.04 minutes, soit 2 à 3 lectures par jour.
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2012/03/11/hier-s...

9) Une "ré-entrée", une note écrite le 27 janvier de l'année précédente,
la dernière crise de démence de mon épouse. C'était dans la période où je faisais les navettes entre Lons où je travaillais et ici où j'arrivais à cumuler de 3 à 5 jours par semaine. Mon épouse ne supportait pas d'être seule, et du coup faisait des crises de démence. Celle-là plus grave que les autres, puisqu'elle a consisté à jeter notre chat, malade du diabète, par le fenêtre du premier étage, parce que le pauvre s'était oublié...
Une note qui apparemment vous a marquée, puisque toujours lue. 47 fois ce mois-ci...
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2011/01/27/la-der...

10) Je tenais à ce que cette note soit classée.
Hommage à Michel Duchaussoy, du 13,  acteur génial mais discret disparu dans lindifférence générale ou presque. Vous, amis de Hautetfort, ne l'avez pas oublié, et l'avez lue 47 fois soit  plus de 2 fois par jour.
http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2012/03/13/michel...

Côté notes les plus lues depuis le début du blog, pas de changement :

1) Cica-chansons 28/8/2010
2) Mais quel âge ont nos chanteurs ? 28/3/2011
3) Vers les étoiles/8  2/10/2010
4) I love your attitude 14/6/2010
5) La dernière crise de démence de mon épouse 27/1/2011
6) Le plus dur c'est de commencer 22/7/2010
7) Photovoltaïque le parcours du combattant 22/07/2011
8) Photovoltaïque c'est le moment d'y penser 2/11/2011
9) Premier baiser première rupture 1/9/2010
10) Mutuelles santé : attention à l'arnaque Swisslife 13/07/2011.

A dans un mois pour un nouveau bilan.

Je vous embrasse.

12:23 Publié dans Blog, Merci | Lien permanent | Commentaires (4)

31/03/2012

Narcissisme

Facebook rend-il narcissique ?

C'était la question posée cette semaine dans "Femme actuelle".

Voici une des réponses, qui m'a interpellé.

Image (47).jpg

Je retiens cette phrase, très importante :

Si on n'est pas assez narcissique, on attend trop des autres. Si on l'est trop, on n'en attend rien, puisque autrui n'existe pas vraiment.

Si cette phrase est vraie, alors le narcissisme serait donc une bonne attitude, sachant que le "pas assez" correspond à un besoin de reconnaissance, et que le "trop" implique la négation d'autrui.

Vite, un psy pour m'expliquer, j'ai rien compris !!!

Je vous embrasse.

18:53 Publié dans psy | Lien permanent | Commentaires (6)

30/03/2012

Pasteurisation

Nous vivons, c'est bien connu, dans un monde de brutes.
Celles et ceux qui ont lu ici les 100 premières notes de mon blog, celles où je raconte ma vie, doivent en être convaincus.

Je supporte très mal la campagne électorale actuelle. Où tous les coups bas sont permis, de tous les côtés. Ca me donne envie de vomir.

Oui, mais... l'inverse est-il préférable ?

S'imaginer chez Walt Disney (pas employé dans ses parcs, attention !), dans un monde où tout le monde serait forcément gentil, où tout ce qui dépasserait serait banni ?
Une vie totalement artificielle, pasteurisée, quoi !

Non plus.

Depuis quelques années, c'est la mode du S.B.A.M. (sourire, bonjour, au-revoir, merci) et pas que chez les caissières.
Combien d'ulcères ces mêmes caissières ont-elles dû développer pour avoir dit ces formules à des personnes qui méritaient qu'on leur envoie la caisse enregistreuse dans la figure ?
Moi je suis pour appeler un chat un chat. 

Je suis bien dans mon village. Et je le clame haut et fort (lol !).

Mais il fut un temps, des temps, où ça n'était pas le cas. Et alors, je le clamais également.

Mais sincèrement, je ne me verrais pas y rester si je sentais qu'autour de moi ça sonnait faux. Si n'y seraient tolérés que de la "bienveillance obligatoire", et qu'en revanche, le parler-vrai me couperait de mes voisins. Lesquels, y compris chez ceux où je me sens super-bien, entrant dans la ronde de ce soft bienveillant, penseraient que non, que je me fais des idées, que "tout va bien à bord".

Voici quelques semaines, une amie m' a dit ici ce qu'elle avait sur le coeur. Sur le moment j'ai été blessé, mais peu à peu j'ai réalisé qu'elle était dans le vrai. Et elle m'a fait réaliser plein de choses.
Avec le recul, je sais qu'elle a eu raison.

Je pars du principe que lorsqu'il y a un abcès il faut le crever, et que casser le thermomètre ne fera pas tomber la fièvre. Que la politique de l'autruche ne mènera à rien, pas plus que l'agression excessive.

Voilà, c'était mon coup de gueule du soir, qui peut-être, sans doute, disparaîtra demain matin, après que la nuit m'ait "porté conseil", c'est à dire à mon tour "pasteurisé"...

Je vous embrasse.

21:34 Publié dans détripage | Lien permanent | Commentaires (7)

Le melon

Non ce n'est pas du légume que je vais vous entretenir, mais de cette attitude qu'ont la plupart des gens - et j'en fais partie - dès qu'une petite - ou une grande - responsabilité leur échoit.

D'abord, dans mon enfance.
Je me souviens d'un camarade de classe, Luc. Il était un des rares qui me fichait la paix, et je dirais même qu'on était copains comme cochons.
Mais.... Un jour j'intégrai les scouts, et Luc était mon chef de patrouille. Là, ce n'était plus la même chanson, je devais certes lui obéir là-bas (la discipline est le force des armées heu, du scoutisme, mais à l'école, là aussi il prenait des airs supérieurs... Dans la cour de récré, bien sûr, car en classe, mon statut de prix d'excellence me procurait une trêve à cet égard.

Plus tard, ce sera à l'armée.
Même topo, pendant les classes, nous sommes tous dans la même chambrée, et partageons tout. Essayant de nous protéger le plus possible des "gradés".
Mais ensuite arrive "le peloton". C'est à dire un mois pour essayer de monter en grade. Moi j'ai fait ce que j'ai pu pour rester "2ème pompe", j'ai merdé exprès dans certaines épreuves, mais j'ai fini par me retrouver caporal-chef.. !
Le pire ce sont ceux qui sont arrivés sergents. Je dois dire que pendant mon service, si les "sergents ordinaires", les engagés (correspondant au niveau BEPC) étaient disons, corrects, les sergents appelés étaient tous infâmes avec nous. Leur chevron doré leur montait à la tête, et j'en ai même vu certains qui collaient des punitions aux 2ème classes, des appelés comme eux !
Bon, c'est vrai que c'est parmi ceux-là qu'on recrutait le plus.... Ils ont déjà de bonnes "bases" ;-)

Puis ce fut dans la vie professionnelle.
4 exemples.

Toujours le même processus : un collègue qui devient chef. 4 histoires, 4 façons différentes.

D'abord à la station de l'aéroport de Grenoble. Quand je suis arrivé, en 1975, l'équipe était soudée, sous la direction d'un Monsieur, Marchini pour ne pas le nommer, qui fut je pense un des meilleurs chefs que j'ai eus de toute ma carrière. Mais monté en grade il dut partir, remplacé par un de nous qui lui aussi monta en grade par la même occasion.
La tyrannie totale : Tableaux de service connus 5 jours à l'avance (sympa pour prévoir quelque chose...), interdiction absolue de se remplacer, d'écouter la radio, de boire de la bière... ll en dégoûtera beaucoup, qui partiront, et au final, une lettre du personnel le fera dégager au début des années 80.

Second exemple : ma pomme.
Bombardé Directeur Départemental dans la profession que j'ai épousé par vocation, dans mon département de prédilection (la Lozère), j'avoue qu'au départ je me suis pris la grosse tête.
Non pas avec mes deux "collaboratrices" (mes collègues d'avant) mais à l'extérieur. C'est à dire que partout où je passais, je veillais à glisser que dans mon boulot, le chef, c'était moi...
Parmi mes voisins, amis, dans ma famille.
C'est vrai, ce n'était pas méchant.

Pire allait être mon successeur, dont j'ai parlé très souvent ici, sous le joli nom de "tortionnaire".
Un mec que tout le monde s'accordait à trouver "bon vivant et sympa" tant qu'il était technicien, mais qui passé ingénieur (on se demande comment, comme le disait souvent Nathalie) et donc chef, non seulement lui est monté à la tête mais a déclenché chez lui le gêne de la tyrannie, qui devait sommeiller depuis sa naissance. Ma seconde collègue n'a fait ni une ni deux, quand elle a vu ça, elle a demandé sa mutation. Elle pouvait. Pas les deux autres, Nathalie et moi, pour des raisons évidentes.

Il a tout de suite vu la faille, et de ce jour a complètement chamboulé la façon de travailler, interdit qu'on prenne désormais nos repas de midi à l'extérieur, viré nos armoires pour les remplacer par des mini-casiers, et bien sûr instauré des réunions-réquisitoires où chacun en prenait selon son grade.
Pour finir par une lettre à la direction pour exiger le départ de Nathalie ! Et donc notre arrachement.

Sautons quelques années, on arrive à Biarritz.
Le chef de l'époque était un mec assez antipathique mais qui dans l'ensemble nous fichait une paix royale. Ce chef était pourtant haï de l'équipe que je venais d'intégrer. Alors qu'un collègue, Daniel, faisait des trucs inimaginables : Il achetait sur e-bay des marchandises, qu'il revendait plus cher sur un autre site. Mais, à partir du boulot, et il stockait tout sur le lieu de travail...
Nous ça nous faisait marrer, le chef s'en fichait.
Mais le chef en question a eu l'opportunité d'aller en Outre-Mer, et n'a pas été remplacé. Même chose qu'à Mende, c'est quelqu'un de l'équipe qui devait prendre sa place. Là c'est encore ma pomme qui étais désigné. De par mon grade, le plus élevé de l'équipe.
Mais le collègue e-bayeur était là depuis 23 ans, et avait rêvé toute sa vie d'être calife à la place du calife. Et quand il me demanda si ça m'intéressait, je répondis que je ne voulais plus avoir aucune responsabilité dans une boîte qui avait laissé persécuter deux personnes pendant 3 ans et demie sans broncher.
Alors, ayant le feu vert, il nous raconta ce qu'il allait faire : Biarritz devait être le paradis sur Terre. Nous aurions chacun notre ordi. On allait repeindre entièrement les lieux. Il commanderait un lave-vaisselle !
Mais, quand il fut désigné, nous dûmes vite déchanter. D'abord il se fit poser un immense aquarium dans son bureau. Puis céda aux cartes de visite flatteuses : Mr. Daniel L.... Chef du Centre de Biarritz. Il imposa la "qualité", qu'on ne nous demandait pas. Et surtout, surtout, nous interdit de surfer sur le Net à partir du bureau !!!
Le clash avec lui se produisit le 26 octobre 2005. Alors qu'il était absent (il était de plus en plus absent, l'avantage d'être chef....) France 2 débarqua avec ses caméras et c'est moi qui dus le remplacer.
Dès lors il m'en voudra à mort... Je lui avais piqué son passage télé !!!!

Enfin, nettement plus insignifiant, plus récemment, dans le village, une dame qui était très cool avec tout le monde, qui me tutoyait, est arrivée présidente d'une association. A partir de là, le melon. Par exemple, lors des voeux du maire, toutes les femmes me firent la bise, sauf elle, vu que je faisais partie de l'association ! Et j'eus droit à un "vous" qui me glaça...

Certes, les différents "melons" que je cite ici n'ont pas tous le même ordre de grandeur... Qu'une dame que finalement je ne connais que peu me dise vous et ne me fasse pas la bise, ça n'est pas comme des chefs qui vous poussent à partir, et qui déchirent des couples.

Mais hélas, ce phénomène est quasi-général. Le fait d'avoir une quelconqe responsabilité, petite ou grande, dans quelque domaine que ce soit, vous fait prendre la grosse tête et souvent changer d'attitude avec les gens que vous côtoyez. Regardez bien autour de vous...

C'est humain, et on ne pourra hélas pas le changer.

Je vous embrasse.

 

 

12:40 Publié dans psy | Lien permanent | Commentaires (7)

28/03/2012

Comment s'appellent les villageois du Doubs ?

Ca c'est typique d'une "note d'été" ! Je verrais très bien Jean-Pierre Pernaut présenter un tel sujet.

Mais c'est assez marrant, pour certains villages, avec des noms d'animaux.

Ainsi les gens d'Arbouans se nomment... les Ours !

• ceux de Bouverans les Vairons.

• ceux de Cernay-l'Eglise les Fourmis.

• ceux d'Echay, les Coucous.

• ceux d'Ouhans, les Loups (et fier de l'être !)

• ceux de Métabief les Chats Gris.

• ceux de St Antoine les Chats Borgnes !

Je vous embrasse.