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03/12/2011

Opération Témesta

Après mon succès face à l'Atarax, où j'étais passé de 200 mg à 0 en 5 mois, place désormais au plus dur : le Témesta.

Si l'Atarax était lié à un stress au boulot, il n'en est pas de même pour le Témesta, car je prends celui-ci depuis près de 40 ans. Horaires décalés obligent....

La posologie était variable, entre 1 et 5 mg. Mais disons que la "normale" a été le plus souvent de 2.5 mg, le petit comprimé jaune.

Comme pour l'Atarax, je vais procéder par paliers successifs :

• en décembre, je vais diminuer ma dose de 10%, en passant de 5 à 4.50 mg.

• en janvier ce sera de 11.1 % en passant de 4.50 mg à 4.

• en février ce sera de 12.5 % en passant de 3.50 mg à 3.

• en février ce sera de 8.3 % en passant de 3 mg à 2.75.

• Enfin en mars, ce sera de 10% en passant de 2.75 à 2.5.

Là je m'accorderai une petite pause, avant d'entamer une nouvelle descente.

Je dois le dire, ce ne sera pas facile !

L'avant-dernière nuit je me suis réveillé à 3h du mat, et j'ai dû prendre un somnifère léger pour me rendormir.

La nuit dernière, du mieux, c'est à 6h30 que je me suis réveillé, et j'ai attendu 7 h pour sortir des draps.

Bien entendu, comme pour l'Atarax, je vous tiendrai au courant.

Je vous embrasse.

10:15 Publié dans moi, psy | Lien permanent | Commentaires (2)

02/12/2011

Vol magique

Image (12).jpg

Je pars
Le vol de nuit s'en va...

Nous étions arrivés très tôt et de ce fait j'avais pu avoir un hublot, ne donnant pas sur les ailes.
J'avais choisi le côté droit pour avoir la vue vers le sud, si jamais le ciel était clair.

Il le sera, tout au long du parcours.

19h40 (heure française), décollage. Le spectacle du Pont Vasco de Gama où passe l'auroroute est déjà magique. Même si je n'ai pas choisi le bon côté pour voir Lisbonne.

J'ai tout sur moi : ma montre qui me donne à la fois l'heure et l'altitude et qui en plus fait boussole !
Plus ma carte Michelin Europe et un rapporteur ! Oui, je sais je suis maniaque en avion !

Pendant la première heure, on sent que la péninsule Ibérique est quasi-désertique. J'arrive quand même à un moment donné à distinguer Madrid, l'altitude de 12.000 m permettant de voir jusqu'à 400 km !!
Depuis le départ ma boussole indique le cap 060 degrés soit est-nord-est. Je n'ai qu'à tracer un trait sur ma carte pour voir par où on va passer.  Mais Bâle étant quand même plus au Nord, je sais qu'à un certain moment il faudra "tourner à gauche".


• 20h40, repère 1 sur la carte. Après avoir survolé des contrées avec de temps en temps des lumignons éparpillés, des lumières de plus en plus nombreuses apparaissent. J'ai d'abord du mal à distinguer, mais d'après mon trait, ce ne peut être que Lourdes que nous survolons.

Puis, progressivement, je vois de plus en plus de villes. Des petites, des moyennes, jusqu'à l'horizon. Mais rien de très important.

• 20h50. Le choc. Nous passons au-dessus de Toulouse. Repère 2 sur la carte. Magnifique, Toulouse vu à 12.000 mètres ! On distingue nettement la courbe de la Garonne et le Périphérique...

Quelques minutes après, c'est Albi, on suit toujours la fameuse ligne. Et au-delà d'Albi, je vois d'autres villes : Castres, Carcassonne, Narbonne, Béziers !!!

Un peu après, c'est Millau, à la forme si caractéristique. Et au-delà, je vois distinctement les villes du littoral, de Perpignan à Montpellier.

Bing !
Il nous reste quand même plus de 500 km à faire, mais le cadran de mon altimètre m'annonce que la descente est déjà entamée. Elle sera d'à peu près de 150 mètres/minute, régulière...

• 21h05, autre choc. Repère 3.
Je l'avais prévu sur ma carte, c'est bien Mende que je vois en-dessous de moi. Dieu que ça s'est agrandi.... Je distingue le rond des boulevards de ceinture et la route vers la "banlieue" nord-ouest, toujours très éclairée.
Et au-delà, des villes "fétiches", comme Alès et Nîmes.  Avec toujours en toile de fond cette ceinture lumineuse du littoral... Comme le faisait remarquer Carla, le Golfe du Lion se distingue assez bien, de Toulon, très loin, à Perpignan en passant par Marseille (énorme) et Montpellier.

Mais ce qui me surprend, c'est toujours cette direction est-nord-est.... On fonce droit vers le Mont-Blanc, bien plus au sud que Bâle (même si on le voit des alentours de cette ville - cf ma note "photos").

C'est à présent la Vallée du Rhône que nous apercevons. Les villes s'enchaînent, petites et grandes : la plus proche est Valence, mais on distingue Montélimar, Orange, Avignon.... J'ai bien pris des photos mais elles ne donnent rien, hélas...  On survole Valence à 21h20, à 9.000 m d'altitude.

• 21h30, amorce de virage vers la gauche (repère 4)
J'ai juste le temps de voir Grenoble en forme de triangle. Rien derrière, les villes sont à présent nichées dans des fonds de vallée.

Chambéry est survolée quelques minutes plus tard, à une altitude de 6.500 m. On distingue à ce niveau de vol beaucoup plus de choses, notamment les places.

Puis c'est Annecy, chose confirmée par le co-pilote. Au loin de moins en moins de lumières, les Alpes cachent tout.

• 21h45, nous survolons Genève (repère 5) à 4500 m d'altitude. Le littoral du Léman est très visible. Mais rien d'autre au-delà, car déjà, nous arrivons au-dessous des sommets des Grandes Alpes Valaisannes et Bernoises.

• Quelques minutes plus tard, c'est Pontarlier !!! (Repère 6) La forme de la ville (une sorte de fourche) est très facile à reconnaître, surtout 2000 m au-dessus ! Il faudra que je sorte, les lundis, mercredis et vendredis vers 21h50 pour essayer d'entendre un avion....

• Toujours plus bas, et sur les coups de 22h, c'est l'immense agglomération de Belfort-Montbéliard (repère 7) survolée à environ 1000 mètres.  On a l'impression de faire du rase-mottes !

• Puis c'est Mulhouse (repère 8) d'où j'arrive à lire les enseignes des hypermarchés !!

On descend encore, les voitures deviennent très visibles, les gens aussi. Y ayant travaillé en 2007, je sais que l'on va passer au-dessus de la voie ferrée avant d'amorcer l'entrée de piste.

22h10, on est posés, à l'heure.

Bravo, Easy Jet !

Et surtout Merci...

Je vous embrasse.

A présent, EDF ne se contente plus de se f... de ses clients, elle les tue !

Oui, indirectement, je ne vois pas un employé de cette noble institution payé par nos impôts arriver kalashnikov à la main pour tuer l'usager... Non !

Pour moi ça fait déjà 3 mois que cette noble entreprise d'état (enfin en partie) me fait lanterner avec ses deux filiales : ERDF et le Consuel.

Mais bon, si ça fait déjà 6 mois que je rembourse 200 euros de crédit pour mes panneaux photovoltaïques (12% de notre revenu de retraités) bloqué par ces hydres anonymes, je suis encore en vie, c'est déjà ça !

Car j'ai pu lire ce matin :

Sans titre.jpg

On vit une époque formidable, vous ne trouvez pas ?  Orléans qui avec son "papy Voise" manipulé  avait fait passer le Pen au premier tour !!!!
L'Histoire a de ces retournements...

Bon, je file m'expliquer avec les impôts, qui me réclament 54 euros de "forfait journalier" pour les 3 jours où ma femme était en coma articifiel à Dole.

Je vous embrasse

22/11/2011

A jeudi 1er !

Je pars demain pour Lisbonne. Séjour d'une semaine dans une des villes les plus magnifiques d'Europe (pour moi Rome est très pâle à côté...).

Peut-être aurai-je l'occasion de venir vous faire un petit coucou dans un cyber, j'en connais quelques-uns là-bas.

Portez-vous bien en attendant.

Je vous embrasse.

19/11/2011

La Justice en train de dérailler ?

D'abord, il y a eu cette affaire :

www.pacte2012.fr/video.html

OK, ça pouvait être un cas isolé.

Mais aujourd'hui, on apprend que l'assassin d'Agnès (13 ans) laquelle a été violée, puis sauvagement assassinée avant que son corps soit entièrement brûlé, avait déjà violé une autre jeune fille en août 2010, avait été mis pendant 4 mois en détention provisoire, puis.... relâché avant d'être jugé !!!

J'ai vu le témoignage de la mère de la jeune fille en question, ça vous prend aux tripes.

 

Mais ce n'est hélas pas fini...

Un truc qui, le 29 octobre, est passé en catimini :

La cour d’appel de Douai (Nord - Pas-de-Calais) a décidé de revoir à la baisse l’indemnisation des personnes exposées à l’amiante. Après de nombreux rebondissements judiciaires, il apparaît que 300 personnes de la région vont certainement devoir rembourser des sommes allant de 5.000 à 15.000 €. Pour rendre sa décision, la cour d’appel s’est appuyée sur un arrêt de la Cour de cassation, daté d’automne 2009. Saisie par le Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante (Fiva), la juridiction avait décidé de diminuer de moitié le barème des indemnisations. Un jugement qui oblige donc les personnes exposées à l’amiante, et compensées avant cette date, à rembourser une partie de l’argent qu’elles ont reçu. L’ordonnance est cette fois irrévocable.

 

Difficile à digérer. Notamment pour Pierre Pluta, président de l’Association régionale de défense des victimes de l’amiante. « C’est dramatique pour de nombreuses victimes qui ont attendu des années pour une indemnisation juste. Elles vont se retrouver devant de grandes difficultés financières en plus de leurs problèmes de santé », affirme-t-il sous la colère. Pour Martine Lecerf, du Comité amiante prévenir et réparer, la déception est immense. « C’est ahurissant ! Comment fait-on pour annoncer cela aux victimes ? On ne sait pas encore dans combien de temps le Fiva va leur demander de rembourser. Tout ce que l’on sait, c’est qu’on divise leurs indemnisations par deux, je bous de colère et de haine », déclare-t-elle aux bords des larmes. Pour faire part de leur incompréhension et exprimer leur mécontentement, les victimes devraient prochainement organiser diverses manifestations. Pas sûr que cela ne change grand-chose pour autant.

(source "France-Soir")

La morale fout le camp. Que vont retenir nos enfants ? Nos politiques ne sont plus crédibles, vu qu'ils sont tous sous la coupe de la grande Finance via les agences de notation.

Notre Justice tend à ne plus l'être. Outreau ne leur a pas servi de leçon, ça continue, encore et encore...

Je sais qu'en guise de commentaires je vais avoir une roue de bicyclette, car j'ose "critiquer des décisions de justice" et peu prendront le risque de se mouiller là-dedans en me commentant.

Pas grave, je sais que cette note sera lue, et c'est bien là le principal.

Je vous embrasse.

18/11/2011

Monty chef du gouvernement en Italie !


(c'est du vécu ;-)..... !)

Je vous embrasse

16/11/2011

Je commence à y voir plus clair

J'avais, depuis quelques mois déjà de gros problèmes de vue.

Visiblement mes lunettes n'étaient plus adaptées à ma vue. Et, de plus en plus, en dehors de la conduite, je les enlevais. La dernière : en septembre dernier, j'ai participé, chez ma fille, à un jeu sur internet - branché sur sa télé -, et bien j'avais carrément enlevé mes lunettes, j'y voyais mieux !

Quand je conduisais, je n'arrivais pas à lire l'heure ! C'était ou de près ou de loin.
Du reste j'avais de plus en plus de mal à conduire...
Quand je parlais à quelqu'un, si celui-ci était à moins d'un mètre, je faisais des grimaces pas possibles !

Bien entendu, depuis que je suis en retraire (mars) j'ai pris rendez-vous chez l'ophtalmo. Je ne suis pas inconscient. C'est prévu pour.... février 2012 !!!

 

Et voilà-t'y pas que, vendredi dernier, je cherche mes lunettes.

Ce n'est pas du tout la première fois que ça m'arrive, c'est environ tous les deux jours. Parfois c'est dans les WC, parfois sur ma table de nuit, souvent près de mon ordinateur, parfois sur le buffet du salon, parfois même... dehors !
A Biarritz il m'est arrivé par exemple de les chercher en sortant du boulot pendant une bonne demie-heure !

Mais là c'était plus sérieux. J'ai cherché minutieusement pendant toute la journée, mon épouse aussi. Il fallait se rendre à l'évidence, elles avaient disparu. Je n'accuserai cette fois pas ici mon épouse, comme je l'avais fait pour Internet, mais enfin, il n'y a pas 36 solutions possibles !

Direction alors les lunettes "de secours" dans la voiture.

Lunettes "ray-ban", datant quand même de 1993. Pas évident de les mettre d'ailleurs car c'est elles que j'avais quand j'étais avec Nathalie...

Bref, une fois chaussées, surprise ! J'y voyais nettement mieux....

J'arrivais à parler aux gens sans tordre le nez. J'arrivais à conduire en lisant l'heure !!! Bref, ces lunettes de 1993 étaient tout à fait adaptées à ma vue 2011.

Le samedi, je fonce chez l'opticien et lui commande une nouvelle paire de lunettes avec les mêmes verres que mes Ray-Ban. L'opticienne était sceptique, mais quand je lui ai récité son tableau de lettres dès la première ligne, elle a capitulé.

Bref, je n'ai plus du tout besoin de visite chez l'ophtalmo (je garde quand même le rendez-vous, on se les repasse entre voisins ! Si, si, je n'invente rien !) et il a fallu "ce coup du sort" pour que finalement je commence à y voir nettement plus clair !

Je vous embrasse

 

15/11/2011

Les 50 interprètes des années 63 à 74 selon SLC : Michel POLNAREFF - II

Polnareff n'a pas de chance, il n'a pas eu droit aux dimanches. mais mieux vaut tard..., n'est-ce pas ?
D'autant que 69 d'entre vous ont lu le Tome I, alors je m'en voudrais de les décevoir.

On l'avait laissé fin 1971, alors qu'il collectionnait les numéros un.

En février 72, il va faire de nouveau un carton. 24 semaines de présence dans le hit, avec un numéro 1 à la clé (le dernier avant plus de 5 ans) en mai, j'ai nommé Holidays.

Le disque de septembre (sa production s'espace de plus en plus) on ira tous au paradis manquera de peu la 1ère place en novembre.

Et en 1972, avec l'arrivée d'une nouvelle vague de chanteurs et de groupes  (Ringo Willy-Cat, Séverine, Véronique Sanson, Vicky Léandros, Patrick Juvet, Frédéric François, Richard Cocciante, Christian Delagrange, Pierre Groscolas, Michel Jonasz, Michel Berger, Art Sullivan, Pierre charby, Crazy Horse, Yves Duteil, Serge Fouchet, Il était une fois, etc) Polnareff rétrograde à la 13ème place.

Juin 1973, sortie de I love you because, qui n'arrivera qu'à la 11ème place à l'été.

Eté où il découvre que son homme de confiance l'a trompé, qu'il est non seulement sans le sou mais devant une somme énorme au fisc, Polnareff pensant être en règle de ce côté-là. Sa mère meurt à ce moment-là, Michel fait alors une grave dépression, et part aux USA après une cure de sommeil.
Pas n'importe comment : avec le paquebot France, dont ce sera l'un des derniers voyages.

Pas de disque en 1974.

Sur la période 1963/1974, Polnareff est à la 10ème place, 7ème chanteur français.

Et ensuite ?

Sa carrière sera loin d'être finie.
D'abord, en janvier 1975, il sort sous label américain Tibili, aussitôt classé, mais ne dépassant pas la 7ème place en février.

So long beauty fera mieux, 3ème en décembre.

Pour 1976, un disque que j'estime raté, fame à la mode. Il ne sera que 21ème en février.

Les français le boudent, ignorant les vraies raison de son exil fiscal.
Alors, en 1977, il va leur écrire une lettre. En chanson. Lettre à France, sorti en mai, il arrive 11ème vente de disques en juillet, 3ème en août, 4ème en septembre. 


Pour lui, c'est un signe : il est encore aimé par les siens, et revient au pays en 1978. En leur expliquant encore pourquoi, toujours en chansons, dans j'ai tellement de choses à dire. Disque qui ne marchera pas, boudé par les radios. Du coup il arrête tout.

Jusqu'en 1981 où il enregistre l'album bulles. Succès triomphal. Le 45 tours Tam tam arrive 7ème des ventes en août. Notons parmi cet album je t'aime, radio, bulles...

Trois ans encore se passent avant l'album Incognito d'où est extrait le single viens te faire chahuter, sorti à l'été 1984.
Puis la belle veut sa revanche, non classé.

En 1985 c'est dans ma rue, toujours dans le même style, toujours non classé.

En 1986 sur un seul mot de toi, encore non classé.

Nouvelle pause de trois ans, et là, ça remarche ! Une chanson que les internautes devraient écouter, qui date pourtant de 22 ans, Goodbye Marilou :

Quand l'écran s'allume je tape sur mon clavier
Tous les mots sans voix qu'on se dit avec les doigts
Et j'envoie dans la nuit / Un message pour celle qui
Me répondra OK pour un rendez-vous

Quand j'ai caressé son nom sur mon écran
Je tape Marylou sur mon clavier
Quand elle se déshabille / Je luis mets avec les doigts
Message reçu OK code Marylou

Quand la nuit se lève et couche avec le jour
La lumière vient du clavier de Marylou
Je m'envoie son pseudo / Mais c'est elle qui me reçoit
Jusqu'au petit jour on se dit tout de nous...

Non, Mr Gates, vous n'avez rien inventé !
Cette chanson sera 8ème au top 50 le 20 octobre 1989.

Le single suivant, toi et moi, sera également classé. 21 ème le 25 février 1990.

Idem pour Kama sutra, 21ème également, le 28 octobre.

Encore une longue traversée du désert pour le chanteur, qui va durer plus de 8 ans.

Interrompue en 1999 par Je rêve d'un monde, entrée directement n°7 le 30 mai ! Non, Polnareff n'est pas mort. Même s'il se classe tous les 7 à 8 ans...

Car ce ne sera qu'en 2006 qu'on reverra Polnareff dans le top avec Ophélie flagrants délits, 20ème le 22 décembre.

Belle carrière quand on y pense, même si on ne peut s'empêcher de penser que vers la fin, Pascal Obispo - qu'il déteste cordialement - l'a pas mal aidé....

A la semaine prochaine (si Orange est d'accord) pour un autre de mes grands chouchous : Dick Rivers.

Je vous embrasse.

photos !!

D'abord  Epinal, une maison de 1600 que j'adore, mise en valeur par les éclairages :

DSCN0409.JPG

Puis le lendemain au ballon d'Alsace. Superbe vue, avec le Jura droit devant, et une chaîne de montagnes derrière :

DSCN0412.JPG

Dessous, les nuages avaient 500 m d'épaisseur. Ils commençaient à 400 m d'altitude et leur sommet était à 900. Mais la chaîne de montagnes derrière ? Zoomons et contrastons :

DSCN0414a.jpg

300 km d'Alpes de la frontière Italo/Autrichienne jusqu'au Mont Blanc. Voire plus ? J'ai un petit doute au sujet de la Vanoise mais sans preuve. Bref, à plus de 200 km de distance, grâce à la limpidité de l'air et à la réfraction (et à Orange, aussi..), j'ai pu saisir ce panorama que j'ai cherché environ 50 fois dans ma vie depuis les années 80 ! On m'avait dit qu'on voyait bien les Alpes depuis les Vosges, j'avais effectivement vu des photos éblouissantes, mais là j'en étais le témoin !!!!

Pour finir, une photo-carte postale :

DSCN0425.JPG

Sous le soleil, la "côte" que vous voyez est la chaîne du Ballon d'Alsace.

Quand à ce qu'il y a au loin, sur la gauche, je vous laisse le soin de deviner, sachant qu'à cette époque le soleil se couche au sud-ouest !

Mais oui, c'est bien ça... :)))

Allez, on termine par une petite dernière :

DSCN0424.JPG

 

Je vous embrasse

14/11/2011

Me revoilà...

D'abord, mes excuses plates à mon épouse.

Il est vrai que le moment où ma livebox a fait "tilt" et le moment où mon épouse a fait sortir les fils du téléphone ont coïncidé.

J'ai tenté, via mon portable ORANGE (le seul qui passe chez moi) d'appeler la hotline.  En ce 11 novembre, c'était "votre temps d'attente est estimé à plus de 10 minutes". Ce qui ma foi ne veut rien dire...

Enfin, vers 21h, j'ai pu avoir un conseiller. Il paraît qu'ils s'appellent comme ça.

Il m'a fait faire un tas de manips, en a fait lui-même (m'a-t'il dit) pour, au bout de 25 mn, que "pour lui tout était OK, que ça venait de mon installation téléphonique".

Ce qui me confortait dans mon idée.

Il m'a programmé une "intervention de technicien" pour demain, "entre 13 et 18h", pour la modique somme de 149 euros.

Samedi 12, mon épouse me demande si on ne pourrait pas s'échapper un peu, pour un ou deux jours ? Elle me connaît par coeur, et sait que la Toile est un peu pour moi un fil à la patte. Mais là, plus de fil !

Alors bingo ! Le temps était superbe, on a confié le chat à des voisins, et direction Besançon. Là, arrêt dans un cybercafé pour prévenir "tout le monde" de mon silence, puis direction plein nord.

J'avais prévu de coucher à Luxeuil, superbe ville, dans un petit hôtel que je connaissais, sympa et pas cher. Mais apparement je n'étais pas le seul à connaître l'adresse, c'était complet.

Je pense alors à Plombières les Bains. Oui, j'ai toujours adoré les stations thermales... De là, le lendemain on passerait le col de Bussang et on reviendrait par l'Alsace.

Mais à Plombières, tout était fermé :(.

ll était 16h, le jour commençait à décliner et comme je ne conduis pas la nuit, je commençais à paniquer sec. D'autant que mon hernie discale recommençait à faire parler d'elle...
C'est un panneau EPINAL 38 qui me donna la solution : Dormir là-bas, au "Quick Palace", où j'avais passé la moitié de mon été voici deux ans.

Et là je fonce, regardant le soleil qui tombait, tombait.... Et c'est au moment où il se couchait que j'arrivais dans la Cité de l'Image.

Hôtel ouvert, bingo ! Mais il fallait attendre 17h...

Au passage, je remarquais que le Restaumarché juste à côté avait disparu, remplacé par une autre enseigne des mousquetaires. Même salle, mêmes menus. Juste le prix du menu de base qui était passé de 10.50 à 12.90 !!!

Bref, tant qu'on était dans les restaurants, j'avais avec moi un petit guide miracle (Passeport gourmand) qui permettait de prendre un repas à moitié prix en Alsace. Je réservai pour le lendemain midi à Colmar.

17h, arrivée de la réceptionniste, prise de possession de la chambre (toujours extra) et direction "en bas", la ville d'Epinal que je connaissais presque par coeur. DSCN10233.jpgEpinal était encore plus belle en cette période que pendant l'été. 

Les décors de Noël étaient déjà en place, et j'eus même la surprise de voir... un sapin illuminé !! Un 12 novembre, fallait le faire... Mais cela allait très bien avec l'atmosphère, cette atmosphère particulière de décembre.

Nous n'eûmes aucun mal à trouver un resto, cette ville en regorge.

Je dois le confesser : mon dos me faisait de plus en plus mal, et c'est très péniblement que je parcourus (en voiture quand même) les 3 km qui me menaient à l'hôtel.

Le lendemain je me réveillai à 10h, juste le temps d'aller à Colmar. Le crachin avait remplacé le soleil de la veille, et c'était pareil en Alsace. Entre les deux, soleil et monde fou. Les bords du lac de Gérardmer étaient aussi fréquentés qu'en plein été.

Après le repas Colmarien à demi-tarif, direction les crêtes Vosgiennes, car je savais que le paysage y serait fabuleux. Je ne m'étais pas trompé (demain photos), et on s'y attarda tellement que nous passâmes la nuit en route. Dans un Formule 1 de Belfort. Mon dos me faisait toujours mal, mais ça passait après.

Ce matin, direction la maison, où nous retrouvons notre chat, où je retrouve mon PC. Que j'allume, en même temps que la Livebox.

Et celle-ci se met à fonctionner !!!!

Je saurai dans l'heure qui suit que vendredi et samedi, personne n'avait d'Internet autour de moi... Problème Orange. Orange que j'ai appelé illico pour annuler leur dépanneur à 149 euros, et dont la pauvre "conseillère" que j'ai eu en a pris plein la tronche.

Puis j'appelai le CONSUEL EDF pour savoir quand il viendrait, quand l'électricité que mon toit produit depuis 5 mois finirait enfin par aller dans le réseau, lequel m'a répondu que des pièces manquaient à mon dossier.... Voir note précédente !

La séance de kiné prévue à 16h30 m'a remis le dos en place, et me voilà face à mon clavier.

Jusqu'à la prochaine panne...

Je vous embrasse.