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18/11/2011

Monty chef du gouvernement en Italie !


(c'est du vécu ;-)..... !)

Je vous embrasse

16/11/2011

Je commence à y voir plus clair

J'avais, depuis quelques mois déjà de gros problèmes de vue.

Visiblement mes lunettes n'étaient plus adaptées à ma vue. Et, de plus en plus, en dehors de la conduite, je les enlevais. La dernière : en septembre dernier, j'ai participé, chez ma fille, à un jeu sur internet - branché sur sa télé -, et bien j'avais carrément enlevé mes lunettes, j'y voyais mieux !

Quand je conduisais, je n'arrivais pas à lire l'heure ! C'était ou de près ou de loin.
Du reste j'avais de plus en plus de mal à conduire...
Quand je parlais à quelqu'un, si celui-ci était à moins d'un mètre, je faisais des grimaces pas possibles !

Bien entendu, depuis que je suis en retraire (mars) j'ai pris rendez-vous chez l'ophtalmo. Je ne suis pas inconscient. C'est prévu pour.... février 2012 !!!

 

Et voilà-t'y pas que, vendredi dernier, je cherche mes lunettes.

Ce n'est pas du tout la première fois que ça m'arrive, c'est environ tous les deux jours. Parfois c'est dans les WC, parfois sur ma table de nuit, souvent près de mon ordinateur, parfois sur le buffet du salon, parfois même... dehors !
A Biarritz il m'est arrivé par exemple de les chercher en sortant du boulot pendant une bonne demie-heure !

Mais là c'était plus sérieux. J'ai cherché minutieusement pendant toute la journée, mon épouse aussi. Il fallait se rendre à l'évidence, elles avaient disparu. Je n'accuserai cette fois pas ici mon épouse, comme je l'avais fait pour Internet, mais enfin, il n'y a pas 36 solutions possibles !

Direction alors les lunettes "de secours" dans la voiture.

Lunettes "ray-ban", datant quand même de 1993. Pas évident de les mettre d'ailleurs car c'est elles que j'avais quand j'étais avec Nathalie...

Bref, une fois chaussées, surprise ! J'y voyais nettement mieux....

J'arrivais à parler aux gens sans tordre le nez. J'arrivais à conduire en lisant l'heure !!! Bref, ces lunettes de 1993 étaient tout à fait adaptées à ma vue 2011.

Le samedi, je fonce chez l'opticien et lui commande une nouvelle paire de lunettes avec les mêmes verres que mes Ray-Ban. L'opticienne était sceptique, mais quand je lui ai récité son tableau de lettres dès la première ligne, elle a capitulé.

Bref, je n'ai plus du tout besoin de visite chez l'ophtalmo (je garde quand même le rendez-vous, on se les repasse entre voisins ! Si, si, je n'invente rien !) et il a fallu "ce coup du sort" pour que finalement je commence à y voir nettement plus clair !

Je vous embrasse

 

15/11/2011

Les 50 interprètes des années 63 à 74 selon SLC : Michel POLNAREFF - II

Polnareff n'a pas de chance, il n'a pas eu droit aux dimanches. mais mieux vaut tard..., n'est-ce pas ?
D'autant que 69 d'entre vous ont lu le Tome I, alors je m'en voudrais de les décevoir.

On l'avait laissé fin 1971, alors qu'il collectionnait les numéros un.

En février 72, il va faire de nouveau un carton. 24 semaines de présence dans le hit, avec un numéro 1 à la clé (le dernier avant plus de 5 ans) en mai, j'ai nommé Holidays.

Le disque de septembre (sa production s'espace de plus en plus) on ira tous au paradis manquera de peu la 1ère place en novembre.

Et en 1972, avec l'arrivée d'une nouvelle vague de chanteurs et de groupes  (Ringo Willy-Cat, Séverine, Véronique Sanson, Vicky Léandros, Patrick Juvet, Frédéric François, Richard Cocciante, Christian Delagrange, Pierre Groscolas, Michel Jonasz, Michel Berger, Art Sullivan, Pierre charby, Crazy Horse, Yves Duteil, Serge Fouchet, Il était une fois, etc) Polnareff rétrograde à la 13ème place.

Juin 1973, sortie de I love you because, qui n'arrivera qu'à la 11ème place à l'été.

Eté où il découvre que son homme de confiance l'a trompé, qu'il est non seulement sans le sou mais devant une somme énorme au fisc, Polnareff pensant être en règle de ce côté-là. Sa mère meurt à ce moment-là, Michel fait alors une grave dépression, et part aux USA après une cure de sommeil.
Pas n'importe comment : avec le paquebot France, dont ce sera l'un des derniers voyages.

Pas de disque en 1974.

Sur la période 1963/1974, Polnareff est à la 10ème place, 7ème chanteur français.

Et ensuite ?

Sa carrière sera loin d'être finie.
D'abord, en janvier 1975, il sort sous label américain Tibili, aussitôt classé, mais ne dépassant pas la 7ème place en février.

So long beauty fera mieux, 3ème en décembre.

Pour 1976, un disque que j'estime raté, fame à la mode. Il ne sera que 21ème en février.

Les français le boudent, ignorant les vraies raison de son exil fiscal.
Alors, en 1977, il va leur écrire une lettre. En chanson. Lettre à France, sorti en mai, il arrive 11ème vente de disques en juillet, 3ème en août, 4ème en septembre. 


Pour lui, c'est un signe : il est encore aimé par les siens, et revient au pays en 1978. En leur expliquant encore pourquoi, toujours en chansons, dans j'ai tellement de choses à dire. Disque qui ne marchera pas, boudé par les radios. Du coup il arrête tout.

Jusqu'en 1981 où il enregistre l'album bulles. Succès triomphal. Le 45 tours Tam tam arrive 7ème des ventes en août. Notons parmi cet album je t'aime, radio, bulles...

Trois ans encore se passent avant l'album Incognito d'où est extrait le single viens te faire chahuter, sorti à l'été 1984.
Puis la belle veut sa revanche, non classé.

En 1985 c'est dans ma rue, toujours dans le même style, toujours non classé.

En 1986 sur un seul mot de toi, encore non classé.

Nouvelle pause de trois ans, et là, ça remarche ! Une chanson que les internautes devraient écouter, qui date pourtant de 22 ans, Goodbye Marilou :

Quand l'écran s'allume je tape sur mon clavier
Tous les mots sans voix qu'on se dit avec les doigts
Et j'envoie dans la nuit / Un message pour celle qui
Me répondra OK pour un rendez-vous

Quand j'ai caressé son nom sur mon écran
Je tape Marylou sur mon clavier
Quand elle se déshabille / Je luis mets avec les doigts
Message reçu OK code Marylou

Quand la nuit se lève et couche avec le jour
La lumière vient du clavier de Marylou
Je m'envoie son pseudo / Mais c'est elle qui me reçoit
Jusqu'au petit jour on se dit tout de nous...

Non, Mr Gates, vous n'avez rien inventé !
Cette chanson sera 8ème au top 50 le 20 octobre 1989.

Le single suivant, toi et moi, sera également classé. 21 ème le 25 février 1990.

Idem pour Kama sutra, 21ème également, le 28 octobre.

Encore une longue traversée du désert pour le chanteur, qui va durer plus de 8 ans.

Interrompue en 1999 par Je rêve d'un monde, entrée directement n°7 le 30 mai ! Non, Polnareff n'est pas mort. Même s'il se classe tous les 7 à 8 ans...

Car ce ne sera qu'en 2006 qu'on reverra Polnareff dans le top avec Ophélie flagrants délits, 20ème le 22 décembre.

Belle carrière quand on y pense, même si on ne peut s'empêcher de penser que vers la fin, Pascal Obispo - qu'il déteste cordialement - l'a pas mal aidé....

A la semaine prochaine (si Orange est d'accord) pour un autre de mes grands chouchous : Dick Rivers.

Je vous embrasse.

photos !!

D'abord  Epinal, une maison de 1600 que j'adore, mise en valeur par les éclairages :

DSCN0409.JPG

Puis le lendemain au ballon d'Alsace. Superbe vue, avec le Jura droit devant, et une chaîne de montagnes derrière :

DSCN0412.JPG

Dessous, les nuages avaient 500 m d'épaisseur. Ils commençaient à 400 m d'altitude et leur sommet était à 900. Mais la chaîne de montagnes derrière ? Zoomons et contrastons :

DSCN0414a.jpg

300 km d'Alpes de la frontière Italo/Autrichienne jusqu'au Mont Blanc. Voire plus ? J'ai un petit doute au sujet de la Vanoise mais sans preuve. Bref, à plus de 200 km de distance, grâce à la limpidité de l'air et à la réfraction (et à Orange, aussi..), j'ai pu saisir ce panorama que j'ai cherché environ 50 fois dans ma vie depuis les années 80 ! On m'avait dit qu'on voyait bien les Alpes depuis les Vosges, j'avais effectivement vu des photos éblouissantes, mais là j'en étais le témoin !!!!

Pour finir, une photo-carte postale :

DSCN0425.JPG

Sous le soleil, la "côte" que vous voyez est la chaîne du Ballon d'Alsace.

Quand à ce qu'il y a au loin, sur la gauche, je vous laisse le soin de deviner, sachant qu'à cette époque le soleil se couche au sud-ouest !

Mais oui, c'est bien ça... :)))

Allez, on termine par une petite dernière :

DSCN0424.JPG

 

Je vous embrasse

14/11/2011

Me revoilà...

D'abord, mes excuses plates à mon épouse.

Il est vrai que le moment où ma livebox a fait "tilt" et le moment où mon épouse a fait sortir les fils du téléphone ont coïncidé.

J'ai tenté, via mon portable ORANGE (le seul qui passe chez moi) d'appeler la hotline.  En ce 11 novembre, c'était "votre temps d'attente est estimé à plus de 10 minutes". Ce qui ma foi ne veut rien dire...

Enfin, vers 21h, j'ai pu avoir un conseiller. Il paraît qu'ils s'appellent comme ça.

Il m'a fait faire un tas de manips, en a fait lui-même (m'a-t'il dit) pour, au bout de 25 mn, que "pour lui tout était OK, que ça venait de mon installation téléphonique".

Ce qui me confortait dans mon idée.

Il m'a programmé une "intervention de technicien" pour demain, "entre 13 et 18h", pour la modique somme de 149 euros.

Samedi 12, mon épouse me demande si on ne pourrait pas s'échapper un peu, pour un ou deux jours ? Elle me connaît par coeur, et sait que la Toile est un peu pour moi un fil à la patte. Mais là, plus de fil !

Alors bingo ! Le temps était superbe, on a confié le chat à des voisins, et direction Besançon. Là, arrêt dans un cybercafé pour prévenir "tout le monde" de mon silence, puis direction plein nord.

J'avais prévu de coucher à Luxeuil, superbe ville, dans un petit hôtel que je connaissais, sympa et pas cher. Mais apparement je n'étais pas le seul à connaître l'adresse, c'était complet.

Je pense alors à Plombières les Bains. Oui, j'ai toujours adoré les stations thermales... De là, le lendemain on passerait le col de Bussang et on reviendrait par l'Alsace.

Mais à Plombières, tout était fermé :(.

ll était 16h, le jour commençait à décliner et comme je ne conduis pas la nuit, je commençais à paniquer sec. D'autant que mon hernie discale recommençait à faire parler d'elle...
C'est un panneau EPINAL 38 qui me donna la solution : Dormir là-bas, au "Quick Palace", où j'avais passé la moitié de mon été voici deux ans.

Et là je fonce, regardant le soleil qui tombait, tombait.... Et c'est au moment où il se couchait que j'arrivais dans la Cité de l'Image.

Hôtel ouvert, bingo ! Mais il fallait attendre 17h...

Au passage, je remarquais que le Restaumarché juste à côté avait disparu, remplacé par une autre enseigne des mousquetaires. Même salle, mêmes menus. Juste le prix du menu de base qui était passé de 10.50 à 12.90 !!!

Bref, tant qu'on était dans les restaurants, j'avais avec moi un petit guide miracle (Passeport gourmand) qui permettait de prendre un repas à moitié prix en Alsace. Je réservai pour le lendemain midi à Colmar.

17h, arrivée de la réceptionniste, prise de possession de la chambre (toujours extra) et direction "en bas", la ville d'Epinal que je connaissais presque par coeur. DSCN10233.jpgEpinal était encore plus belle en cette période que pendant l'été. 

Les décors de Noël étaient déjà en place, et j'eus même la surprise de voir... un sapin illuminé !! Un 12 novembre, fallait le faire... Mais cela allait très bien avec l'atmosphère, cette atmosphère particulière de décembre.

Nous n'eûmes aucun mal à trouver un resto, cette ville en regorge.

Je dois le confesser : mon dos me faisait de plus en plus mal, et c'est très péniblement que je parcourus (en voiture quand même) les 3 km qui me menaient à l'hôtel.

Le lendemain je me réveillai à 10h, juste le temps d'aller à Colmar. Le crachin avait remplacé le soleil de la veille, et c'était pareil en Alsace. Entre les deux, soleil et monde fou. Les bords du lac de Gérardmer étaient aussi fréquentés qu'en plein été.

Après le repas Colmarien à demi-tarif, direction les crêtes Vosgiennes, car je savais que le paysage y serait fabuleux. Je ne m'étais pas trompé (demain photos), et on s'y attarda tellement que nous passâmes la nuit en route. Dans un Formule 1 de Belfort. Mon dos me faisait toujours mal, mais ça passait après.

Ce matin, direction la maison, où nous retrouvons notre chat, où je retrouve mon PC. Que j'allume, en même temps que la Livebox.

Et celle-ci se met à fonctionner !!!!

Je saurai dans l'heure qui suit que vendredi et samedi, personne n'avait d'Internet autour de moi... Problème Orange. Orange que j'ai appelé illico pour annuler leur dépanneur à 149 euros, et dont la pauvre "conseillère" que j'ai eu en a pris plein la tronche.

Puis j'appelai le CONSUEL EDF pour savoir quand il viendrait, quand l'électricité que mon toit produit depuis 5 mois finirait enfin par aller dans le réseau, lequel m'a répondu que des pièces manquaient à mon dossier.... Voir note précédente !

La séance de kiné prévue à 16h30 m'a remis le dos en place, et me voilà face à mon clavier.

Jusqu'à la prochaine panne...

Je vous embrasse.

12/11/2011

coupé du monde !!

Je suis dans un cybercafé a Besançon (QWERTY.....) car hier à 12h57, mon épouse a voulu faire de la poussière et sans le vouloir a arraché (au moins) un fil de l arrivée du téléphone et du coup, plus d internet :(....
Réparation prévue mardi.

Je vous embrasse.

13:58 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (3)

09/11/2011

Bobologie

Décidément, je ne m'en sors pas...

Après avoir écrit ma note "enfin guéri" (de ma bronchite tropicale qui a fichu mes vacances parisiennes en l'air) quelques jours après j'ai ressenti une petite douleur au bas du dos.

Puis, jour après jour, ça s'est étendu, et voici une semaine, je me tordais de douleur sur mon lit.

Je suis - finalement - allé voir le toubib, qui m'a parlé de "cruralgie" et m'a donné des anti-inflammatoires et un anti-douleur puissant, l'Ixprim. Et m'a envoyé passer des radios.

L'Ixprim, c'est efficace mais ça a le don de vous donner la nausée et de vous sentir complètement à côté de vos pompes. Si bien que depuis 8 jours j'ai le choix entre la nausée et un mal de chien. J'attends jusqu'au dernier moment pour prendre cet Ixprim, préférant une douleur modérée à cette sensation nauséeuse. mais quand on passe du modéré à insupportable (Brigitte me comprendra) alors pas le choix.

Pour les radios, il fallait que j'attende 15 jours si je voulais que ça se fasse à Pontarlier. Pour Besançon le délai était plus court, mais la route était bien plus longue. Alors j'ai opté pour une solution intermédiaire : Morteau. On n'y fait pas que de la saucisse, on y fait aussi des clichés (moi aussi d'ailleurs !).

J'en reviens. Après m'avoir passé aux rayons X une douzaine de fois, le verdict est tombé : suspicion de hernie discale. La maladie idéale pour un ex-animateur de radio ;-)
Il faut que j'aille d'urgence faire un scanner ou un(e) IRM pour confirmer.

J'espère que mon voyage à Lisbonne (dans deux semaines) ne sera pas compromis, les "electricos" (tramways) et les plages de Cascais me manquent.

Je vous embrasse

17:51 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (17)

08/11/2011

100.000 pages lues !

J'avais prévu l'évènement pour aujourd'hui ou demain, en étant vers 99.000 et des poussières hier à 0h.

Comme je "tourne" à environ 300/400 pages lues par jour, je m'apprêtais, soit aujourd'hui soit demain à faire une note disant "qui lira ma 100.000 ème page ? "Tout en ne pouvant pas savoir bien sûr qui ce serait, mais vu le chiffre je pourrais savoir à peu près. l'heure

Là c'est raté, pour une raison inconnue, 1007 pages ont été lues hier, et du coup j'ai largement passé la barre ! Tout ce que je peux dire, c'est que ça s'est produit en milieu de journée (600 notes de 0h à l'heure H et 400 notes ensuite).

Merci en tout cas de suivre mon blog si attentivement.

Je vous embrasse

PS : ce qui prouve que, du moins sur ce site, le nombre de visites et de notes lues n'a rien, mais vraiment rien à voir avec le nombre de commentaires.

07/11/2011

Les 50 interprètes des années 63 à 74 selon SLC : Michel POLNAREFF - I

1966 / 1972 : la montée

C'est grâce à Michel Polnareff qu'on va voir la puissance du "matraquage" en radio.

Son premier disque, la poupée qui fait non, était sorti en décembre 1965. On n'en avait jamais entendu parler pendant 4 mois quand SLC décida d'en faire son "chouchou". Le dimanche suivant il était classé n°6 !  Mais il n'ira guère plus loin que la 5ème place...

A partir de là, pendant 3 ans,tous ses disques auront des "doublés". C'est à dire que seront classées 2 chansons sur le disque. Doublé "royal" pour le disque sorti en juin, avec deux numéros 1, love me please love me, premier en août et tube de l'été côté français, et l'amour avec toi n°1 en septembre. A noter que les antennes "nationales" avaient interdit de passage ce dernier titre, jugé trop "porno" (sic). Aucun effet sur le hit parade de SLC, Europe 1 ayant des statuts allemands à l'époque.

En octobre, sortie de sous quelle étoile suis-je né/l'oiseau de nuit. Numéro 3 en décembre pour le 1er, numéro 8 pour le second.

Pour l'année 66, Polnareff se pointe à la 10ème place. Bien pour cette année où une "deuxième vague" de chanteurs arrivera, comme Pascal Danel, Antoine, Joe Dassin, Nino Ferrer, Stone, Eric Charden, Michel Delpech, Jacques Dutronc, les Charlots, etc etc.

1967.

En février sort tatatata/le pauvre guitariste. Le premier frôle la première place en mars (Inch'allah d'Adamo étant imbattable) et le second est 12ème en avril.

Idem pour le disque de mai. Ame Caline n'est battue en juillet que par Sheila (Adios amor) tandis que le saule pleureur est 8ème. Saluons le roi des fourmis qui va rester dans l'"antichambre" (n°26 à 50) pendant 5 mois, jusqu'à octobre !

Un peu moins bien pour la galette de novembre : Mes regrets sera 5ème et dame dame seulement 22ème.

Avec 6 titres classés, Polnareff se hisse au 6ème rang des interprètes français pour l'année.

1968.

Cette année va commencer par un triplé !
5ème place pour le bal de Laze en mars, 8ème pour Y a qu'un cheveu en avril, et la 25ème pour encore un mois encore un an. 3 chansons très différentes, qui attestent de la palette de Michel Polnareff.

Le disque de mai va passer sur les ondes un bon moment. 20 semaines de présence dans le hit pour Jour après jour avec seulement une 7ème place en août, où la pipelette sera 23ème.

Un disque sort en décembre, mais ne sera comptabilisé que pour 1969.

Pour 1968 Polnareff garde sa 6ème place des interprètes.

1969.

Pour le disque sorti en décembre, SLC va passer à côté d'une de ses plus belles chansons pourquoi faut-il se dire adieu, ne classant que Ring a ding (6ème fin avril) et j'ai du chagrin Marie (20ème en février).

Là va commencer une impressionnante série de n°1, qui va durer pendant plus de deux ans !

L'été sera fracassant. Après le tube de l'été 66, il va chanter le tube de l'été 69, avec le disque sorti en avril. Aucune contestation possible - pour SLC tout du moins - pour tous les bateaux tous les oiseaux, 2ème en juin, 1er en juillet et août, 3ème en septembre (et même 7ème en octobre). Tout pour ma chérie restera 13 semaines dans le hit, avec une belle 11ème place. Mais il va revenir n°1 dans les années 2000 dans les spots de pub grâce au Crédit Lyonnais !

Johnny se consolera côté ventes de disques avec son que je t'aime.

Fin temporaire des "doublés", mais place au méga-tube qui va sortir en octobre, qui suffira largement pour la promo du disque : Qu'on en juge : • 32 semaines de présence dans le hit, de mi-novembre à fin juin • 23 semaines dans les 10 premiers, de début décembre à fin mai • 17 semaines sur le podium, de mi-décembre à début avril. Et 3 mois classée n°1, la première  et dernière - fois dans SLC depuis dadou ron ron en 1963, j'ai nommé dans la maison vide.

Pour l'année, Michel arrivera 4ème des interprètes.

1970.

Pas de doublé pour le disque de mars, mais quand même la première place pour un train ce soir.

Pour l'été, de nouveau un doublé.
En juillet, numéro 1 Polnareff avec Gloria, numéro 3 Polnareff avec Je suis un homme !
Gloria piétinera à la seconde place en août avant de s'imposer en septembre. Tube de l'été là encore.
Je suis un homme, après son joli départ, baissera lentement ensuite, mais sera quand même encore présent en novembre !

Avec seulement trois chansons, si haut placées qu'elles soient, Polnareff rétrograde à la 5ème place pour 1970.

1971.

Sortie en janvier, nos mots d'amour restera jusqu'en mai dans les 5 premiers. Numéro un bien sûr, en avril.
Le disque d'été comme Juliette et Roméo ne sera n°1 qu'une seule semaine, la dernière d'août. Mais cette année-là, pas de tube de l'été, la lutte étant farouche entre Le jour se lève (Esther Galil), Pour un flirt (Michel Delpech) et Fais-moi un signe (Gérard Palaprat).

Côté cinéma, pour moi sans conteste 1971 sera la plus belle année, avec notamment Sacco et Vanzetti, Love Story, Doucement les basses, la folie des grandeurs et ça n'arrive qu'aux autres. Polnareff a fait la musique des deux derniers (un chef-d'oeuvre absolu pour la folie) et a sorti une chanson adpatée de ça n'arrive qu'aux autres. Mais, pour la première fois depuis décembre 68, elle ne décrochera que la troisième place. Fin d'un règne absolu qui aura duré 3 ans.

Polnareff profitera de l'éparpillement des chansons et regagnera sa 4ème place pour l'année, avec seulement 3 chansons classées. 1971 sera d'ailleurs l'année des Michel, avec Fugain, Polnareff, Delpech, Laurent et Sardou, tous présents dans le top 20 des interprètes. Jonasz et Berger n'arriveront que l'année d'après !

(à suivre)

06/11/2011

pas de note aujourd'hui

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A demain si rien n'a changé d'ici ce soir

Je vous embrasse

10:19 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (8)