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11/01/2012

Pourquoi Ouhans ???

La genèse de l'histoire est ancienne, car lors de nos vacances 1970, mes parents avaient envisagé, pour leur retraite qui arrivait deux ans plus tard (mon père avait fait la guerre et gagné plein d'annuités) d'ouvrir un petit commerce en Suisse. Un commerce précurseur des Doner Kebab, puisqu'il s'agissait d'y préparer des plats de Tunisie. Ma mère n'avait pas oublié la réflexion de Georges Moustaki (oui !) alors qu'elle travaillait à l'époque - 1968/1969 - chez Françoise Arnoul : "Yvonne, votre couscous est le meilleur du monde".
Venant d'un Grec qui avait énormément voyagé de par sa notoriété, c'était une sorte de "César"...

Ils feraient leur commerce à Yverdon, et se logeraient plus haut, toujours en Suisse, vers Ste Croix ou l'Auberson, dont les paysages sont ceux du Haut-Doubs, la frontière à 1 ou 2 km ne changeant pas grand-chose, sauf bien sûr pour les nuages radioactifs...
Je rappelle quand même qu'à cette époque, le franc Suisse et le franc Français valaient la même chose, et les prix étaient même plus bas en Suisse ! Ce n'était donc pas du tout pour faire les "Frontaliers" comme le font actuellement 50% du village et la plupart des tennismen et chanteurs connus qu'ils avaient eu cette optique de venir finir dans le secteur. Rien à gagner de plus qu'en France, mais il était nécessaire pour eux de quitter leur mini-appartement, et de pouvoir vivre enfin "comme les autres", c'est à dire avec un WC, une salle de bains et un frigo.

Hélas, mon père est vélléitaire et non pas volontaire. Il fonce d'abord tête baissée, puis au premier obstacle stoppe net. C'est ce qui s'était passé pour sa vie sentimentale quelques 4 ans avant, il avait eu le quitus de ma mère et de moi, mais ma mère exigeait le divorce "officiel" avec tout ce qui allait avec. Il a alors abandonné. 

Là c'est pareil. Il s'était renseigné sur la Sécurité Sociale et on lui avait dit qu'elle été plus chère en Suisse qu'en France et du coup ça l'avait fait hésiter, puis renoncer.

On saute quelques années. Ma première épouse et moi avions décidé de faire notre voyage de noces en solex. En train jusqu'à Innsbrûck, puis retour en Solex jusqu'au Vigan, soit dans les 2000 km, avec des étapes variant de 0 (jours de pluie battante) à 200 km. Nous avions deux semaines.
Mais déjà, les vacances dans certains pays de l'étranger devenaient inabordables.
En France, par exemple, à cette époque on pouvait (bien) manger pour moins de 10 francs (7 euros 2012) , et dormir convenablement pour moins de 15 (11 euros 2012). Notre budget était donc fixé en fonction des prix français.

Le premier jour, un repas à Gênes, où le restaurateur, voyant deux petits tourtereaux paraissant 17 ans chacun, nous avait dit "ayez confiance, nous nous occuperons de vous comme de nos propres enfants".
En fait, notre repas - très correct - se montera à quelques 70 francs... Soit plus du double de la somme allouée pour la journée entière. Nous avions un carnet, sur lequel nous faisions un certaine comptabilité, avec à chaque fois, "la" division : la somme qui nous restait divisée par le nombre de jours.
Je saute des étapes, et 5 jours avant la fin, nous étions presque à sec et la rentrée en France était inévitable. Ce que nous fîmes, d'abord par les Rousses mais vu le prix des hôtels là-bas, c'est dans le Haut-Doubs que nous finîmes. Un sympathique hôtelier nous prit en amitié et nous fit la demi-pension à quelques 20 francs pour deux... Ce qui rallongeait le voyage de noces de 2 jours !!
336000475_listing.jpgL'hôtel existe toujours, mais je n'ai pas osé regarder les prix 2012 !

Bref c'est dans cet hôtel que nous resterons 4 jours pleins, sous un super soleil et une bonne fraîcheur, avant de redescendre... par le train, nos engins en bagages accompagnés, chose qui ne coûtait que presque rien à l'époque.


Puis, de nouveau les années passent. Et je supporte de moins en moins la chaleur.

A l'été 2001, voilà onze ans, c'est à la Planée, à 950 m d'altitude que nous décidons de passer une semaine. Bien que moralement complètement en berne, j'apprécie de pouvoir méditer, seul, en faisant du pédalo sur le Lac de St Point. je me sens "bien"...

En 2002, c'est autre chose. Après avoir lutté pendant des mois et des mois contre mes pensées suicidaires, je savais que je ne gagnerais pas la partie, et que je me devais de revoir toutes les femmes qui avaient partagé ma vie afin de leur dire que je ne leur en voulais pas. Je voulus commencer par mon ex, en janvier, tandis que je cherchais désespérément du secours sans succès auprès des assistantes sociales qui au Vigan avaient l'ait de trouver tout à fait normal qu'un homme âgé de 90 ans, presque aveugle, soit tout seul dans son premier étage, sans ascenseur.

 9912a.JPG
Du reste, ce jour-là, je pris en photo son escalier....

Si je ne trouvai pas Mireille en montant chez eux (je ne l'avais jamais fait depuis 23 ans...) je trouvai mon ex- belle-mère qui me parla d'un "beau gâchis", car d'après elle j'étais le seul à pouvoir "calmer" sa fille, très très nerveuse .

Je me promis de revenir.

A l'été, je passai aux choses plus sérieuses : Brigitte.
Je le raconte là :

http://cicatrice.hautetfort.com/archive/2010/09/01/premie...

Mais, quand même, pendant cette semaine où il avait fait un temps superbe, je me trouvais encore une fois super-bien dans ces "Juralpages"...

L'année suivante, en 2003, on me fit miroiter une mutation à Besançon. J'avais la ferme intention (puisque c'était un poste 100% itinérant) de me fixer dans le Haut-Doubs, et en février je m'émerveillais de ces beaux villages sous la neige...

Et j'arrive un an et demie plus tard, alors que j'habite Biarritz.. Rien à voir me direz vous !

Biarritz est un endroit de rêve mais insupportable l'été. Un vacarme épouvantable, une circulation monstrueuse, un climat affreux (certaines nuits, 35 degrés vers 1 h du mat, certains jours, les mêmes 35 degrés sur une plage bondée laissaient place, en quelques minutes à une tempête de brouillard où la température plongeait à 15 !) des prix horribles, des bestioles tropicales qui glissaient le long des murs...

Si bien qu'en septembre décision fut prise de passer une nouvelle fois nos vacances dans le Haut-Doubs. Aux Gras, près de Morteau.
Cette semaine-là me fit revivre, épuisé que j'étais de l'été basque.

Et d'un commun accord (bien qu'à présent elle s'en défende - c'était avant sa terrible opération) mon épouse et moi décidâmes que nous passerions là notre retraite.  Nous ne serions pas excentrés, puisque Morteau se trouvait à 4 h de train de Paris, et bientôt (7 ans plus tard) à 3h30. Nous étions alors persuadés que c'est à Paris que notre fille finirait, comme 95% de ses copines et cousines Bretonnes.

En janvier 2005, retour au même endroit, cette fois sous la neige et le froid, ce qui ma femme et moi ne nous gênera pas plus que ça. J'avais vécu 25 ans en montagne (1972/1973 et 1975/1997) dont près de 4 ans avec elle dans un village de 600 habitants à 1000 m d'altitude. Ma fille est née à 1350 m...

Nous pensions Morteau, mais ce fut aux environs de Pontarlier où le 1er février 2005, toujours d'un commun accord, nous signâmes pour l'achat du terrain...

Voilà....

Je vous embrasse.

14:55 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (6)

10/01/2012

Retour sur le suicide d'une adolescente

Voilà quelques jours, une ado de 12 ans s'est suicidée avec le fusil de chasse de son père car elle n'en pouvait plus des brimades que lui faisaient subir les autres élèves.

"Il y a des gamins qui l'ont traînée par terre, ils lui ont craché au visage, ils la bousculaient dans les escaliers, lui tiraient sa chaise à la cantine. Il y a eu énormément de choses", a affirmé la mère de la collégienne, affirmant avoir produit un certificat médical daté du 8 novembre mettant en évidence des traces dans le dos.

Je l'ai peut-être évoqué dans ce blog, mais entre le CE2 et ma première troisième, moi aussi, j'ai été un souffre-douleur. Crescendo.
Le summum a été atteint fin 1964, alors que j'étais en 3ème avec des mastards qui me dépassaient d'une tête.

J'avais 13 ans, je mesurais environ 1m40 et je devais peser dans les 35 kilos. Mes "chers camarades" de la 3èmeB7 du lycée Montaigne à Paris m'en faisaient voir de toutes les couleurs.

Pourquoi ? Parce que cette année-là, les classes étaient devenues mixtes. Et pour montrer leur "virilité" à ces demoiselles, rien de mieux pour ces salopards que de massacrer des êtres chétifs.

Ils m'ont tout fait voir : D'abord me faire lécher les urinoirs. Puis encore pire, presque un viol à savoir me faire sortir mon sexe et le caresser, aux fins de voir "comment je réagirais". Je passe les bousculades dans les escaliers qui m'ont souvent conduit à l'infirmerie, et bien entendu les repas sautés à la cantine, le "chef de table" ne voulant pas me servir.

Bien entendu, je m'abstenais d'en parler à la maison, malgré les demandes répétées de mes parents qui me voyaient tomber en léthargie les dimanches soir. Mes parents qui se demandaient ce que j'avais.

Mais un jour, ils l'apprirent, car on m'avait carrément arraché mon manteau. Et là mes parents s'adressèrent à ceux du tortionnaire, pour faire jouer leur assurance et que le manteau soit remboursé.

A partir de là, ce fut pire encore. Et un jour de décembre, des pensées suicidaires me vinrent également. Comme pour la jeune adolescente de Lens. Mais elles furent stoppées net par l'espoir d'une mutation de mon père à Brest.
Egalement un miracle se produisit : ma croissance. Entre septembre 64 et août 65, je gagnai 26 centimètres !

Je voyais bien que les choses changeaient. Que, par exemple, je devais renouveler ma "garde-robe" plus souvent. Mais surtout, qu'on me laissait de plus en plus tranquille.
En fait, ce que je mettais sur le compte d'une certaine lassitude de mes tortionnaires, je le devais à mon changement de taille et de carrure. Facile de s'en prendre à un chétif d'1m40, beaucoup moins lorsque le lascar començait à approcher le mètre soixante. D'autant que jamais je ne me suis laissé faire, je me défendais comme je le pouvais "avec mes petits poings" (comme le disait le regretté Coluche).

Bref, après les vacances de Pâques 65, qui me virent enfin faire du vélo taille "homme", j'eus une paix royale, et je puis réviser - et obtenir - mon BEPC.

Je le raconte dans une note assez ancienne, j'avais arrêté de bosser car d'une part les conditions n'étaient pas réunies pour cela, et en plus on m'avait laissé penser par deux fois que je pourrais habiter la Bretagne, et cela ne s'était pas réalisé. Suicide scolaire à défaut d'autre chose. Mais de par l'obtention du BEPC, je m'étais prouvé que j'avais le niveau requis pour passer en seconde.

Les vacances qui suivirent me firent "grandir" encore plus. D'abord, en juillet, je tombai fou amoureux d'une petite garce de 11 ans - mais en paraissait 13/14 - qui faisait marcher les mecs à la b(r)aguette.

Puis je découvris mon père en train d'embrasser une autre femme. Choc dont je parle dans une note.

Au mois d'août, mon père (officiellement pour me récompenser du BEPC, sûrement plus pour acheter mon silence...) j'eus droit à un beau vélo. Avec lequel je dus faire, dans le Vaucluse, pas loin de 2000 km dans le mois !

A la rentrée, je mesurais 1m65 et (ceux qui m'ont vu en rigoleront) je figurais parmi les plus grands de ma classe.

A  la première récré, je vis un de la classe voisine commencer à s'en prendre à un petit "sixième" chétif. Ni une ni deux, j'allai demander au mec de cesser ça tout de suite.

"de quoi je me mêle, me répondit-il.
- qu'est-ce qu'il t'a fait ?
- rien, c'est juste pour le plaisir.."

Il n'a pas vu arriver mon coup de poing dans l'estomac, et je me préparais à une belle bataille, quand je vis le "mastar" détaler en allant se plaindre à un surveillant, presque en pleurant...

De ce jour, avec un camarade, qui allait devenir un ami, je formai une espèce de "brigade" qui consistait à surveiller, dans la cour de récré, si des brimades ne s'y produisaient pas. Et si c'était le cas, d'y mettre bon ordre.

Je fus puni pour ça. Mais, cette fameuse "punition administrative", invention tant redoutée du Lycée Montaigne, je l'accrocherai sur le mur de ma chambre comme un trophée ! Ce qui ne sera pas du goût de mes parents...

Ensuite, je cesserai de jouer au Zorro, pour... sauver ma peau de lycéen, car mes résultats étant jugés insuffisants pour un redoublant, le conseil de classe de février avait décidé de m'éjecter et de me faire travailler... dans la couture ! Il me faudra alors bosser comme un fou pendant les mois de mars et avril pour éviter ce qu'on appelle toujours l'"orientation"...

 

Voici peu de temps sur le site "copains d'avant", j'ai vu le nom de deux de mes tortionnaires. Je me suis signalé comme ayant fait partie de leur classe. Sans aucune arrière-pensée. D'autant que l'un d'eux habitait la ville Bretonne où j'avais passé la fin de l'ancien siècle et le début du nouveau.

Les deux me répondirent, au bout de deux mois, que mon nom ne leur disait rien. Alors, tout simplement, je leur ai séparément adressé le même message :

"J'espère que si ta mémoire n'est plus ce qu'elle était dans ces années-là, tu as également changé dans les autres domaines, et que persécuter les faibles ne fait plus partie de tes activités favorites".

Puis je les ai rayés de ma liste d'anciens "copains".
Qu'avais-je finalement de commun avec ces gens-là ?

Je vous embrasse.

18:45 Publié dans détripage, moi | Lien permanent | Commentaires (3)

22/12/2011

A l'année prochaine !

Départ demain matin 8h30.Image (32).jpg

Gare de Valdahon 9h15, puis Besançon.
Là-bas, deux heures de correspondance dans la nouvelle gare TGV qu'on aura le temps d'admirer, puis le TGV lui-même, qui nous déposera à Paris 3h15 plus tard.

Si j'ai bien compris, le TGV "normal" mettait 2h35 de Besançon Centre pour aller dans la capitale, celui-là, empruntant donc la ligne nouvelle, demande 40 mn de plus.... !

Puis le clou : sept heures d'attente à Paris, afin de récupérer le dernier TGV pour Rennes, le seul qui n'ait pas été complet en réservant pourtant dès le premier jour, nous arrivons là-bas à minuit 28, notre fille viendra nous chercher et on espère être chez elle vers les 1h30 du matin.

Vive la SNCF, pour faire 850 km, 17 heures de trajet. 50 de moyenne.
Ca me rappelle quand, en 1963, j'avais mis 12 h pour traverser le seul département de l'Ardèche !

Comme vous le voyez sur le schéma, nous resterons chez notre fille jusqu'au 26 non sans, entre le 24 et le 25 avoir passé le réveillon à Rennes chez les "beaux-parents".

Le 26, direction Lorient. Voir la famille, dont surtout ma cousine germaine (81 ans) qui hélas n'est pas éternelle, mon filleul Willy et mon frère-cousin Jean-Yves (fils de la première).

Le 28, un peu plus à l'ouest (vous voyez que je continue soigneusement d'éviter le Nord-Bretagne....) à Quimper chez mon ami Bernard.

Départ le 29 après-midi direct Paris, où nous resterons 2 jours, chez notre gentille logeuse du mois d'octobre.

De Paris, départ 11h27 le 31, arrivée Valdahon à 14h45.  Plus rapide qu'à l'aller !!!

Je vous dis donc à l'année prochaine, peut-être aurai-je le droit d'écrire quelques lignes sur le Pc de ma fille ?

Je vous embrasse.

17/12/2011

FACEBOOK : la qualité plus que la quantité

Quand j'ai découvert Facebook, je me suis dit que c'était un endroit idéal où je pourrais connaître l'activité à la fois de tous mes amis du Net, de mes amis "hors Net", de ma famille, et même de mes vedettes préférées. Plus des gens qui vous époustouflent, comme ces deux jeunes filles qui ont entrepris en juin de faire le Tour du Monde à pied ! Parties en juin de Lons le Saunier, elles sont à présent aux portes de la Grèce en ayant choisi cet été les chemins montagneux les plus difficiles, enchaînant les cols à 3000 m !

http://piedslibres.com/

Mais j'ai, avec Facebook, fait un peu comme les enfants. C'est à dire que j'ai pris comme "amis" trop, beaucoup trop, de personnes.

Au total, j'étais arrivé à plus de 80 !

Et on en revient aux fameux commentaires sur les blogs de Psychologies.com, comment satisfaire tout le monde ?

Première erreur, si j'ai demandé à être ami à des stars que j'adore (comme Gérard Palaprat, qui m'a fait l'honneur de faire un commentaire ici même sur la note que je lui avais consacrée), j'ai additionné d'autres stars.
OK pour celles - comme Guy Criaki - que j'avais interwievées quand j'étais animateur. Mais pour d'autres, cela ne se justifiait pas.

Et l'actualité de ces "amis" est noyée au milieu de leurs innombrables chansons qu'ils balancent sur Fb pour faire leur promo.... Je ne citerai pas de noms mais le fait est là.
Du coup, je rate pas mal de choses chez les autres, qu'ils prennent pour de la négligence. Et qui bien sûr en tirent les conclusions en me rayant de leur liste. Même si certain(e)s d'entre eux m'y remettent par charité...

Deuxième erreur, j'ai commencé à participer à des jeux, et à le montrer.
Là il faut être un peu hypocrite.... C'est à dire continuer à participer mais en ne l'affichant plus.
Car là aussi, certain(e)s ami(e)s peuvent vous trouver trop "léger". Et vous virer aussi, comme cela m'est arrivé en mai dernier avec quelqu"un de cher.

Enfin troisième erreur, penser que Fb était un prolongement tout naturel des blogs (quel que soit le site).
Or, pour leur plus grande majorité, les "facebookiens" publient sous leur propre indentité. Ce qui leur enlève toute spontanéité. Car d'une part, ils publient sans se cacher, et donc ne doivent pas dire - ou laisser dire - n'importe quoi sous peine d'être sous le coup de la diffamation.
Une bonne vanne sur une plateforme de blogs, fut-elle un peu "limite", ne crée pas de danger pour son auteur, ni à son lecteur s'il se protège avec son pseudo (enfin, en principe, lol !!!) . D'autant que la particularité de Fb c'est qu'on peut directement "poster" chez l'auteur (qui généralement l'enlève quelques jours plus tard).

Je reconnais que c'est facile pour Patrick Cicatrice de pouvoir se gausser du président de la république ou de la vilaine tournure qu'on pris certains évènements internationaux. Sous mon vrai nom, le ferai-je ? Bah ceux qui me connaissent ont la réponse mais tous ne raisonnent pas de la même manière..

Et puis sur Fb on retrouve aussi certains trucs de Psycho. C'est à dire que - moi y compris - le lectorat n'est pas le même. Comme je l'ai dit au début, on a des "amis réels" sur Fb, et qui ne vous connaissent pas forcément de la même façon que sur les blogs. Parfois même, quand on s'adresse à des "amis" on voit surgir d'autres "amis", qui ont l'air très familiers avec eux, et on a souvent l'impression de tomber comme un chien dans un jeu de quilles.

Donc, ma grande résolution pour l'année 2012, c'est de changer complètement mon rapport avec Fb, de privilégier la qualité à la quantité. De telle manière à ce que puisse être toujours le même où que j'aille, de ne pas avoir à me scandaliser si je ne le suis pas, ou de paraître stupéfait si je ne le suis pas.
D'avoir la même attitude sur l'une ou l'autre plate-forme.

Pas mal d'habitudes à changer, moi qui suis sur la plate-forme depuis bientôt 3 ans !

Je vous embrasse.

 

15:49 Publié dans détripage, moi, Web | Lien permanent | Commentaires (3)

08/12/2011

En 2005 je me suis trompé de site

Quand je suis arrivé sur le net, en juin 2003, j'avais un énorme besoin de reconnaissance, tant j'avais peu d'estime pour moi-même. Quelques mois j'avais fait une TS que j'estimais inratable autant parce que j'en arrivais à me détester que j'en avais marre de vivre.

Le déclic vint du forum de Psycho.
Lequel forum avait une mesure. En face de chaque question soulevée, il y avait un chiffre, qui correspondait à l'intérêt suscité par la question auprès de la communauté.

Quand je suis arrivé sur ces forums, j'ai tout de suite foncé sur "vivre une séparation".
Et là j'ai vu le nombre de réponses apportées à chacun des "posts" (j'ai apris ce mot-là pour l'occasion) : entre...0 (!) et 150. La moyenne tournait autour de 10/15.

Effectivement mon tout petit premier post m'a apporté 8 réponses.
Mais aussi un mail, d'une certaine Sylvie, qui m'a soutenu pendant 4 jours, aux termes desquels je devais aller voir mon père qui venait de se faire couper la jambe.

A mon retour, mail laconique de Sylvie qui me disait qu'elle arrêtait toute correspondance avec moi...

Second post, vu que j'étais encore plus mal que la semaine d'avant.
Je me souviens encore par coeur de ce post que j'ai pondu sans trop réfléchir :

Je me traîne lamentablement dans ce monde depuis que j'ai été séparé de celle avec qui j'étais. Mais nous n'avions pas le droit de nous aimer. Depuis 6 ans je me traîne, depuis 6 mois je suis un écorché vif. Je souffre et je fais souffrir les autres, j'en prends de plus en plus conscience. Donnez-moi une raison ( hors la famille ) de rester dans ce bas-monde ça me serait utile..

Et là, miracle : 254 réponses allaient arriver.
Et peu à peu, dans ces forums je devins une sorte de "vedette" car je tenais à voir les posts de ceux qui m'avaient soutenu (entre parenthèses j'en ai vu des vies brisées) et j'essayais à mon tour de leur apporter des mots de réconfort.

Au bout de quelques mois j'étais connu comme le loup blanc. Réussissant même à faire un chiffre impressionnant sur le forum spiritualités, qui n'avait jamais plus de 5/6 réponses.
Là j'en ai eu plus de 160 !

Mais qui dit popularité dit aussi jalousie, et sans vraiment m'en rendre compte j'avais dépassé un pauvre type encore plus atteint que moi (lui cherchait carrément - et réussissait - à se faire des nanas via les forums !) et il a commencé à me prendre en grippe, puis à prendre une bonne demie-douzaine de pseudos, aidé d'une nouvelle conquête encore plus à l'ouest que lui qui avait fait de même.

Bref, le 11 septembre 2005, je jetai l'éponge.

Auparavant j'avais intégré les blogs du site, mais là, pas d'instrument de mesure, en dehors d'un compteur qui pouvait mesurer l'audience mais qu'il fallait qu'on voie de la page.
En plus il n'était pas fiable.

J'avais, en 2005, toujours ce besoin de reconnaissance, et je ne me fiais alors qu'au nombre de commentaires. Je devenais même chiant avec ça, virant toute note qui avait eu le malheur d'obtenir une "roue de bicyclette" en guise de commentaires (zéro donc). Je restais baba devant des gens qui mettaient des dizaines de billets sur une note ne représentant... qu'une photo ! Je saurai bien après (septembre dernier) le fin mot de l'histoire.

Ce n'est pas pour ça que j'ai quitté Psycho.
D'abord, le site était en panne continuelle. La page d'accueil datait de.... 2008!
Je savais aussi que tôt ou tard les blogs de Psycho fermeraient ou deviendraient imbitables.

Hélas je ne me suis pas trompé... Psyblog et quelques autres en savent quelque chose !

Je me suis alors réfugié ici. Au pif.
Et j'ai vu qu'ils avaient des stat à toute épreuve.
- Nombre de visiteurs par jour
- Nombre de visiteurs uniques par jour
- Nombre de notes lues.
- "hit-parade" des notes les plus lues mensuellement.
Et par un simple calcul de CM2, je peux savoir quel lectorat a eu telle note.

Rien à voir avec le nombre des commentaires, qui - je l'ai toujours dit - ne sont que des renvois d'ascenseur. Tu m'as commenté, je vais te commenter...

Alors, amis blogueurs, sachez que le nombre de commentaires ne dépend absolument pas de l'intérêt suscité par votre note.

Des exemples ?

Vers les étoiles - 8 du 2 avril : 2 commentatrices, Cricri et Christel. Cette note a été lue plus de 900 fois ! Et elle continue toujours, classée encore ce mois-ci, 8 mois après sa parution, 12ème des notes les plus lues (sur 420)

I love your attitude, du 22 juin : 3 commentatrices, Captainelili, Cricri et Odile, 1665
lectures !!!

DSK, enfin, du 22 août : 2 commenateurs, Captainelli et Julius, plus de 500 lectures.

Et ce ne sont pas les seuls exemples.

Michel Polnareff 2ème partie, du 15 novembre, 0 commentaires, plus de 80 visites !

C'est sur Hautetfort que j'aurais dû venir en avril 2005, et non pas continuer sur Psycho, car là au moins j'aurais été vraiment fixé sur l'impact de ce qu'écrivais, au lieu de me fier à des commentaires le plus souvent de charité, et aussi, je le reconnais, de marques de sympathie profonde.

A présent, beaucoup moins de besoin de reconnaissance (j'ai grimpé de 6000 places ce mois-ci au top des blogs français, mais ma foi, je m'en fous un peu...) , mais si je continue à scruter ce qui vous plaît dans mon blog, c'est juste pour voir si vous êtes d'accord avec moi, si vous aimez les mêmes choses.
Et dans ce sens je suis heureux de voir que mes notes "Nathalie", si elles ne représentent que 5% de mon blog, sont lues par 20% des internautes.

Je vous embrasse.

12:25 Publié dans Blog, moi, psy | Lien permanent | Commentaires (15)

03/12/2011

Opération Témesta

Après mon succès face à l'Atarax, où j'étais passé de 200 mg à 0 en 5 mois, place désormais au plus dur : le Témesta.

Si l'Atarax était lié à un stress au boulot, il n'en est pas de même pour le Témesta, car je prends celui-ci depuis près de 40 ans. Horaires décalés obligent....

La posologie était variable, entre 1 et 5 mg. Mais disons que la "normale" a été le plus souvent de 2.5 mg, le petit comprimé jaune.

Comme pour l'Atarax, je vais procéder par paliers successifs :

• en décembre, je vais diminuer ma dose de 10%, en passant de 5 à 4.50 mg.

• en janvier ce sera de 11.1 % en passant de 4.50 mg à 4.

• en février ce sera de 12.5 % en passant de 3.50 mg à 3.

• en février ce sera de 8.3 % en passant de 3 mg à 2.75.

• Enfin en mars, ce sera de 10% en passant de 2.75 à 2.5.

Là je m'accorderai une petite pause, avant d'entamer une nouvelle descente.

Je dois le dire, ce ne sera pas facile !

L'avant-dernière nuit je me suis réveillé à 3h du mat, et j'ai dû prendre un somnifère léger pour me rendormir.

La nuit dernière, du mieux, c'est à 6h30 que je me suis réveillé, et j'ai attendu 7 h pour sortir des draps.

Bien entendu, comme pour l'Atarax, je vous tiendrai au courant.

Je vous embrasse.

10:15 Publié dans moi, psy | Lien permanent | Commentaires (2)

16/11/2011

Je commence à y voir plus clair

J'avais, depuis quelques mois déjà de gros problèmes de vue.

Visiblement mes lunettes n'étaient plus adaptées à ma vue. Et, de plus en plus, en dehors de la conduite, je les enlevais. La dernière : en septembre dernier, j'ai participé, chez ma fille, à un jeu sur internet - branché sur sa télé -, et bien j'avais carrément enlevé mes lunettes, j'y voyais mieux !

Quand je conduisais, je n'arrivais pas à lire l'heure ! C'était ou de près ou de loin.
Du reste j'avais de plus en plus de mal à conduire...
Quand je parlais à quelqu'un, si celui-ci était à moins d'un mètre, je faisais des grimaces pas possibles !

Bien entendu, depuis que je suis en retraire (mars) j'ai pris rendez-vous chez l'ophtalmo. Je ne suis pas inconscient. C'est prévu pour.... février 2012 !!!

 

Et voilà-t'y pas que, vendredi dernier, je cherche mes lunettes.

Ce n'est pas du tout la première fois que ça m'arrive, c'est environ tous les deux jours. Parfois c'est dans les WC, parfois sur ma table de nuit, souvent près de mon ordinateur, parfois sur le buffet du salon, parfois même... dehors !
A Biarritz il m'est arrivé par exemple de les chercher en sortant du boulot pendant une bonne demie-heure !

Mais là c'était plus sérieux. J'ai cherché minutieusement pendant toute la journée, mon épouse aussi. Il fallait se rendre à l'évidence, elles avaient disparu. Je n'accuserai cette fois pas ici mon épouse, comme je l'avais fait pour Internet, mais enfin, il n'y a pas 36 solutions possibles !

Direction alors les lunettes "de secours" dans la voiture.

Lunettes "ray-ban", datant quand même de 1993. Pas évident de les mettre d'ailleurs car c'est elles que j'avais quand j'étais avec Nathalie...

Bref, une fois chaussées, surprise ! J'y voyais nettement mieux....

J'arrivais à parler aux gens sans tordre le nez. J'arrivais à conduire en lisant l'heure !!! Bref, ces lunettes de 1993 étaient tout à fait adaptées à ma vue 2011.

Le samedi, je fonce chez l'opticien et lui commande une nouvelle paire de lunettes avec les mêmes verres que mes Ray-Ban. L'opticienne était sceptique, mais quand je lui ai récité son tableau de lettres dès la première ligne, elle a capitulé.

Bref, je n'ai plus du tout besoin de visite chez l'ophtalmo (je garde quand même le rendez-vous, on se les repasse entre voisins ! Si, si, je n'invente rien !) et il a fallu "ce coup du sort" pour que finalement je commence à y voir nettement plus clair !

Je vous embrasse

 

12/11/2011

coupé du monde !!

Je suis dans un cybercafé a Besançon (QWERTY.....) car hier à 12h57, mon épouse a voulu faire de la poussière et sans le vouloir a arraché (au moins) un fil de l arrivée du téléphone et du coup, plus d internet :(....
Réparation prévue mardi.

Je vous embrasse.

13:58 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (3)

09/11/2011

Bobologie

Décidément, je ne m'en sors pas...

Après avoir écrit ma note "enfin guéri" (de ma bronchite tropicale qui a fichu mes vacances parisiennes en l'air) quelques jours après j'ai ressenti une petite douleur au bas du dos.

Puis, jour après jour, ça s'est étendu, et voici une semaine, je me tordais de douleur sur mon lit.

Je suis - finalement - allé voir le toubib, qui m'a parlé de "cruralgie" et m'a donné des anti-inflammatoires et un anti-douleur puissant, l'Ixprim. Et m'a envoyé passer des radios.

L'Ixprim, c'est efficace mais ça a le don de vous donner la nausée et de vous sentir complètement à côté de vos pompes. Si bien que depuis 8 jours j'ai le choix entre la nausée et un mal de chien. J'attends jusqu'au dernier moment pour prendre cet Ixprim, préférant une douleur modérée à cette sensation nauséeuse. mais quand on passe du modéré à insupportable (Brigitte me comprendra) alors pas le choix.

Pour les radios, il fallait que j'attende 15 jours si je voulais que ça se fasse à Pontarlier. Pour Besançon le délai était plus court, mais la route était bien plus longue. Alors j'ai opté pour une solution intermédiaire : Morteau. On n'y fait pas que de la saucisse, on y fait aussi des clichés (moi aussi d'ailleurs !).

J'en reviens. Après m'avoir passé aux rayons X une douzaine de fois, le verdict est tombé : suspicion de hernie discale. La maladie idéale pour un ex-animateur de radio ;-)
Il faut que j'aille d'urgence faire un scanner ou un(e) IRM pour confirmer.

J'espère que mon voyage à Lisbonne (dans deux semaines) ne sera pas compromis, les "electricos" (tramways) et les plages de Cascais me manquent.

Je vous embrasse

17:51 Publié dans moi | Lien permanent | Commentaires (17)

01/11/2011

400 ème note !

Quand je suis arrivé ici, le 23 juillet 2010, je n'en menais pas large.

J'étais issu du site Psychologies, où j'avais d'abord fait un malheur dans les forums (de 2003 à 2005) puis dans les blogs (de 2005 à 2009).

Début 2010, j'ai arrêté de payer pour Psycho. Question de morale. Illico je me suis retrouvé dans un habillage affreux, avec des fonctionnalités que je ne connaissais pas.

Aussi, ai-je abandonné ce blog pour créer d'une part "Cica2010" sur psycho, et d'autre part faire un essai en aveugle ici, sous le nom de Tomber 7 fois se relever 8.
http://tomber7foisserelever8.hautetfort.com/archive/2010/...

Cica 2010 marchait mais la technique était de pire en pire. De plus les querelles de clocher commençaient vraiment à m'énerver. Et que je t'enlève de ma liste de chouchous si tu as dit un mot de travers, je veux bien te remettre mais c'est promis tu te tiens à carreau enfin bref...

Tomber 7 fois, qui se voulait raconter l'histoire de ma vie, a eu un certain succès au début. Puis, lorsque j'ai fini de me raconter, l'audience a chuté.

Cela m'a montré trois choses :

1) Pour qu'un blog marche, il faut avoir des trucs à dire.
2) Si possible, ne pas avoir un style trop scolaire pour les dire.
2) Et aussi, un certain "socle" de lecteurs qui vous connaissent déjà et qui vous suivent.

C'est pareil en politique, voyez Bayrou....

Du coup "Lionel" a cédé la place à Patrick, et Cicatrice a migré sur Hautetfort.

La démarche était toujours la même. Faire un blog au centre duquel se trouverait l'histoire de ma vie (là, 81 notes du 23 juillet au 21 décembre) histoire qui elle-même renfermerait mes notes les plus intimes, celle d'un Amour incroyable de plus de 10 ans - avec des pointillés - raconté en 34 notes du 20 septembre au 4 décembre 2010. Soit - pour l'instant - 8.5 % de mon blog. En diminution constante, évidemment.

400 notes.

Lues en moyenne 244 fois chacune (97.726 pages lues)

44.393 visiteurs, en hausse continue. 50/jour à mes débuts, 85/jour fin 2010, le cap des 100 a été franchi mi-avril, et j'en suis actuellement à plus de 140.

18.405 visiteurs uniques.

 

Pourquoi un tel succès ?

Le panachage.

Certes une ossature centrale de 34 notes qui parlaient de ma belle histoire, entourée d'un noyau de 47 notes autobiographiques. Mais restent quand même 319 notes !

Un truc que j'avais à l'esprit depuis longtemps, c'était - dès qu'enfin je les aurais tous réunis - de compulser les hit-parades de Salut les Copains afin d'en tirer les 50 interprètes les plus classés, que je "traiterais" tous les dimanches. Ce qui a abouti pour moi à la consécration suprême : un commentaire d'un des chanteurs dont j'ai été fan dans ma jeunesse, en l'occurence Gérard Palaparat.

Dans Psycho, j'avais eu aussi un commentaire de Tatiana de Rosnay en 2006, alors qu'elle n'était pas encore la romancière à succès qu'elle est devenue, et qui m'avait demandé pourquoi je m'étais intitulé "blog de gare" ? Et je lui avais répondu que mon blog est un roman de gare, qui s'avale d'un trait mais dont il ne reste rien ensuite dans la mémoire. Elle m'avait alors répondu que je me sous-estimais...

Bref, je digresse, et en plus de ces 50 notes sur les chanteurs, des notes généralistes. La liste de mes catégories vous en dira pas mal, il y en a pour tous les goûts.

Je me suis amusé à publier mon classement "national" fait par Wikio, et selon lui, 5789 blogs seraient plus lus que le mien. Si c'est vrai, les internautes doivent être 24h/24 devant leur machine !

Bref, cela m'amuse...

Ce qui, à présent, ressort le plus de mon blog ? Son côté "encyclopédie de chansons". Outre mes notes hebdomadaires sur les chanteurs qui sont pas mal lues (le record: près de 700 lectures sur Claude François), na note qui cartonne le plus en ce moment est celle où j'indique l'âge des chanteurs. Postée en mars, elle a été lue plus de deux mille fois ! En ce moment 12 fois par jour...

Cela au départ m'a surpris, car ce n'était pas le but - caché - de ce blog, mais cela doit expliquer mon succès en tant qu'animateur radio dans les années 80 et 90. Pour ce job, il ne suffisait pas d'avoir une belle voix, savoir se servir de toute la "technique (en général 2 platines vinyles, 2 platines cassettes, deux platines CD, trois ou 4 arrivées micro - pour les interwiews - un insert téléphonique - pour faire passer les auditeurs à l'antenne - avec au milieu une table de mixage qui relie tout ça ) mais il fallait connaître son sujet !

Voilà, rendez-vous, si ma cadence se poursuit à ce rythme, à dans 3 mois et demie pour la 500ème note.

Je vous embrasse.

10:47 Publié dans Blog, moi | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : blog